Des évangéliques décident à Abidjan de plus s’engager dans les oeuvres sociales

Des dirigeants d’églises évangéliques de plus d’une dizaine de pays de la planète, ont à l’issue d’une conférence internationale à Abidjan, décidé ce week-end de s’engager davantage dans les œuvres sociales.

Selon Dr Dieunedort Kamdem, l’Assemblée générale a invité les confessions évangéliques à « mieux s’engager dans les oeuvres sociales », car « l’église doit penser ce monde meurtri, les orphelins, les veufs, les drogués, etc ».

« Nous devons de plus en plus manifester l’amour de Christ en prenant soin de ceux qui sont autour de nous », a-t-il ajouté, indiquant que les dirigeants des églises présentes à la conférence, ont décidé d’assister les épouses de pasteurs qui sont veuves.  

Lorsque les pasteurs meurent, beaucoup laissent des épouses et des enfants qui n’ont pratiquement rien dans un compte bancaire. De ce fait, l’Assemblée a résolu qu’à la perte de leur époux, elles puissent avoir un fonds qui leur permette de prendre soin de leurs enfants, a-t-il dit.  

Sans ambages, il a martelé que « l’église semble ne plus avoir de repère, elle n’est plus le sel de la terre et la lumière du monde. (Parce que) ce qui s’est passé dans les temps apostoliques semble disparaître de nos jours ». 

A travers cette conférence internationale qui a vu la participation de près de 17 nations, des hommes et des femmes de Dieu, venus entre autres, de la France, la Belgique, le Canada, Cameroun,  Gabon, Togo, Bénin, Italie, Haïti, ont célébré Dieu pour ses grâces. 

 Les réflexions, poursuivra-t-il, ont soutenu que les hommes et les femmes peuvent répondre aux problèmes sociaux, c’est pourquoi des décisions ont été prises pour l’évolution de l’église et permettre au corps de Christ d’être plus représentatif dans la société. 

« L’égalisé doit se positionner comme l’interprète des visions, des rois, des hommes d’affaires et des administrateurs », a fait savoir Dr Dieunedort Kamdem, en marge de  la 30e édition de la Conférence internationale des dirigeants d’églises évangéliques du monde, tenue au siège de la Mission royale ange de Nazareth (MIRAN).

Depuis le 3 novembre 2021, la Côte d’Ivoire accueille 200 prophètes, évêques, diacres et pasteurs,  venus de plus d’une dizaine de pays. La conférence a regroupé quelque 2000 âmes qui ont dans la ferveur célébré l’Éternel. 

Ce rendez-vous marque par ailleurs les 30 ans de la CIFI, un moment de réflexion et de formation pour répondre aux problématiques, telles les catastrophes, les épidémies, la pauvreté qui impactent le monde.   

A l’occasion de cette rencontre, il y a eu une ordination de 40 pasteurs, prophètes et apôtres, tandis que deux évêques ont été consacrés. Dr Kamdem a lancé un appel à la réconciliation et au rassemblement en Côte d’Ivoire.  

Selon Dr Dieunedort Kamdem, président fondateur de la Mission royale ange de Nazareth (Miran) – Cathédrale de la foi, la confession religieuse compte dans le monde 78 églises réparties dans les trois continents. Après le Canada, la Mira a vu le jour en Côte d’Ivoire. 

Des étudiants ivoiriens instruits sur les enjeux de l’innovation technologique

L’Ecole supérieure Africaine des technologies de l’information et de la communication (ESATIC), une grande école publique ivoirienne, a ouvert vendredi ses portes pour l’année académique 2021-2022 par une conférence sur les enjeux de l’innovation technologique.

Cette rentrée solennelle, couplée d’une conférence inaugurale sur le thème « Développement de compétences et innovation », était animée par M. Roger Félix Adom, le ministre de l’Economie numérique, des télécommunications et de l’innovation.

À travers cette conférence, l’établissement veut amener ses étudiants à  comprendre et à s’approprier les stratégies et recommandations en matière de compétences numériques et l’innovation technologique.  

Les exposés développés ont permis d’informer les apprenants sur les progrès et les nouveaux métiers du secteur des télécommunication /TIC et de leur faire comprendre les enjeux de l’innovation pour le développement du pays. 

Cet espace initié par la direction générale de la grande école a également permis de renforcer la motivation des jeunes, surtout les filles esaticiennes aux métiers du numérique. 

Au cours de cette cérémonie, il a été procédé à la présentation des enseignants chercheurs de l’Esatic promus au Cames, ainsi que les 16 apprenants qui représenteront l’Esatic au concours national de la ICT Compétition de Huawei.

Le directeur général de l’Esatic, le professeur Adama Konaté, a fait savoir que de 100 étudiants en 2012, l’école compte aujourd’hui 808 étudiants répartis dans cinq parcours de licence et sept parcours de Master.

Ces différents parcours ont été conçus et mis en place avec le soutien et la participation effective du secteur privé des TIC, notamment le Gotic et l’Union nationale des entreprises de télécommunications (Unetel). 

Selon le professeur Adama Konaté, sept de ces parcours sont accrédités par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique et le Centre africain et Malgache pour l’enseignement supérieur et des écoles partenaires. 

« Les taux de réussite à l’Esatic restent bons. Nous enregistrons environ 97% des étudiants de l’Esatic qui ont une moyenne générale supérieure ou égale à 10 sur 20, et un taux de passage en classe supérieure qui est de l’ordre de 90% », a-t-il dit. 

Créée en 2012, l’Ecole supérieure africaine des technologies de l’information et de la communication (Esatic), est une grande école publique qui a pour mission de former des cadres dans le domaine des (Tic).

L’école a ouvert ses portes, conformément au calendrier fixé par le gouvernement et à mis en application, dès la rentrée académique 2012-2013 le système Licence Master Doctorat (LMD)

A l’aube des dix ans de fonctionnement, l’Esatic, l’institution peut être fière de son bilan avec l’homologation de ses parcours de formation, l’insertion de ses diplômés à 80% et l’obtention du Prix d’Excellence du président de la République trois année de suite. L’école a la certification ISO 9001 versions 2015.

Des étudiants ivoiriens instruits sur les enjeux de l’innovation technologique

L’Ecole supérieure Africaine des technologies de l’information et de la communication (ESATIC), une grande école publique ivoirienne, a ouvert vendredi ses portes pour l’année académique 2021-2022 par une conférence sur les enjeux de l’innovation technologique.

Cette rentrée solennelle, couplée d’une conférence inaugurale sur le thème « Développement de compétences et innovation », était animée par M. Roger Félix Adom, le ministre de l’Economie numérique, des télécommunications et de l’innovation.

À travers cette conférence, l’établissement veut amener ses étudiants à  comprendre et à s’approprier les stratégies et recommandations en matière de compétences numériques et l’innovation technologique.  

Les exposés développés ont permis d’informer les apprenants sur les progrès et les nouveaux métiers du secteur des télécommunication /TIC et de leur faire comprendre les enjeux de l’innovation pour le développement du pays. 

Cet espace initié par la direction générale de la grande école a également permis de renforcer la motivation des jeunes, surtout les filles esaticiennes aux métiers du numérique. 

Au cours de cette cérémonie, il a été procédé à la présentation des enseignants chercheurs de l’Esatic promus au Cames, ainsi que les 16 apprenants qui représenteront l’Esatic au concours national de la ICT Compétition de Huawei.

Le directeur général de l’Esatic, le professeur Adama Konaté, a fait savoir que de 100 étudiants en 2012, l’école compte aujourd’hui 808 étudiants répartis dans cinq parcours de licence et sept parcours de Master.

Ces différents parcours ont été conçus et mis en place avec le soutien et la participation effective du secteur privé des TIC, notamment le Gotic et l’Union nationale des entreprises de télécommunications (Unetel). 

Selon le professeur Adama Konaté, sept de ces parcours sont accrédités par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique et le Centre africain et Malgache pour l’enseignement supérieur et des écoles partenaires. 

« Les taux de réussite à l’Esatic restent bons. Nous enregistrons environ 97% des étudiants de l’Esatic qui ont une moyenne générale supérieure ou égale à 10 sur 20, et un taux de passage en classe supérieure qui est de l’ordre de 90% », a-t-il dit. 

Créée en 2012, l’Ecole supérieure africaine des technologies de l’information et de la communication (Esatic), est une grande école publique qui a pour mission de former des cadres dans le domaine des (Tic).

L’école a ouvert ses portes, conformément au calendrier fixé par le gouvernement et à mis en application, dès la rentrée académique 2012-2013 le système Licence Master Doctorat (LMD)

A l’aube des dix ans de fonctionnement, l’Esatic, l’institution peut être fière de son bilan avec l’homologation de ses parcours de formation, l’insertion de ses diplômés à 80% et l’obtention du Prix d’Excellence du président de la République trois année de suite. L’école a la certification ISO 9001 versions 2015.

Le Prix d’excellence ivoirien de la qualité décerné à la CIE

Le Prix ivoirien de la qualité décerné à la direction de la production d’électricité de la Compagnie ivoirienne d’électricité (DPE-CIE), a été remis vendredi par le Premier ministre Patrick Achi, au Palais présidentiel, lors de la Journée nationale de l’excellence.

Le prix a été réceptionné par le directeur général de la CIE, M. Ahmadou Bakayoko, lors d’une cérémonie en présence du chef de l’Etat M. Alassane Ouattara, de la Première dame Mme Dominique Ouattara, des présidents d’institutions et des membres du gouvernement.  

Cette distinction, qui récompense les entités qui se sont illustrées par la qualité de leurs produits et services dans le domaine du commerce et de l’industrie, est un concours organisé par la Direction de la promotion de la qualité et de la normalisation (DPQN) du ministère du Commerce et de l’industrie. 

Adressé à toutes les organisations publiques ou privées exerçant en Côte d’Ivoire et engagées dans une démarche qualité, ce prix vise à promouvoir la culture de la Qualité en Côte d’Ivoire et à inciter les entreprises à entreprendre une démarche qualité. 

Pour cette édition, le prix vient couronner la démarche qualité de la Direction de la Production d’Electricité de la CIE, déjà certifiée Qualité Sécurité Environnement (QSE) sur le périmètre production, transport et mouvement d’énergie.

Le directeur général de la CIE, dont l’entité est engagée dans la promotion de la qualité depuis de nombreuses années, a remercié l’Etat de Côte d’Ivoire pour cette reconnaissance, qui couronne les efforts de l’entreprise.   

M. Ahmadou Bakayoko a félicité l’ensemble de ses collaborateurs pour les efforts constants accomplis et les a exhortés à poursuivre la politique qualité qui n’a pour seul but que la satisfaction des engagements contractuels de la CIE avec l’Etat et celle de ses clients. 

« L’Excellence et la compétence technique de la CIE sont reconnues, entre autres, au niveau de la qualité de nos facteurs de production hydraulique et thermique ; et cela représente un grand honneur pour tous les braves agents de notre entreprise », a déclaré M. Ahmadou Bakayoko. 

Le déficit de qualité des produits et des services constitue l’un des freins majeurs à la participation des Etats membres de la région ouest-africaine au commerce mondial et à la compétitivité. 

Pour permettre à la Côte d’Ivoire de se positionner au rang des nations émergentes, le gouvernement ivoirien, à travers le ministère chargé de l’Industrie, s’est résolument engagé à créer les conditions d’un environnement favorable pour le développement de la qualité.

C’est dans ce cadre que l’Etat de Côte d’Ivoire a institué le 13 juin 2002, le concours du Prix Ivoirien de la Qualité et confié son organisation au ministère de l’Industrie et des mines, à travers la Direction de la Promotion de la Qualité et de la Normalisation.

Ce sont au total 84 lauréats dont 48 personnes physiques, issus de l’édition 2020 auxquels se sont ajoutés ceux de l’année 2021 du secteur Education-Formation professionnelle, qui ont reçu leurs Prix au cours de cette cérémonie.

Intervenant à cette occasion, le chef de l’Etat ivoirien a exprimé sa joie de présider la traditionnelle Journée nationale de l’excellence qui est devenue une opportunité de raffermissement de l’unité nationale autour des valeurs du travail et du mérite. 

M. Ouattara a exprimé ses vives félicitations aux lauréats de cette 8ème édition du Prix national d’excellence, et souhaité la pérennisation de la Journée nationale de l’excellence, pour une saine compétition des talents du pays.  Ce prix est constitué d’un diplôme, d’un trophée et d’un chèque de 10 millions de FCFA.

Le Prix d’excellence ivoirien de la qualité décerné à la CIE

Le Prix ivoirien de la qualité décerné à la direction de la production d’électricité de la Compagnie ivoirienne d’électricité (DPE-CIE), a été remis vendredi par le Premier ministre Patrick Achi, au Palais présidentiel, lors de la Journée nationale de l’excellence.

Le prix a été réceptionné par le directeur général de la CIE, M. Ahmadou Bakayoko, lors d’une cérémonie en présence du chef de l’Etat M. Alassane Ouattara, de la Première dame Mme Dominique Ouattara, des présidents d’institutions et des membres du gouvernement.  

Cette distinction, qui récompense les entités qui se sont illustrées par la qualité de leurs produits et services dans le domaine du commerce et de l’industrie, est un concours organisé par la Direction de la promotion de la qualité et de la normalisation (DPQN) du ministère du Commerce et de l’industrie. 

Adressé à toutes les organisations publiques ou privées exerçant en Côte d’Ivoire et engagées dans une démarche qualité, ce prix vise à promouvoir la culture de la Qualité en Côte d’Ivoire et à inciter les entreprises à entreprendre une démarche qualité. 

Pour cette édition, le prix vient couronner la démarche qualité de la Direction de la Production d’Electricité de la CIE, déjà certifiée Qualité Sécurité Environnement (QSE) sur le périmètre production, transport et mouvement d’énergie.

Le directeur général de la CIE, dont l’entité est engagée dans la promotion de la qualité depuis de nombreuses années, a remercié l’Etat de Côte d’Ivoire pour cette reconnaissance, qui couronne les efforts de l’entreprise.   

M. Ahmadou Bakayoko a félicité l’ensemble de ses collaborateurs pour les efforts constants accomplis et les a exhortés à poursuivre la politique qualité qui n’a pour seul but que la satisfaction des engagements contractuels de la CIE avec l’Etat et celle de ses clients. 

« L’Excellence et la compétence technique de la CIE sont reconnues, entre autres, au niveau de la qualité de nos facteurs de production hydraulique et thermique ; et cela représente un grand honneur pour tous les braves agents de notre entreprise », a déclaré M. Ahmadou Bakayoko. 

Le déficit de qualité des produits et des services constitue l’un des freins majeurs à la participation des Etats membres de la région ouest-africaine au commerce mondial et à la compétitivité. 

Pour permettre à la Côte d’Ivoire de se positionner au rang des nations émergentes, le gouvernement ivoirien, à travers le ministère chargé de l’Industrie, s’est résolument engagé à créer les conditions d’un environnement favorable pour le développement de la qualité.

C’est dans ce cadre que l’Etat de Côte d’Ivoire a institué le 13 juin 2002, le concours du Prix Ivoirien de la Qualité et confié son organisation au ministère de l’Industrie et des mines, à travers la Direction de la Promotion de la Qualité et de la Normalisation.

Ce sont au total 84 lauréats dont 48 personnes physiques, issus de l’édition 2020 auxquels se sont ajoutés ceux de l’année 2021 du secteur Education-Formation professionnelle, qui ont reçu leurs Prix au cours de cette cérémonie.

Intervenant à cette occasion, le chef de l’Etat ivoirien a exprimé sa joie de présider la traditionnelle Journée nationale de l’excellence qui est devenue une opportunité de raffermissement de l’unité nationale autour des valeurs du travail et du mérite. 

M. Ouattara a exprimé ses vives félicitations aux lauréats de cette 8ème édition du Prix national d’excellence, et souhaité la pérennisation de la Journée nationale de l’excellence, pour une saine compétition des talents du pays.  Ce prix est constitué d’un diplôme, d’un trophée et d’un chèque de 10 millions de FCFA.

Trois ministres ivoiriens se prêtent au jeu du mannequin à un défilé de modes

Trois ministres ivoiriens se sont prêtés samedi nuit, au jeu du mannequin, lors d’un défilé de modes, à l’occasion de la 15e édition de Afrik fashion show, tenue à Abidjan.

Invités par le maître de cérémonie, l’animatrice télé Mariam Coulibaly, le ministre du Tourisme et des loisirs, Siandou Fofana, la cheffe de de la diplomatie Kandia Camara, et le ministre de la Promotion des PME et de l’artisanat, Félix Anoblé, ont défilé sous des slaves d’applaudissements du public. 

Peu avant, l’artiste ivoirien Manadja, membre du Groupe Magic System, est apparu sur la scène, vêtu d’un complet pourpre, esquissant des pas tout le long du podium pour exhiber son apparat, somptueux et d’éclat. Il avait à ses côtés l’animatrice télé de Caroline DaSylva. 

Les mannequins ayant fait la parade d’ouverture de l’édition 2021 de Afrik fashion show, promue par l’Ivoirienne Isabelle Anoh, étaient habillés par le styliste de renom, Pathé’O, l’un des couturiers de feu Nelson Mandela.

Pathé’O a dit « merci aux ministres qui ont rehaussé cette cérémonie par leur présence », avant de lancer à l’endroit de l’assistance « portez (ce que le continent produit parce que)  l’Afrique doit se développer par les Africains ».

La 15e session de cette grande messe de la mode, dédiée à la « créativité et à l’élégance », a eu pour thème « Valorisation du Made in Côte d’Ivoire ». Cette thématique illustre le combat du label Made in Côte d’Ivoire de Mme Isabelle Anoh. 

Meeting de la créativité,  sur les bords de la lagune Ebrié,  Afrik fashion show, a pris le pari de réunir 15 stylistes ivoiriens représentant quatre générations de créateurs, qui ont exposé leur savoir-faire. 

L’une des innovations de cette édition, est la vente éphémère qui a débuté dans la matinée de samedi et qui a pris fin après le défilé qui a démontré la résilience des stylistes et des créateurs de modes, également impactés par les effets de la pandémie de Covid-19.

« Les marques ivoiriennes qui exposent nous confortent dans le choix de valoriser le label Made in Côte d’Ivoire », a déclaré Mme Isabelle Anoh, qui a salué les acteurs de l’écosystème, les mannequins, les fabriquants de textiles, ceux de de la coiffure et de la cosmétique.   

De Tendance Party à Afrik fashion show, Isabelle Anoh, en dépit des défis du parcours, a toujours su donner une impulsion à son rêve et à sa passion. Cela fait 15 ans que dure cette aventure qui se bonifie au fil des ans. 

Elle a annoncé que dès la 16e édition, Afrik fashion show se nommera désormais « Afrik fashion week » et s’étendra sur plusieurs jours avec un Comité scientifique, un Comité organisationnel et une participation plus accrue des acteurs de la mode.  

Plus d’un millier de personnes, ferrures de la mode et venus de divers horizons du continent, ont pris part à la 15e édition de Afrik fashion show, qui a dévoilé des marques telles « Missano » by I. Anoh ou encore Diamond couture.  

Trois ministres ivoiriens se prêtent au jeu du mannequin à un défilé de modes

Trois ministres ivoiriens se sont prêtés samedi nuit, au jeu du mannequin, lors d’un défilé de modes, à l’occasion de la 15e édition de Afrik fashion show, tenue à Abidjan.

Invités par le maître de cérémonie, l’animatrice télé Mariam Coulibaly, le ministre du Tourisme et des loisirs, Siandou Fofana, la cheffe de de la diplomatie Kandia Camara, et le ministre de la Promotion des PME et de l’artisanat, Félix Anoblé, ont défilé sous des slaves d’applaudissements du public. 

Peu avant, l’artiste ivoirien Manadja, membre du Groupe Magic System, est apparu sur la scène, vêtu d’un complet pourpre, esquissant des pas tout le long du podium pour exhiber son apparat, somptueux et d’éclat. Il avait à ses côtés l’animatrice télé de Caroline DaSylva. 

Les mannequins ayant fait la parade d’ouverture de l’édition 2021 de Afrik fashion show, promue par l’Ivoirienne Isabelle Anoh, étaient habillés par le styliste de renom, Pathé’O, l’un des couturiers de feu Nelson Mandela.

Pathé’O a dit « merci aux ministres qui ont rehaussé cette cérémonie par leur présence », avant de lancer à l’endroit de l’assistance « portez (ce que le continent produit parce que)  l’Afrique doit se développer par les Africains ».

La 15e session de cette grande messe de la mode, dédiée à la « créativité et à l’élégance », a eu pour thème « Valorisation du Made in Côte d’Ivoire ». Cette thématique illustre le combat du label Made in Côte d’Ivoire de Mme Isabelle Anoh. 

Meeting de la créativité,  sur les bords de la lagune Ebrié,  Afrik fashion show, a pris le pari de réunir 15 stylistes ivoiriens représentant quatre générations de créateurs, qui ont exposé leur savoir-faire. 

L’une des innovations de cette édition, est la vente éphémère qui a débuté dans la matinée de samedi et qui a pris fin après le défilé qui a démontré la résilience des stylistes et des créateurs de modes, également impactés par les effets de la pandémie de Covid-19.

« Les marques ivoiriennes qui exposent nous confortent dans le choix de valoriser le label Made in Côte d’Ivoire », a déclaré Mme Isabelle Anoh, qui a salué les acteurs de l’écosystème, les mannequins, les fabriquants de textiles, ceux de de la coiffure et de la cosmétique.   

De Tendance Party à Afrik fashion show, Isabelle Anoh, en dépit des défis du parcours, a toujours su donner une impulsion à son rêve et à sa passion. Cela fait 15 ans que dure cette aventure qui se bonifie au fil des ans. 

Elle a annoncé que dès la 16e édition, Afrik fashion show se nommera désormais « Afrik fashion week » et s’étendra sur plusieurs jours avec un Comité scientifique, un Comité organisationnel et une participation plus accrue des acteurs de la mode.  

Plus d’un millier de personnes, ferrures de la mode et venus de divers horizons du continent, ont pris part à la 15e édition de Afrik fashion show, qui a dévoilé des marques telles « Missano » by I. Anoh ou encore Diamond couture.  

La 5e édition de la Journée nationale du partenariat s’ouvre lundi à Abidjan

La 5e édition de la Journée nationale du partenariat Etat/secteur privé (JNP) s’ouvre, lundi, à Abidjan pour débattre de « la vision 2030 du développement de la Côte d’Ivoire».

Cette cinquième  édition  vise à renforcer la vision partagée et complémentaire entre l’Etat et le secteur privé pour l’atteinte des objectifs de développement socio-économique de la Côte d’Ivoire à l’horizon 2030.

La  JNP se positionne comme le rendez-vous clé et le cadre d’échanges propices, entre autres, à la présentation des réformes et efforts consentis par l’Etat et à l’expression des attentes du secteur privé.

Après avoir enregistré 3 463 participants à la précédente édition de 2019, celle de 2021 sera organisée dans un format hybride avec 2 000 personnes en présentiel et 5 000 autres en ligne.

La première journée s’ouvrira avec la session régionale de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) dédiée au partage d’expériences sur le dialogue public/privé.

 S’en suivra, le premier atelier thématique sur «intégration économique africaine : quelles opportunités avec la ZLECAF (Zone de libre-échange continentale africaine) dans la vision 2030 ». 

Le second temps fort de cette première journée sera la cérémonie d’ouverture en début d’après-midi avec l’allocution du Premier ministre Patrick Achi, haut patron de cette journée et président du Conseil de Concertation qui viendra en réponse à celle du président de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI, patronat ivoirien), représentant le secteur privé.

Cette série de discours sera ouverte par le ministre de l’Economie et des finances, président du Comité Technique de Concertation et président de la JNP 2021. Les visites du site des B to G et de l’espace d’exposition, meubleront également cette première journée.

 Le volet  scientifique de la JNP 2021 s’ouvrira avec le premier panel autour du thème, «reprise économique post-covid : rôle de l’Etat et stratégie des entreprises ». 

La deuxième journée débutera avec l’organisation de trois ateliers thématiques qui se tiendront de façon parallèle sur les thèmes: « développement des pôles économiques régionaux compétitifs : enjeux et  défis », « PND (Plan national de développement)  2021-2025 : quelles opportunités pour le secteur productif ? » et «accès au financement des entreprises : activités des Fonds Covid et garantie des crédits  aux entreprises ».

Un panel de clôture sur le thème,  «vision Côte d’Ivoire 2030: contribution du partenariat Etat secteur privé », permettra au cabinet du premier ministre, d’approfondir la réflexion avec la participation du patronat ivoirien, de la Fédération ivoirienne des PME et  de la Banque mondiale.

La cérémonie de clôture, qui verra la remise des cinq différents prix du partenariat, ainsi que les prix spéciaux  aux acteurs de l’administration publique et du secteur privé viendra clore ces deux journées de réflexions.

La 5e édition de la Journée nationale du partenariat s’ouvre lundi à Abidjan

La 5e édition de la Journée nationale du partenariat Etat/secteur privé (JNP) s’ouvre, lundi, à Abidjan pour débattre de « la vision 2030 du développement de la Côte d’Ivoire».

Cette cinquième  édition  vise à renforcer la vision partagée et complémentaire entre l’Etat et le secteur privé pour l’atteinte des objectifs de développement socio-économique de la Côte d’Ivoire à l’horizon 2030.

La  JNP se positionne comme le rendez-vous clé et le cadre d’échanges propices, entre autres, à la présentation des réformes et efforts consentis par l’Etat et à l’expression des attentes du secteur privé.

Après avoir enregistré 3 463 participants à la précédente édition de 2019, celle de 2021 sera organisée dans un format hybride avec 2 000 personnes en présentiel et 5 000 autres en ligne.

La première journée s’ouvrira avec la session régionale de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) dédiée au partage d’expériences sur le dialogue public/privé.

 S’en suivra, le premier atelier thématique sur «intégration économique africaine : quelles opportunités avec la ZLECAF (Zone de libre-échange continentale africaine) dans la vision 2030 ». 

Le second temps fort de cette première journée sera la cérémonie d’ouverture en début d’après-midi avec l’allocution du Premier ministre Patrick Achi, haut patron de cette journée et président du Conseil de Concertation qui viendra en réponse à celle du président de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI, patronat ivoirien), représentant le secteur privé.

Cette série de discours sera ouverte par le ministre de l’Economie et des finances, président du Comité Technique de Concertation et président de la JNP 2021. Les visites du site des B to G et de l’espace d’exposition, meubleront également cette première journée.

 Le volet  scientifique de la JNP 2021 s’ouvrira avec le premier panel autour du thème, «reprise économique post-covid : rôle de l’Etat et stratégie des entreprises ». 

La deuxième journée débutera avec l’organisation de trois ateliers thématiques qui se tiendront de façon parallèle sur les thèmes: « développement des pôles économiques régionaux compétitifs : enjeux et  défis », « PND (Plan national de développement)  2021-2025 : quelles opportunités pour le secteur productif ? » et «accès au financement des entreprises : activités des Fonds Covid et garantie des crédits  aux entreprises ».

Un panel de clôture sur le thème,  «vision Côte d’Ivoire 2030: contribution du partenariat Etat secteur privé », permettra au cabinet du premier ministre, d’approfondir la réflexion avec la participation du patronat ivoirien, de la Fédération ivoirienne des PME et  de la Banque mondiale.

La cérémonie de clôture, qui verra la remise des cinq différents prix du partenariat, ainsi que les prix spéciaux  aux acteurs de l’administration publique et du secteur privé viendra clore ces deux journées de réflexions.

Abidjan accueille le 3e sommet de AfricTivistes

Le 3e sommet de AfricTivistes s’ouvre le jeudi prochain à Abidjan autour du thème « promouvoir le développement et la gouvernance démocratique de l’internet en Afrique ».

Cette édition permettra de mettre en avant la maturité des écosystèmes africains et d’encourager la réflexion pour imaginer les scénarios des futurs possibles et des nouvelles perspectives africaines de la société de l’information et du cyberespace.

Ce sera aussi l’occasion de réfléchir sur les différentes questions liées aux mécanismes systémiques et institutionnels de gouvernance d’internet pour un écosystème plus juste et plus respectueux des droits humains, souligne l’organisation dans un communiqué transmis à APA, dimanche.

« Ce sommet d’Abidjan, marque une réelle volonté d’intégration africaine, de consolidation des différentes initiatives pour un internet plus neutre et accessible et de mutualisation des compétences à l’échelle du continent et auprès des citoyens actifs que nous composons », ajoute l’organisation précisant que les travaux se dérouleront les 11, 12 et 13 novembre.

Au-delà de la mise en réseau d’acteurs de changement et de la promotion de la démocratie participative, les Sommets AfricTivistes symbolisent aussi une activité au titre d’un événement d’une ‘’Union Africaine” des peuples.

Ce rendez-vous continental se déroulera sur trois jours et réunira 70 personnes dont 20 locaux. Ces activistes du web, acteurs du changement, membres de mouvements sociaux, chercheurs et innovateurs, partenaires, blogueurs, journalistes et netizens du continent vont se pencher sur plusieurs  thématiques.

Il s’agit notamment :  Compétences numériques et communautés en ligne; Gouvernements: goulot d’étranglement pour le développement de l’Internet en Afrique ?; Perturbations à l’engagement civique en raison du manque d’accès à internet; Gouvernance de l’Internet en Afrique : quels rôles pour  la société civile; Utiliser les réseaux d’organisations de la société civile pour promouvoir la démocratie en Afrique.

Cet évènement est organisé chaque deux ans en vue de discuter des enjeux du continent en relation avec la démocratie et la bonne gouvernance ainsi que la place et l’impact du numérique dans les processus démocratiques, la gouvernance et la conscience citoyenne.

AfricTivistes est une organisation panafricaine basée à Dakar. AfricTivistes fédère les blogueurs et web-activistes du continent pour promouvoir et défendre les valeurs démocratiques, les droits humains et la bonne gouvernance à travers le numérique.

Lancée en novembre 2015, AfricTivistes est une sentinelle de la démocratie dans tous les pays africains. A ce titre, la ligue est résolue à intervenir directement ou à faire des plaidoyers pour faire intervenir des acteurs dans les différents processus de changement politique et social.

 Elle mène et pilote des projets de développement et d’implication citoyenne dans les dispositifs démocratiques.

Abidjan accueille le 3e sommet de AfricTivistes

Le 3e sommet de AfricTivistes s’ouvre le jeudi prochain à Abidjan autour du thème « promouvoir le développement et la gouvernance démocratique de l’internet en Afrique ».

Cette édition permettra de mettre en avant la maturité des écosystèmes africains et d’encourager la réflexion pour imaginer les scénarios des futurs possibles et des nouvelles perspectives africaines de la société de l’information et du cyberespace.

Ce sera aussi l’occasion de réfléchir sur les différentes questions liées aux mécanismes systémiques et institutionnels de gouvernance d’internet pour un écosystème plus juste et plus respectueux des droits humains, souligne l’organisation dans un communiqué transmis à APA, dimanche.

« Ce sommet d’Abidjan, marque une réelle volonté d’intégration africaine, de consolidation des différentes initiatives pour un internet plus neutre et accessible et de mutualisation des compétences à l’échelle du continent et auprès des citoyens actifs que nous composons », ajoute l’organisation précisant que les travaux se dérouleront les 11, 12 et 13 novembre.

Au-delà de la mise en réseau d’acteurs de changement et de la promotion de la démocratie participative, les Sommets AfricTivistes symbolisent aussi une activité au titre d’un événement d’une ‘’Union Africaine” des peuples.

Ce rendez-vous continental se déroulera sur trois jours et réunira 70 personnes dont 20 locaux. Ces activistes du web, acteurs du changement, membres de mouvements sociaux, chercheurs et innovateurs, partenaires, blogueurs, journalistes et netizens du continent vont se pencher sur plusieurs  thématiques.

Il s’agit notamment :  Compétences numériques et communautés en ligne; Gouvernements: goulot d’étranglement pour le développement de l’Internet en Afrique ?; Perturbations à l’engagement civique en raison du manque d’accès à internet; Gouvernance de l’Internet en Afrique : quels rôles pour  la société civile; Utiliser les réseaux d’organisations de la société civile pour promouvoir la démocratie en Afrique.

Cet évènement est organisé chaque deux ans en vue de discuter des enjeux du continent en relation avec la démocratie et la bonne gouvernance ainsi que la place et l’impact du numérique dans les processus démocratiques, la gouvernance et la conscience citoyenne.

AfricTivistes est une organisation panafricaine basée à Dakar. AfricTivistes fédère les blogueurs et web-activistes du continent pour promouvoir et défendre les valeurs démocratiques, les droits humains et la bonne gouvernance à travers le numérique.

Lancée en novembre 2015, AfricTivistes est une sentinelle de la démocratie dans tous les pays africains. A ce titre, la ligue est résolue à intervenir directement ou à faire des plaidoyers pour faire intervenir des acteurs dans les différents processus de changement politique et social.

 Elle mène et pilote des projets de développement et d’implication citoyenne dans les dispositifs démocratiques.

Côte d’Ivoire: 28 athlètes décrochent l’or au championnat des arts martiaux chinois

Vingt-huit athlètes ont décroché la médaille d’or à l’occasion du championnat national des arts martiaux chinois de Côte d’Ivoire, tenu les 30 et 31 octobre 2021, à Kani, dans le Nord ivoirien.

Ce championnat national en Traolou (technique ou kata) et Sanda (combats), sénior et junior, délocalisé à Kani, ville située à 563 Km au Nord d’Abidjan, a été organisé par la Fédération ivoirienne des arts martiaux chinois (FIAMC). 

L’événement a été marqué par des démonstrations et des compétitions. Le président de la FIAMC, Maître Méïté Siaka, a souligné que cette discipline, outre la défense, procure la santé physique, morale et inculque des valeurs. 

Depuis 12 ans qu’il dirige cette fédération, fera-t-il observer, l’organisation a glané environ 99 médailles à son actif et 70% étant des médailles d’or. Cette session a enregistré le champion d’Afrique poids lourd dans la série des combats. 

Le champion d’Afrique en tao  (technique) était également de cette partie qui s’est déroulée dans la rubrique à main nue, la rubrique à armes courtes, à arme longue et le taiji chan, les compétiteurs ayant la possibilité de faire les formes souples. 

Le député de Kani commune et sous-préfecture, Ben Méïté, s’est réjoui de ce que l’édition 2021 de ce championnat national se tienne, dans sa circonscription, la preuve que « ce qui se fait à Abidjan peut aussi se faire à Kani ».

Pour lui, les arts martiaux chinois permettent de se défendre, mais constituent aussi « un véhicule de valeurs et d’humilité » nécessaires aux Ivoiriens, notamment les jeunes en vue de la construction d’un Etat « solidaire ». 

Voici la liste des lauréats 

RÉSULTATS SANDA

SENIOR HOMMES (SANDA)

– catégorie 52 Kg (Sanda)

1er, Jean Baptiste Assamoi, médaille d’or 

2e, Cissé Yacouba, médaille d’argent 

3e, Kalifa Koné, médaille de bronze

3e ex, Komité Kolié, médaille de bronze 

-catégorie 56 Kg Hommes (Sanda)

1er, Jonathan Koffi Kouakou, médaille d’or

2e, Akissi Séka, médaille d’argent 

3e, Marcelin Kouamé Kouassi, médaille de bronze 

-catégorie 60 Kg Hommes (Sanda) 

1er, Hervé Kouamé Kouadio, médaille d’or 

2e, Diby Alloh, médaille d’argent 

3e, Ousmane Doumbia, médaille de bronze 

3e ex, Arouna Belem, médaille de bronze 

-catégorie 65 Kg Hommes (Sanda)

1er, Hamed Kallo, médaille d’

2e, Dramane Coulibaly Adjai, médaille d’argent 

3e, Soro Zié,  médaille de bronze 

3e ex, Amara Kamagaté, médaille de bronze 

-catégorie 70 Kg Hommes (Sanda)

1er, Mensa Aka Miezan, médaille d’or 

2e, Koné Cheick, médaille d’argent 

3e, Sy Abdul Aziz, médaille de bronze 

3e ex, Cissé Abdoulaye, médaille de bronze

-catégorie 75 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Moussa Touré, médaille d’or 

2e, Traoré Ibrahim, médaille d’argent 

3e, Bakayoko Lacina, bronze

3e ex, Traoré Soumaila, bronze 

-catégorie 80 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Lath Wilfried, médaille or

2e, Tra Bi Botty Rodrigue, médaille d’argent 

3e, Koné Zié, médaille de bronze 

-catégorie 85 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Douma Serge Pacome, médaille d’or

2e, Bakaré Akim, médaille de bronze 

-catégorie 90 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Kouyaté Mory, médaille d’or

2e, Ouoba Ibrahim, médaille d’argent 

3e, Issouf Idrissa, médaille de bronze 

-catégorie 90 Kg Hommes 

1er, Koffi Bhaly Ricardo, médaille d’or 

2e, Yedoh Meledje François 

JUNIOR HOMMES (SANDA)

-catégorie 56 Kg Hommes 

1er, Houphouët Kouassi, médaille d’or 

2e, Ballet Forest Elisée, médaille d’argent 

-catégorie 60 Kg Hommes 

1er, Kallo Oumarou, médaille d’or 

2e, Aurel Atchoum Marc, médaille d’argent 

3e, Ouedraogo Abdul Fatao, médaille de bronze 

3e ex, Nguessan Kouakou Guy Mathieu,  médaille de bronze 

-catégorie 75 Kg Hommes 

1er, Coulibaly Abou, médaille d’or 

2e, Konan Allou Zilé, médaille d’argent

3e, Nguessan Kouakou Ezechiel, médaille de bronze 

JUNIOR FEMMES (SANDA)

-catégorie 52 Kg et 52 Kg hors rang

1er, Ory Doriane, médaille d’or 

2e, Yeo Henriette, médaille d’argent 

3e, Silué Grâce, médaille de bronze 

3e ex, Lady Awa Honorine, médaille de bronze 

-catégorie 65 Kg Femmes 

1er, Haba Jeanne, médaille d’or

2e, Lokoubi Zémini, médaille d’argent 

3e, Kanté Radia, médaille de bronze 

3e ex, Coulibaly Maimouna, médaille de bronze 

-catégorie 80 Kg Femmes 

1er, Meité Nowata, médaille d’or 

2e, Kanga Amenan, médaille d’argent 

RESULTATS TRAOLOU

SENIOR HOMMES (Traolou)

-catégorie mains nues

1er, Soro Guy Roland, médaille d’or 

2e, Yama Aké Mobio Alex, médaille d’argent 

3e, M’Bolo Gaël,  médaille de bronze 

-catégorie Tadji Chuan mains nues

1er, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Sawadogo Paul, médaille d’argent 

3e, Yeo Chigata, médaille de bronze 

-catégorie traditionnel mains nues

1er, Bamba Beh Moussa, médaille d’or 

2e, Coulibaly Tiémokodjan, médaille d’argent 

3e, Okou  Assenan, médaille de bronze 

-catégorie armes courtes

1er, Kouabenan Beranger, médaille d’or 

2e, Soro Guy Roland, médaille d’argent 

3e, Yama Aké Mobio, médaille de bronze 

-catégorie Taji chuan à armee

1e, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Soro Alama, médaille d’argent 

3e, Yeo Chigata, médaille de bronze 

-catégorie traditionnel à armes 

1er, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Barry Abdou Salam, médaille d’argent 

-catégorie armes longues

1er, Yama Aké Mobio, médaille d’or 

2e, Soro Guy Roland, médaille d’argent 

3e, Kouabenan Beranger, médaille de bronze 

JUNIOR HOMMES  (Traolou)

-catégorie mains nues

1er, Kesse Douad, médaille d’or 

2e, Brenoum Kouadio Henoc, médaille d’argent 

3e, Kouakou Ndri Yvann, médaille de bronze 

-catégorie armes courtes 

1er, Kesse Douad, médaille d’or

2e, Bamba Ben Mohamed, médaille de bronze 

3e, Kouakou Ndri Yvann, médaille de bronze 

-catégorie armes longues

1er, Kesse Douad, médaille d’or 

2e, Kouakou Ndri Yvann, médaille d’argent 

3e, Brenoum Kouadio Henoc, médaille de bronze 

JUNIOR FEMMES  (Traolou)

-catégorie mains nues 

1er,  Ehoussou Annick, médaille d’or 

2e, Tiemoko Carmelle, médaille d’argent 

3e, Bakayoko Aminata, médaille de bronze 

-catégorie armes 

1er, Bakayoko Aminata, médaille d’or

2e,  Tiémoko Carmelle, médaille d’argent 

3e, Ehoussou Annick, médaille de bronze 

Côte d’Ivoire: 28 athlètes décrochent l’or au championnat des arts martiaux chinois

Vingt-huit athlètes ont décroché la médaille d’or à l’occasion du championnat national des arts martiaux chinois de Côte d’Ivoire, tenu les 30 et 31 octobre 2021, à Kani, dans le Nord ivoirien.

Ce championnat national en Traolou (technique ou kata) et Sanda (combats), sénior et junior, délocalisé à Kani, ville située à 563 Km au Nord d’Abidjan, a été organisé par la Fédération ivoirienne des arts martiaux chinois (FIAMC). 

L’événement a été marqué par des démonstrations et des compétitions. Le président de la FIAMC, Maître Méïté Siaka, a souligné que cette discipline, outre la défense, procure la santé physique, morale et inculque des valeurs. 

Depuis 12 ans qu’il dirige cette fédération, fera-t-il observer, l’organisation a glané environ 99 médailles à son actif et 70% étant des médailles d’or. Cette session a enregistré le champion d’Afrique poids lourd dans la série des combats. 

Le champion d’Afrique en tao  (technique) était également de cette partie qui s’est déroulée dans la rubrique à main nue, la rubrique à armes courtes, à arme longue et le taiji chan, les compétiteurs ayant la possibilité de faire les formes souples. 

Le député de Kani commune et sous-préfecture, Ben Méïté, s’est réjoui de ce que l’édition 2021 de ce championnat national se tienne, dans sa circonscription, la preuve que « ce qui se fait à Abidjan peut aussi se faire à Kani ».

Pour lui, les arts martiaux chinois permettent de se défendre, mais constituent aussi « un véhicule de valeurs et d’humilité » nécessaires aux Ivoiriens, notamment les jeunes en vue de la construction d’un Etat « solidaire ». 

Voici la liste des lauréats 

RÉSULTATS SANDA

SENIOR HOMMES (SANDA)

– catégorie 52 Kg (Sanda)

1er, Jean Baptiste Assamoi, médaille d’or 

2e, Cissé Yacouba, médaille d’argent 

3e, Kalifa Koné, médaille de bronze

3e ex, Komité Kolié, médaille de bronze 

-catégorie 56 Kg Hommes (Sanda)

1er, Jonathan Koffi Kouakou, médaille d’or

2e, Akissi Séka, médaille d’argent 

3e, Marcelin Kouamé Kouassi, médaille de bronze 

-catégorie 60 Kg Hommes (Sanda) 

1er, Hervé Kouamé Kouadio, médaille d’or 

2e, Diby Alloh, médaille d’argent 

3e, Ousmane Doumbia, médaille de bronze 

3e ex, Arouna Belem, médaille de bronze 

-catégorie 65 Kg Hommes (Sanda)

1er, Hamed Kallo, médaille d’

2e, Dramane Coulibaly Adjai, médaille d’argent 

3e, Soro Zié,  médaille de bronze 

3e ex, Amara Kamagaté, médaille de bronze 

-catégorie 70 Kg Hommes (Sanda)

1er, Mensa Aka Miezan, médaille d’or 

2e, Koné Cheick, médaille d’argent 

3e, Sy Abdul Aziz, médaille de bronze 

3e ex, Cissé Abdoulaye, médaille de bronze

-catégorie 75 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Moussa Touré, médaille d’or 

2e, Traoré Ibrahim, médaille d’argent 

3e, Bakayoko Lacina, bronze

3e ex, Traoré Soumaila, bronze 

-catégorie 80 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Lath Wilfried, médaille or

2e, Tra Bi Botty Rodrigue, médaille d’argent 

3e, Koné Zié, médaille de bronze 

-catégorie 85 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Douma Serge Pacome, médaille d’or

2e, Bakaré Akim, médaille de bronze 

-catégorie 90 Kg Hommes  (Sanda)

1er, Kouyaté Mory, médaille d’or

2e, Ouoba Ibrahim, médaille d’argent 

3e, Issouf Idrissa, médaille de bronze 

-catégorie 90 Kg Hommes 

1er, Koffi Bhaly Ricardo, médaille d’or 

2e, Yedoh Meledje François 

JUNIOR HOMMES (SANDA)

-catégorie 56 Kg Hommes 

1er, Houphouët Kouassi, médaille d’or 

2e, Ballet Forest Elisée, médaille d’argent 

-catégorie 60 Kg Hommes 

1er, Kallo Oumarou, médaille d’or 

2e, Aurel Atchoum Marc, médaille d’argent 

3e, Ouedraogo Abdul Fatao, médaille de bronze 

3e ex, Nguessan Kouakou Guy Mathieu,  médaille de bronze 

-catégorie 75 Kg Hommes 

1er, Coulibaly Abou, médaille d’or 

2e, Konan Allou Zilé, médaille d’argent

3e, Nguessan Kouakou Ezechiel, médaille de bronze 

JUNIOR FEMMES (SANDA)

-catégorie 52 Kg et 52 Kg hors rang

1er, Ory Doriane, médaille d’or 

2e, Yeo Henriette, médaille d’argent 

3e, Silué Grâce, médaille de bronze 

3e ex, Lady Awa Honorine, médaille de bronze 

-catégorie 65 Kg Femmes 

1er, Haba Jeanne, médaille d’or

2e, Lokoubi Zémini, médaille d’argent 

3e, Kanté Radia, médaille de bronze 

3e ex, Coulibaly Maimouna, médaille de bronze 

-catégorie 80 Kg Femmes 

1er, Meité Nowata, médaille d’or 

2e, Kanga Amenan, médaille d’argent 

RESULTATS TRAOLOU

SENIOR HOMMES (Traolou)

-catégorie mains nues

1er, Soro Guy Roland, médaille d’or 

2e, Yama Aké Mobio Alex, médaille d’argent 

3e, M’Bolo Gaël,  médaille de bronze 

-catégorie Tadji Chuan mains nues

1er, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Sawadogo Paul, médaille d’argent 

3e, Yeo Chigata, médaille de bronze 

-catégorie traditionnel mains nues

1er, Bamba Beh Moussa, médaille d’or 

2e, Coulibaly Tiémokodjan, médaille d’argent 

3e, Okou  Assenan, médaille de bronze 

-catégorie armes courtes

1er, Kouabenan Beranger, médaille d’or 

2e, Soro Guy Roland, médaille d’argent 

3e, Yama Aké Mobio, médaille de bronze 

-catégorie Taji chuan à armee

1e, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Soro Alama, médaille d’argent 

3e, Yeo Chigata, médaille de bronze 

-catégorie traditionnel à armes 

1er, Lella Marc Aurel, médaille d’or 

2e, Barry Abdou Salam, médaille d’argent 

-catégorie armes longues

1er, Yama Aké Mobio, médaille d’or 

2e, Soro Guy Roland, médaille d’argent 

3e, Kouabenan Beranger, médaille de bronze 

JUNIOR HOMMES  (Traolou)

-catégorie mains nues

1er, Kesse Douad, médaille d’or 

2e, Brenoum Kouadio Henoc, médaille d’argent 

3e, Kouakou Ndri Yvann, médaille de bronze 

-catégorie armes courtes 

1er, Kesse Douad, médaille d’or

2e, Bamba Ben Mohamed, médaille de bronze 

3e, Kouakou Ndri Yvann, médaille de bronze 

-catégorie armes longues

1er, Kesse Douad, médaille d’or 

2e, Kouakou Ndri Yvann, médaille d’argent 

3e, Brenoum Kouadio Henoc, médaille de bronze 

JUNIOR FEMMES  (Traolou)

-catégorie mains nues 

1er,  Ehoussou Annick, médaille d’or 

2e, Tiemoko Carmelle, médaille d’argent 

3e, Bakayoko Aminata, médaille de bronze 

-catégorie armes 

1er, Bakayoko Aminata, médaille d’or

2e,  Tiémoko Carmelle, médaille d’argent 

3e, Ehoussou Annick, médaille de bronze 

Abidjan et Abuja signent 9 accords bilatéraux et économiques

La Côte d’Ivoire et la République fédérale du Nigéria ont signé samedi à Abidjan neuf accords bilatéraux et économiques dont un protocole en matière de coopération militaire.

Ces accords ont été signés à la clôture de la 2e Grande commission mixte de coopération ivoiro-nigériane, tenue à Abidjan du 4 au 6 novembre 2021, en présence du Premier ministre ivoirien Patrick Achi et du vice-président du Nigéria, Yemi Osinbajo.

Les différents protocoles ont été paraphés, pour la partie nigériane par M. Yemi Osinbajo, tandis que le Premier ministre ivoirien, représentait l’Etat de Côte d’Ivoire. Ces neuf accords de coopération viennent renforcer les relations entre ces deux pays ouest-africains.

Les deux parties ont signé un protocole d’accord en matière de coopération militaire, en matière de protection civile et d’assistance technique, et un autre sur la coopération dans la lutte contre la production, la fabrication et le trafic illicite de stupéfiants et de substances psychotropes.

Elles ont en outre signé un mémorandum d’entente dans le domaine des sports, et un autre sur la coopération culturelle, puis une lettre d’intention entre la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci, Patronat ivoirien) et l’Association des manufacturiés du Nigéria.

Le vice-président du Nigéria, Yemi Osinbajo, qui conduisait une importante délégation, s’est dit « très heureux » de ces accords qui ont été signés et qui renforcent surtout les relations entre les secteurs privés des deux pays.

Pour sa part, M. Patrick Achi a salué le leadership affirmé de M. Osinbajo et ses orientations constructives qui ont permis d’adopter des recommandations pertinentes devant aider leurs deux pays à réactiver de manière consensuelle les leviers d’une coopération bilatérale. 

« Il nous faudra dans les mois à venir procéder à la signature de nouveaux accords qui élargissent davantage le champ de notre coopération et prennent en compte les besoins réels de nos peuples », a dit M. Patrick Achi.

Face à la montée en puissance du terrorisme dans la sous-région, qui exige plus que jamais une réponse ferme et concertée des pays, M. Patrick Achi a appelé à une coopération militaire plus accrue. 

« C’est pourquoi nous accueillons favorablement les négociations en cours en vue de la signature de bien d’autels accords qui permettront de renforcer davantage la sécurité au sein de notre espace communautaire », a-t-il ajouté.

Le chef de la diplomatie ivoirienne, Kandia Camara, a fait savoir que 20 projets d’accords sont en cours de négociations, déclarant que les investisseurs ivoiriens ne bénéficient pas de facilités au Nigéria du fait de la législation, notamment les restrictions liées aux transferts financiers. 

La République fédérale du Nigéria est le premier partenaire économique de la Côte d’Ivoire sur le continent africain. Les échanges commerciaux entre les deux pays s’élèvent à 860,874 milliards Fcfa en 2020, soit plus de 1,5 milliard de dollars US. 

Le 1er août 2013, a eu lieu la première session de la Grande Commission mixte ivoiro-nigériane à Abuja. Les deux États ont convenu de la réactivation et de l’accélération du projet de l’autoroute -Abidjan-Lagos. 

La troisième session est prévue au Nigéria. Les deux pays ont au terme de la rencontre de haut niveau réaffirmé leurs engagements à œuvrer à la consolidation des acquis et au renforcement des liens d’amitié et de coopération.

Abidjan et Abuja signent 9 accords bilatéraux et économiques

La Côte d’Ivoire et la République fédérale du Nigéria ont signé samedi à Abidjan neuf accords bilatéraux et économiques dont un protocole en matière de coopération militaire.

Ces accords ont été signés à la clôture de la 2e Grande commission mixte de coopération ivoiro-nigériane, tenue à Abidjan du 4 au 6 novembre 2021, en présence du Premier ministre ivoirien Patrick Achi et du vice-président du Nigéria, Yemi Osinbajo.

Les différents protocoles ont été paraphés, pour la partie nigériane par M. Yemi Osinbajo, tandis que le Premier ministre ivoirien, représentait l’Etat de Côte d’Ivoire. Ces neuf accords de coopération viennent renforcer les relations entre ces deux pays ouest-africains.

Les deux parties ont signé un protocole d’accord en matière de coopération militaire, en matière de protection civile et d’assistance technique, et un autre sur la coopération dans la lutte contre la production, la fabrication et le trafic illicite de stupéfiants et de substances psychotropes.

Elles ont en outre signé un mémorandum d’entente dans le domaine des sports, et un autre sur la coopération culturelle, puis une lettre d’intention entre la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci, Patronat ivoirien) et l’Association des manufacturiés du Nigéria.

Le vice-président du Nigéria, Yemi Osinbajo, qui conduisait une importante délégation, s’est dit « très heureux » de ces accords qui ont été signés et qui renforcent surtout les relations entre les secteurs privés des deux pays.

Pour sa part, M. Patrick Achi a salué le leadership affirmé de M. Osinbajo et ses orientations constructives qui ont permis d’adopter des recommandations pertinentes devant aider leurs deux pays à réactiver de manière consensuelle les leviers d’une coopération bilatérale. 

« Il nous faudra dans les mois à venir procéder à la signature de nouveaux accords qui élargissent davantage le champ de notre coopération et prennent en compte les besoins réels de nos peuples », a dit M. Patrick Achi.

Face à la montée en puissance du terrorisme dans la sous-région, qui exige plus que jamais une réponse ferme et concertée des pays, M. Patrick Achi a appelé à une coopération militaire plus accrue. 

« C’est pourquoi nous accueillons favorablement les négociations en cours en vue de la signature de bien d’autels accords qui permettront de renforcer davantage la sécurité au sein de notre espace communautaire », a-t-il ajouté.

Le chef de la diplomatie ivoirienne, Kandia Camara, a fait savoir que 20 projets d’accords sont en cours de négociations, déclarant que les investisseurs ivoiriens ne bénéficient pas de facilités au Nigéria du fait de la législation, notamment les restrictions liées aux transferts financiers. 

La République fédérale du Nigéria est le premier partenaire économique de la Côte d’Ivoire sur le continent africain. Les échanges commerciaux entre les deux pays s’élèvent à 860,874 milliards Fcfa en 2020, soit plus de 1,5 milliard de dollars US. 

Le 1er août 2013, a eu lieu la première session de la Grande Commission mixte ivoiro-nigériane à Abuja. Les deux États ont convenu de la réactivation et de l’accélération du projet de l’autoroute -Abidjan-Lagos. 

La troisième session est prévue au Nigéria. Les deux pays ont au terme de la rencontre de haut niveau réaffirmé leurs engagements à œuvrer à la consolidation des acquis et au renforcement des liens d’amitié et de coopération.

La politique s’offre la Une de la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais de ce samedi continuent de traiter de l’actualité politique, en insistant sur le rejet et la forclusion de certaines listes de l’opposition aux élections locales du 23 janvier 2022. »Dépôt des candidatures : L’opposition liste ses rejets », titre Le Quotidien, soulignant que Yewwi Askan Wi est invalidée à Mbour, Golfe Sud, Sam Notaire, Kédougou…Gueum sa bopp à Dakar, Saint-Louis….Pastef Mermoz interpelle Sonko sur la liste de Barthélemy Dias.

« Locales 2022 : entre forclusions et irrecevabilités-L’opposition dans la tourmente », renseigne Sud Quotidien, à côté du journal EnQuête qui s’exclame : « Lovales 2022 : Forclusions en casacade ». Ce journal estime qu’il y a de l’amateurisme dans certains états-majors politiques, mais qu’au milieu des suspicions, il y a le rôle délicat et crucial de l’administration territoriale.

Cela pousse Les Échos à dire que « les Préfets font la pluie et le beau temps » en invalidant certaines listes de l’opposition.

« Candidature à la mairie de Dakar : Bougane Guèye Dany écarté de la course. Le Préfet rejette la liste de la coalition Gueum sa bopp pour la ville de Dakar. Le patron de D-Média crie au complot et annonce un recours devant la Cour suprême », détaille L’As à sa Une.

A Kédougou, nos confrères informent également du rejet de la liste de la coalition Yewwi Askan Wi (YAW) dirigée par l’ancien ministre, Moustapha Guirassy. 

« Locales de 2022 à Ziguinchor : Baldé (maire sortant) dépouille Benno Bokk Yakkar (coalition présidentielle) et fusille Benoît Sambou (tête de liste communale) », poursuit L’As.

Pendant ce temps, Libération fait des révélations sur la forclusion de Gueum sa bopp à Mbour et informe que c’est le mandataire qui s’est barré avec la liste.

Faisant état de verdict des commissions de réception des candidatures aux locales, Source A note que c’est « dur pour les recalés ».

Libération s’intéresse aux cautions versées par les partis et coalitions à la Caisse des dépôts et consignations et retient un total de 1,320 milliard f cfa.

« Pour recouvrer plus de 7 milliards d’impôts, le Fisc bloque les comptes de l’Université Gaston Berger », révèle L’As, là où Walf Quotidien indique : « Ses comptes gelés par le Fisc : l’Ugb au bord de l’asphyxie ».

De son côté, Le Soleil consacre sa Une à l’orchestre national qui est « à la recherche d’une gloire perdue ».

La politique s’offre la Une de la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais de ce samedi continuent de traiter de l’actualité politique, en insistant sur le rejet et la forclusion de certaines listes de l’opposition aux élections locales du 23 janvier 2022. »Dépôt des candidatures : L’opposition liste ses rejets », titre Le Quotidien, soulignant que Yewwi Askan Wi est invalidée à Mbour, Golfe Sud, Sam Notaire, Kédougou…Gueum sa bopp à Dakar, Saint-Louis….Pastef Mermoz interpelle Sonko sur la liste de Barthélemy Dias.

« Locales 2022 : entre forclusions et irrecevabilités-L’opposition dans la tourmente », renseigne Sud Quotidien, à côté du journal EnQuête qui s’exclame : « Lovales 2022 : Forclusions en casacade ». Ce journal estime qu’il y a de l’amateurisme dans certains états-majors politiques, mais qu’au milieu des suspicions, il y a le rôle délicat et crucial de l’administration territoriale.

Cela pousse Les Échos à dire que « les Préfets font la pluie et le beau temps » en invalidant certaines listes de l’opposition.

« Candidature à la mairie de Dakar : Bougane Guèye Dany écarté de la course. Le Préfet rejette la liste de la coalition Gueum sa bopp pour la ville de Dakar. Le patron de D-Média crie au complot et annonce un recours devant la Cour suprême », détaille L’As à sa Une.

A Kédougou, nos confrères informent également du rejet de la liste de la coalition Yewwi Askan Wi (YAW) dirigée par l’ancien ministre, Moustapha Guirassy. 

« Locales de 2022 à Ziguinchor : Baldé (maire sortant) dépouille Benno Bokk Yakkar (coalition présidentielle) et fusille Benoît Sambou (tête de liste communale) », poursuit L’As.

Pendant ce temps, Libération fait des révélations sur la forclusion de Gueum sa bopp à Mbour et informe que c’est le mandataire qui s’est barré avec la liste.

Faisant état de verdict des commissions de réception des candidatures aux locales, Source A note que c’est « dur pour les recalés ».

Libération s’intéresse aux cautions versées par les partis et coalitions à la Caisse des dépôts et consignations et retient un total de 1,320 milliard f cfa.

« Pour recouvrer plus de 7 milliards d’impôts, le Fisc bloque les comptes de l’Université Gaston Berger », révèle L’As, là où Walf Quotidien indique : « Ses comptes gelés par le Fisc : l’Ugb au bord de l’asphyxie ».

De son côté, Le Soleil consacre sa Une à l’orchestre national qui est « à la recherche d’une gloire perdue ».

Côte d’Ivoire : des réformes annoncées dans le recrutement des docteurs

Le ministre ivoirien de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, prof. Adama Diawara a annoncé, vendredi à Abidjan, des réformes dans le processus de recrutement des docteurs.

Il a fait cette annonce au cours d’une rencontre avec les deux collectifs des «docteurs » dans divers domaines «non encore recrutés» à la fonction publique dont l’une des manifestations a été étouffée, mercredi, au Plateau, le quartier administratif et des affaires de la capitale économique ivoirienne par les forces de l’ordre.

Parmi ces réformes, figure la «suppression des candidatures multiples», car a expliqué le ministre, ce sont ces candidatures multiples qui ont faire dire aux gens sur les réseaux sociaux qu’il y a « 3189 docteurs non recrutés» à la fonction publique.  « Ce sont des chiffres erronés », a-t-il dit. La candidature unique induira également le paiement une seule fois des frais de concours fixés à 50 000 FCFA.

« Il y a parfois une seule personne qui est candidate à plusieurs postes comme ce fut le cas de quelqu’un qui a été candidat à six postes dans plusieurs universités. Dans un tel cas, il y a six candidatures derrière lesquelles il n’y a qu’une seule personne, donc un seul docteur et non six docteurs» a expliqué le prof. Adama Diawara.

A ce jour, il n’y a que «1120 docteurs non encore recrutés» dans nos fichiers, a précisé le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, appelant les « docteurs non encore recrutés» à «mettre balle à terre», car les recrutements sont transparents et se font selon les besoins exprimés par les structures, notamment les universités.

« Cette année, nous avons recruté 252 dont 151 nouveaux, 6 contractuels et le reste ce sont les glissements catégoriels », a encore expliqué le ministre, apportant ainsi un démenti au chiffre de 256 avancé sur les réseaux sociaux. Le recrutement de 252 est venu en complément du quota de l’année dernière.

Les réformes prévoient également que les candidats soient interrogés sur la recherche et l’enseignement.  « 450 nouveaux postes seront mis en compétition au premier trimestre 2022. Donc préparez-vous », a-t-il lancé à ses interlocuteurs.

Auparavant, les deux collectifs des docteurs non encore recrutés, à travers leurs porte-paroles, Olivier Dally et Martiale Adou ont exposé au ministre leurs griefs, faisant dans la foulée des plaidoiries.  Ils ont souhaité que l’âge maximum pour être recruté passe de 45 à 50 ans, une mesure exceptionnelle du président de la République pour le recrutement de tous les docteurs.

D’autres questions diverses liées au coût du certificat  de nationalité, du casier judiciaire, au test de non bégaiement et à l’attitude de certains agents impliqués dans le processus de recrutement ont été également posées.  

A propos du recrutement exceptionnel, le ministre a brandit la contrainte budgétaire. En effet, un recrutement exceptionnel de tous les docteurs coûtera près de 12 milliards FCFA à l’Etat.

En Côte d’Ivoire, la masse salariale des fonctionnaires et agents de l’Etat représente 42% des recettes du pays, là où la norme prévoit 35%.

« Il y a beaucoup d’efforts qui sont faits en Côte d’Ivoire pour le recrutement des docteurs depuis que le président Alassane Ouattara est là », a poursuivi le ministre Adama Diawara, soulignant que la moyenne est de 400 à 450 recrutements par an en Côte d’Ivoire, là où d’autres pays de la sous-région sont à 100 ou même moins que 100 par an ».

Côte d’Ivoire : des réformes annoncées dans le recrutement des docteurs

Le ministre ivoirien de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, prof. Adama Diawara a annoncé, vendredi à Abidjan, des réformes dans le processus de recrutement des docteurs.

Il a fait cette annonce au cours d’une rencontre avec les deux collectifs des «docteurs » dans divers domaines «non encore recrutés» à la fonction publique dont l’une des manifestations a été étouffée, mercredi, au Plateau, le quartier administratif et des affaires de la capitale économique ivoirienne par les forces de l’ordre.

Parmi ces réformes, figure la «suppression des candidatures multiples», car a expliqué le ministre, ce sont ces candidatures multiples qui ont faire dire aux gens sur les réseaux sociaux qu’il y a « 3189 docteurs non recrutés» à la fonction publique.  « Ce sont des chiffres erronés », a-t-il dit. La candidature unique induira également le paiement une seule fois des frais de concours fixés à 50 000 FCFA.

« Il y a parfois une seule personne qui est candidate à plusieurs postes comme ce fut le cas de quelqu’un qui a été candidat à six postes dans plusieurs universités. Dans un tel cas, il y a six candidatures derrière lesquelles il n’y a qu’une seule personne, donc un seul docteur et non six docteurs» a expliqué le prof. Adama Diawara.

A ce jour, il n’y a que «1120 docteurs non encore recrutés» dans nos fichiers, a précisé le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, appelant les « docteurs non encore recrutés» à «mettre balle à terre», car les recrutements sont transparents et se font selon les besoins exprimés par les structures, notamment les universités.

« Cette année, nous avons recruté 252 dont 151 nouveaux, 6 contractuels et le reste ce sont les glissements catégoriels », a encore expliqué le ministre, apportant ainsi un démenti au chiffre de 256 avancé sur les réseaux sociaux. Le recrutement de 252 est venu en complément du quota de l’année dernière.

Les réformes prévoient également que les candidats soient interrogés sur la recherche et l’enseignement.  « 450 nouveaux postes seront mis en compétition au premier trimestre 2022. Donc préparez-vous », a-t-il lancé à ses interlocuteurs.

Auparavant, les deux collectifs des docteurs non encore recrutés, à travers leurs porte-paroles, Olivier Dally et Martiale Adou ont exposé au ministre leurs griefs, faisant dans la foulée des plaidoiries.  Ils ont souhaité que l’âge maximum pour être recruté passe de 45 à 50 ans, une mesure exceptionnelle du président de la République pour le recrutement de tous les docteurs.

D’autres questions diverses liées au coût du certificat  de nationalité, du casier judiciaire, au test de non bégaiement et à l’attitude de certains agents impliqués dans le processus de recrutement ont été également posées.  

A propos du recrutement exceptionnel, le ministre a brandit la contrainte budgétaire. En effet, un recrutement exceptionnel de tous les docteurs coûtera près de 12 milliards FCFA à l’Etat.

En Côte d’Ivoire, la masse salariale des fonctionnaires et agents de l’Etat représente 42% des recettes du pays, là où la norme prévoit 35%.

« Il y a beaucoup d’efforts qui sont faits en Côte d’Ivoire pour le recrutement des docteurs depuis que le président Alassane Ouattara est là », a poursuivi le ministre Adama Diawara, soulignant que la moyenne est de 400 à 450 recrutements par an en Côte d’Ivoire, là où d’autres pays de la sous-région sont à 100 ou même moins que 100 par an ».

Les médias numériques africains influents malgré des budgets limités (rapport)

Les médias numériques africains exercent une grande influence et un impact sociétal malgré des budgets très limités, selon un rapport basé sur des entretiens avec 200 médias numériques venant d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie du Sud-Est.

Il s’agit du rapport d’Inflection Point International, publié par SembraMedia, une organisation à but non lucratif qui soutient les journalistes entrepreneurs, en partenariat avec l’organisation philanthropique mondiale Luminate.

Plus de 200 entretiens ont été réalisés à l’échelle mondiale et 49 organisations indépendantes de médias numériques interrogés en Afrique, notamment au Ghana, au Kenya, au Nigeria et en Afrique du Sud.

Ce rapport fournit des enseignements clés pour un secteur en pleine croissance. Il ressort que plus de 85 % des médias numériques africains interrogés ont contribué à des « changements politiques et sociétaux significatifs ».

Plus de la moitié ont remporté des prix de journalisme. En outre, malgré tout, plus de la moitié rapportent avoir fait l’objet d’attaques et de menaces en ligne, ce qui pourrait fragiliser leur process .   

Le rapport note que les entrepreneurs du secteur des médias numériques produisent « un journalisme révolutionnaire » et ont un impact significatif sur leurs sociétés. Les chercheurs ont constaté que plus de 85 % des médias interrogés avaient contribué à des changements politiques.

Ce rapport intervient un mois à peine après l’attribution du prix Nobel de la paix aux journalistes Maria Ressa et Dmitry Muratov pour leur action en faveur de la liberté d’expression et du respect de la démocratie.

Les entrepreneurs de médias africains ont déclaré que leur travail avait permis de renforcer l’engagement civique, de mener des enquêtes criminelles et de faire évoluer la législation, souligne le texte.  

Près de la moitié d’entre eux ont déclaré être engagés dans une forme ou une autre de journalisme de solutions, contre 15 % en Asie, citant le reportage de solutions et le journalisme d’investigation comme des facteurs clés du changement social.

Ce rapport met en lumière une nouvelle génération d’entrepreneurs médiatiques créatifs qui développent des solutions aux défis sociaux et économiques de l’Afrique et renforcent les questions de gouvernance, a déclaré Abdul Noormohamed, directeur Afrique de Luminate.

Il précise que 57 % des rédactions numériques africaines interrogées ont remporté des prix nationaux et 28 % des prix internationaux en reconnaissance de leur travail. Toutefois, elles ont réalisé ce travail en dépit d’un harcèlement constant.

Plus d’un tiers d’entre elles font état de cyberattaques sur leurs plateformes d’information. Certains entrepreneurs ont également fait état d’un certain degré d’autocensure, en évitant les articles susceptibles de donner lieu à des poursuites judiciaires, parce qu’ils n’avaient pas les moyens d’engager des avocats pour se défendre. 

Les médias du Nigeria et du Ghana ont fait état d’une incidence nettement plus élevée de poursuites et d’attaques judiciaires que les organisations médiatiques interrogées dans les autres pays.      

« S’il existe des différences entre les trois régions, ce sont les similitudes qui sont apparues entre ces organismes de presse qui s’efforcent de couvrir leurs communautés et de construire des modèles économiques durables », a dit Janine Warner, co-fondatrice de SembraMedia.   

Certains de ces organismes étaient des sites d’information bien établis, comme le Daily Maverick en Afrique du Sud, mais beaucoup étaient beaucoup plus petits et 60% des organismes interrogés dans le monde avaient un chiffre d’Affaires inférieur à 50 000 dollars.

Dans l’ensemble, les médias numériques africains ont déclaré des niveaux de revenus publicitaires plus élevés que ceux d’Amérique latine et d’Asie du Sud-Est, la publicité contribuant à environ 29 % des revenus des médias africains en 2019, pour tomber à 26 % en 2020. 

Il a également été constaté que les médias numériques de premier plan du continent gagnaient davantage pour des audiences plus faibles, mesurées en termes de pages vues, que les médias équivalents d’Amérique latine et d’Asie du Sud-Est. 

Toutefois, les entrepreneurs africains sont ceux dont les données financières sont les plus limitées, la moitié d’entre eux étant incapables d’identifier leurs revenus totaux ou leurs sources de revenus. 

Ceux qui ont partagé des détails financiers bénéficiaient également d’une proportion de subventions plus faible que les médias numériques ailleurs, soit 16 % des revenus en 2019, poursuit le rapport. 

Cependant, pendant la pandémie de Covid-19, les subventions aux médias africains ont augmenté, pour représenter plus de 19 % des revenus en 2020. La plupart des entrepreneurs semblent avoir survécu aux répercussions de la pandémie de Covid-19.

Les médias numériques africains influents malgré des budgets limités (rapport)

Les médias numériques africains exercent une grande influence et un impact sociétal malgré des budgets très limités, selon un rapport basé sur des entretiens avec 200 médias numériques venant d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie du Sud-Est.

Il s’agit du rapport d’Inflection Point International, publié par SembraMedia, une organisation à but non lucratif qui soutient les journalistes entrepreneurs, en partenariat avec l’organisation philanthropique mondiale Luminate.

Plus de 200 entretiens ont été réalisés à l’échelle mondiale et 49 organisations indépendantes de médias numériques interrogés en Afrique, notamment au Ghana, au Kenya, au Nigeria et en Afrique du Sud.

Ce rapport fournit des enseignements clés pour un secteur en pleine croissance. Il ressort que plus de 85 % des médias numériques africains interrogés ont contribué à des « changements politiques et sociétaux significatifs ».

Plus de la moitié ont remporté des prix de journalisme. En outre, malgré tout, plus de la moitié rapportent avoir fait l’objet d’attaques et de menaces en ligne, ce qui pourrait fragiliser leur process .   

Le rapport note que les entrepreneurs du secteur des médias numériques produisent « un journalisme révolutionnaire » et ont un impact significatif sur leurs sociétés. Les chercheurs ont constaté que plus de 85 % des médias interrogés avaient contribué à des changements politiques.

Ce rapport intervient un mois à peine après l’attribution du prix Nobel de la paix aux journalistes Maria Ressa et Dmitry Muratov pour leur action en faveur de la liberté d’expression et du respect de la démocratie.

Les entrepreneurs de médias africains ont déclaré que leur travail avait permis de renforcer l’engagement civique, de mener des enquêtes criminelles et de faire évoluer la législation, souligne le texte.  

Près de la moitié d’entre eux ont déclaré être engagés dans une forme ou une autre de journalisme de solutions, contre 15 % en Asie, citant le reportage de solutions et le journalisme d’investigation comme des facteurs clés du changement social.

Ce rapport met en lumière une nouvelle génération d’entrepreneurs médiatiques créatifs qui développent des solutions aux défis sociaux et économiques de l’Afrique et renforcent les questions de gouvernance, a déclaré Abdul Noormohamed, directeur Afrique de Luminate.

Il précise que 57 % des rédactions numériques africaines interrogées ont remporté des prix nationaux et 28 % des prix internationaux en reconnaissance de leur travail. Toutefois, elles ont réalisé ce travail en dépit d’un harcèlement constant.

Plus d’un tiers d’entre elles font état de cyberattaques sur leurs plateformes d’information. Certains entrepreneurs ont également fait état d’un certain degré d’autocensure, en évitant les articles susceptibles de donner lieu à des poursuites judiciaires, parce qu’ils n’avaient pas les moyens d’engager des avocats pour se défendre. 

Les médias du Nigeria et du Ghana ont fait état d’une incidence nettement plus élevée de poursuites et d’attaques judiciaires que les organisations médiatiques interrogées dans les autres pays.      

« S’il existe des différences entre les trois régions, ce sont les similitudes qui sont apparues entre ces organismes de presse qui s’efforcent de couvrir leurs communautés et de construire des modèles économiques durables », a dit Janine Warner, co-fondatrice de SembraMedia.   

Certains de ces organismes étaient des sites d’information bien établis, comme le Daily Maverick en Afrique du Sud, mais beaucoup étaient beaucoup plus petits et 60% des organismes interrogés dans le monde avaient un chiffre d’Affaires inférieur à 50 000 dollars.

Dans l’ensemble, les médias numériques africains ont déclaré des niveaux de revenus publicitaires plus élevés que ceux d’Amérique latine et d’Asie du Sud-Est, la publicité contribuant à environ 29 % des revenus des médias africains en 2019, pour tomber à 26 % en 2020. 

Il a également été constaté que les médias numériques de premier plan du continent gagnaient davantage pour des audiences plus faibles, mesurées en termes de pages vues, que les médias équivalents d’Amérique latine et d’Asie du Sud-Est. 

Toutefois, les entrepreneurs africains sont ceux dont les données financières sont les plus limitées, la moitié d’entre eux étant incapables d’identifier leurs revenus totaux ou leurs sources de revenus. 

Ceux qui ont partagé des détails financiers bénéficiaient également d’une proportion de subventions plus faible que les médias numériques ailleurs, soit 16 % des revenus en 2019, poursuit le rapport. 

Cependant, pendant la pandémie de Covid-19, les subventions aux médias africains ont augmenté, pour représenter plus de 19 % des revenus en 2020. La plupart des entrepreneurs semblent avoir survécu aux répercussions de la pandémie de Covid-19.

Côte d’Ivoire: un gendarme condamné à 2 ans de prison ferme pour racket

Le tribunal militaire d’Abidjan a condamné vendredi un gendarme à deux ans d’emprisonnement ferme pour racket, à l’issue d’un procès marquant l’ouverture de la rentrée judiciaire 2021-2022.

Reconnu « coupable d’extorsion de fonds et de violation de consignes », le maréchal des logis Dadié Tanoh a été condamné par le tribunal militaire à « 24 mois d’emprisonnement ferme et à 100.000 Fcfa d’amende ». 

Un deuxième verdict, concernait également un gendarme, Roger Yapi Yapo, déclaré « non-coupable » des faits de racket. Sur huit prévenus comprenant un policier et sept gendarmes, seulement deux décisions ont été rendues.

Le tribunal militaire d’Abidjan a renvoyé six affaires pour « complément d’enquête » et instruit le  ministère public de s’assurer que « les enquêtes couvrent un large spectre des faits » reprochés aux prévenus.  

Plus d’une soixantaine de dossiers de rackets impliquant des policiers et des gendarmes, à travers le territoire national ivoirien, devraient être jugés lors de cette rentrée judiciaire, qui s’étend jusqu’au mois de juillet 2022. 

Côte d’Ivoire: un gendarme condamné à 2 ans de prison ferme pour racket

Le tribunal militaire d’Abidjan a condamné vendredi un gendarme à deux ans d’emprisonnement ferme pour racket, à l’issue d’un procès marquant l’ouverture de la rentrée judiciaire 2021-2022.

Reconnu « coupable d’extorsion de fonds et de violation de consignes », le maréchal des logis Dadié Tanoh a été condamné par le tribunal militaire à « 24 mois d’emprisonnement ferme et à 100.000 Fcfa d’amende ». 

Un deuxième verdict, concernait également un gendarme, Roger Yapi Yapo, déclaré « non-coupable » des faits de racket. Sur huit prévenus comprenant un policier et sept gendarmes, seulement deux décisions ont été rendues.

Le tribunal militaire d’Abidjan a renvoyé six affaires pour « complément d’enquête » et instruit le  ministère public de s’assurer que « les enquêtes couvrent un large spectre des faits » reprochés aux prévenus.  

Plus d’une soixantaine de dossiers de rackets impliquant des policiers et des gendarmes, à travers le territoire national ivoirien, devraient être jugés lors de cette rentrée judiciaire, qui s’étend jusqu’au mois de juillet 2022. 

Libye : des demandeurs d’asile évacués vers le Niger

Le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) annonce avoir évacué 172 demandeurs d’asile vulnérables de Libye vers le Niger dans la soirée du 4 novembre.Il s’agissait du premier vol d’évacuation vers le Niger depuis plus d’un an. Celui-ci fait suite à la levée par les autorités libyennes d’une interdiction des vols humanitaires. Les personnes évacuées ont été détenues dans des conditions extrêmement difficiles, ont été victimes de traite ou ont subi des violences en Libye, explique le HCR dans un communiqué parvenu vendredi à APA.

« Le HCR est soulagé de voir la reprise de ces vols d’évacuation vitaux », a déclaré le chef de mission du HCR en Libye, Jean-Paul Cavalieri, cité par la note. « Cependant, précise-t-il, compte tenu du nombre limité de places, l’évacuation ne peut être une solution que pour des personnes extrêmement vulnérables, ayant un besoin urgent de sécurité et de protection ».

Le groupe évacué comprend des familles, des enfants voyageant seuls et un bébé né il y a seulement quelques semaines, informe l’organisme onusien.

Cette évacuation a eu lieu grâce au mécanisme de transit d’urgence (Emergency Transit Mechanism, ETM) mis en place en 2017 en partenariat avec le gouvernement du Niger. Ce dernier a accepté d’accueillir temporairement sur son territoire des réfugiés confrontés à des situations de danger de mort en Libye afin que le HCR puisse travailler à l’identification de solutions durables pour chacun d’entre eux.

Au Niger, le HCR apporte un soutien en matière de soins de santé mentale à ceux qui ont été confrontés à des traumatismes pendant leur séjour en Libye, ainsi qu’un accès à des possibilités de formation professionnelle.

A ce jour, 3361 réfugiés et demandeurs d’asile ont été évacués de Libye vers le Niger. Parmi eux, 3213 ont quitté le Niger vers des pays tiers dans le cadre du mécanisme de réinstallation et de voies complémentaires.

Libye : des demandeurs d’asile évacués vers le Niger

Le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) annonce avoir évacué 172 demandeurs d’asile vulnérables de Libye vers le Niger dans la soirée du 4 novembre.Il s’agissait du premier vol d’évacuation vers le Niger depuis plus d’un an. Celui-ci fait suite à la levée par les autorités libyennes d’une interdiction des vols humanitaires. Les personnes évacuées ont été détenues dans des conditions extrêmement difficiles, ont été victimes de traite ou ont subi des violences en Libye, explique le HCR dans un communiqué parvenu vendredi à APA.

« Le HCR est soulagé de voir la reprise de ces vols d’évacuation vitaux », a déclaré le chef de mission du HCR en Libye, Jean-Paul Cavalieri, cité par la note. « Cependant, précise-t-il, compte tenu du nombre limité de places, l’évacuation ne peut être une solution que pour des personnes extrêmement vulnérables, ayant un besoin urgent de sécurité et de protection ».

Le groupe évacué comprend des familles, des enfants voyageant seuls et un bébé né il y a seulement quelques semaines, informe l’organisme onusien.

Cette évacuation a eu lieu grâce au mécanisme de transit d’urgence (Emergency Transit Mechanism, ETM) mis en place en 2017 en partenariat avec le gouvernement du Niger. Ce dernier a accepté d’accueillir temporairement sur son territoire des réfugiés confrontés à des situations de danger de mort en Libye afin que le HCR puisse travailler à l’identification de solutions durables pour chacun d’entre eux.

Au Niger, le HCR apporte un soutien en matière de soins de santé mentale à ceux qui ont été confrontés à des traumatismes pendant leur séjour en Libye, ainsi qu’un accès à des possibilités de formation professionnelle.

A ce jour, 3361 réfugiés et demandeurs d’asile ont été évacués de Libye vers le Niger. Parmi eux, 3213 ont quitté le Niger vers des pays tiers dans le cadre du mécanisme de réinstallation et de voies complémentaires.

Santé sexuelle et reproductive:10 sites d’excellence distingués en Côte d’Ivoire

L’ONG IPAS, basée aux États-Unis, a décerné jeudi à Abidjan des attestations de collaboration à dix sites d’excellence sur 75 centres identifiés, lors de la présentation du programme Réduction de la morbidité et la mortalité maternelle (R3M).Selon M. Eugène Eba Kouassi, manager du projet, ce programme vise à soutenir le programme national de santé mère-enfant et à réduire les décès maternels en Côte d’Ivoire.  Au terme de la première phase, dira-t-il, dix centres d’excellence ont été retenus. Et ce, dans l’optique d’un service de qualité en matière de santé sexuelle et reproductive. 

À l’Ouest d’Abidjan, l’on a l’hôpital général (HG) de Lahou, HG de Dabou et le Centre de santé urbain (CSU) de Ouassakara, à l’Est d’Abidjan, HG de Bingerville, CSU Akouédo Village, et au Sud d’Abidjan HG Port-Bouet et CSU Arras 3.

Dans le Centre d’Abidjan, ont été distingués le Centre de santé urbain Communautaire Henriette Konan Bédié de Blockhauss, le Centre de santé urbain  (CSU) de Cocody ll Plateaux Oliviers et le CSU Assomin de Abobo PK 18.    

« Ces centres disposent de compétences nécessaires pour pouvoir aider d’autres prestataires de santé à offrir des services en matière de planification familiale et de santé sexuelle », ce qui a favorisé leur choix, a expliqué M. Eugène Eba. 

Évoquant les critères, il a soutenu que « ce sont des sites qui se sont distingués dans l’offre des services de qualité en matière de service de plannification familiale », avant d’indiquer que ces structures ont été réparties selon une couverture géographique.

« On a regardé aussi l’engagement des prestataires de santé qui ont bénéficié de ce renforcement de capacité à l’offre de services, ainsi que le volume des interventions des activités de santé sexuelle », a-t-il poursuivi. 

Les critères de sélection des sites d’excellence ressortent qu’ il faut « être un site soutenu par IPAS (Initié ou non) pendant au moins six mois d’intervention, disposer de prestataires de soins ayant bénéficié de formation en planification familiale.

M. Bocoum Gouro, le directeur financier, représentant le directeur Afrique Francophone de IPAS, a fait savoir qu’ en Côte d’Ivoire, en dépit de quelques progrès observés ces dernières décennies, le niveau de décès maternel reste encore élevé. 

« Selon le PMA 20/20,  614 décès maternels pour 100 000 naissances vivantes, soit deux décès maternels toutes les 3 heures sont enregistrées », a-t-il noté, ajoutant que « plusieurs causes dont les complications des avortements non sécurisés sont responsables d’environ 15% de ces décès maternels selon l’EDSMICS 2012 ».   

L’objectif de l’ONG est de renforcer les compétences des prestataires de soins, une offre de soins de qualité en santé sexuelle et reproductive, et donner la chance aux structures de santé de venir apprendre auprès de ces sites.  

Ces centre d’excellence représentent « une vision que nous voulons donner, car l’objectif de ce programme est de réduire la mortalité maternelle, et offrir des services de qualité afin de réduire les décès », a insisté M. Eba.  

Le projet a débuté depuis 2019 et s’étend sur trois ans maintenant. La phase pilote, selon M. Eugène Eba, a commencé avec une évolution graduelle des sites: 20 sites, 34 sites, 54 et après 75 sites.

« Ce sont trois régions sanitaires Abidjan 1, Abidjan 2 et les Grands ponts qui sont les premiers sites qui ont été suivis sur plus de six mois », a fait remarquer  M. Eba, mentionnant que IPAS oeuvre à relever le niveau des autres sites sanitaires.   

Santé sexuelle et reproductive:10 sites d’excellence distingués en Côte d’Ivoire

L’ONG IPAS, basée aux États-Unis, a décerné jeudi à Abidjan des attestations de collaboration à dix sites d’excellence sur 75 centres identifiés, lors de la présentation du programme Réduction de la morbidité et la mortalité maternelle (R3M).Selon M. Eugène Eba Kouassi, manager du projet, ce programme vise à soutenir le programme national de santé mère-enfant et à réduire les décès maternels en Côte d’Ivoire.  Au terme de la première phase, dira-t-il, dix centres d’excellence ont été retenus. Et ce, dans l’optique d’un service de qualité en matière de santé sexuelle et reproductive. 

À l’Ouest d’Abidjan, l’on a l’hôpital général (HG) de Lahou, HG de Dabou et le Centre de santé urbain (CSU) de Ouassakara, à l’Est d’Abidjan, HG de Bingerville, CSU Akouédo Village, et au Sud d’Abidjan HG Port-Bouet et CSU Arras 3.

Dans le Centre d’Abidjan, ont été distingués le Centre de santé urbain Communautaire Henriette Konan Bédié de Blockhauss, le Centre de santé urbain  (CSU) de Cocody ll Plateaux Oliviers et le CSU Assomin de Abobo PK 18.    

« Ces centres disposent de compétences nécessaires pour pouvoir aider d’autres prestataires de santé à offrir des services en matière de planification familiale et de santé sexuelle », ce qui a favorisé leur choix, a expliqué M. Eugène Eba. 

Évoquant les critères, il a soutenu que « ce sont des sites qui se sont distingués dans l’offre des services de qualité en matière de service de plannification familiale », avant d’indiquer que ces structures ont été réparties selon une couverture géographique.

« On a regardé aussi l’engagement des prestataires de santé qui ont bénéficié de ce renforcement de capacité à l’offre de services, ainsi que le volume des interventions des activités de santé sexuelle », a-t-il poursuivi. 

Les critères de sélection des sites d’excellence ressortent qu’ il faut « être un site soutenu par IPAS (Initié ou non) pendant au moins six mois d’intervention, disposer de prestataires de soins ayant bénéficié de formation en planification familiale.

M. Bocoum Gouro, le directeur financier, représentant le directeur Afrique Francophone de IPAS, a fait savoir qu’ en Côte d’Ivoire, en dépit de quelques progrès observés ces dernières décennies, le niveau de décès maternel reste encore élevé. 

« Selon le PMA 20/20,  614 décès maternels pour 100 000 naissances vivantes, soit deux décès maternels toutes les 3 heures sont enregistrées », a-t-il noté, ajoutant que « plusieurs causes dont les complications des avortements non sécurisés sont responsables d’environ 15% de ces décès maternels selon l’EDSMICS 2012 ».   

L’objectif de l’ONG est de renforcer les compétences des prestataires de soins, une offre de soins de qualité en santé sexuelle et reproductive, et donner la chance aux structures de santé de venir apprendre auprès de ces sites.  

Ces centre d’excellence représentent « une vision que nous voulons donner, car l’objectif de ce programme est de réduire la mortalité maternelle, et offrir des services de qualité afin de réduire les décès », a insisté M. Eba.  

Le projet a débuté depuis 2019 et s’étend sur trois ans maintenant. La phase pilote, selon M. Eugène Eba, a commencé avec une évolution graduelle des sites: 20 sites, 34 sites, 54 et après 75 sites.

« Ce sont trois régions sanitaires Abidjan 1, Abidjan 2 et les Grands ponts qui sont les premiers sites qui ont été suivis sur plus de six mois », a fait remarquer  M. Eba, mentionnant que IPAS oeuvre à relever le niveau des autres sites sanitaires.   

Sénégal : Aliou Cissé publie sa liste pour affronter le Togo et le Congo

Le sélectionneur de l’équipe nationale de football du Sénégal a convoqué, lors d’une conférence de presse tenue vendredi à Dakar, 25 joueurs dans le cadre des 5e et 6e journées des éliminatoires de la Coupe du monde 2022.Sur le continent, le Sénégal est le premier pays à s’être qualifié pour l’ultime phase des qualifications du Mondial qatari. Les Lions caracolent en tête de la poule H avec quatre victoires en autant de matchs.

L’objectif est de conclure en beauté la campagne. Aliou Cissé a renouvelé sa confiance au groupe ayant composté son ticket pour le dernier tour en octobre dernier lors de la double confrontation face à la Namibie. Seul Diao Baldé Keïta, récemment opéré des amygdales, sera absent à ce rassemblement.

Numériquement, l’attaquant de Cagliari, en Serie A italienne, est remplacé par Pape Guèye. Le milieu de terrain de l’Olympique de Marseille reçoit sa première convocation en équipe nationale du Sénégal.

Pour le convaincre, « nous avons longtemps discuté. On lui a concédé le temps de la réflexion. Et maintenant, il donné son accord », explique Aliou Cissé. L’entraîneur des Lions place beaucoup d’espoir en cet athlète (1m89 pour 79 kg) né le 24 janvier 1999, à Montreuil, en France.

« Pape Guèye est un joueur de talent. Il est capable d’évoluer dans un milieu à deux mais aussi dans une position de sentinelle devant la défense. Nous avions à cœur de renforcer ce secteur de jeu où l’on manquait parfois de taille voire d’impact. Nous pensons que son arrivée peut aider l’équipe », se félicite Aliou Cissé.

Le Sénégal sera opposé au Togo le 11 novembre à 19 heures au stade Kégué de Lomé avant d’accueillir, trois jours plus tard, le Congo à 19 heures au stade Lat Dior de Thiès, situé à 70 kilomètres à l’Est de Dakar.

Liste du Sénégal 

Gardiens (3) : Edouard Mendy (Chelsea FC, Angleterre), Alfred Gomis (Rennes, France) et Seyni Dieng (Queens Park Rangers, Angleterre).

Défenseurs (8) : Ibrahima Mbaye (Bologne, Italie), Abdou Diallo (Paris Saint-Germain, France), Pape Abou Cissé (Olympiacos, Grèce), Kalidou Koulibaly (Naples, Italie), Fodé Ballo Touré (Milan AC, Italie), Saliou Ciss (AS Nancy, France), Bouna Sarr (Bayern Munich, Allemagne) et Abdoulaye Seck (Royal Antwerp, Belgique).

Milieux (8) : Moustapha Name (Paris FC, France), Cheikhou Kouyaté (Crystal Palace, Angleterre), Idrissa Gana Guèye (Paris Saint-Germain, France), Mamadou Loum Ndiaye (Deportivo Alavés, Espagne), Krépin Diatta (AS Monaco, France), Nampalys Mendy (Leicester City, Angleterre), Pape Matar Sarr (FC Metz, France) et Pape Guèye (Olympique de Marseille, France).

Attaquants (6) : Bamba Dieng (Olympique de Marseille, France), Ismaïla Sarr (Watford, Angleterre), Famara Diédhiou (Alanyaspor, Turquie), Boulaye Dia (Villareal, Espagne), Habib Diallo (Strasbourg, France) et Sadio Mané (Liverpool, Angleterre).

Régime retraite complémentaire: le corps préfectoral ivoirien signe la 1ère convention

Le corps préfectoral ivoirien se positionne comme le premier adhérent au régime de retraite complémentaire par capitalisation à travers une convention signée avec l’Institut de prévoyance sociale-Caisse générale de retraite des agents de l’Etat (IPS-CGRAE).

La signature de convention a eu lieu jeudi, au cours d’une cérémonie, à Yamoussoukro en présence du ministre de l’Emploi et de la protection sociale, Adama Kamara, et du représentant du ministre de l’Intérieur et de la sécurité. 

« La signature de convention à laquelle nous venons de procéder, sous les ailes protectrices de M. le ministre de l’Emploi et de la protection sociale, et du ministre de l’Intérieur et de la sécurité,  fait objectivement de vous les premiers adhérents au régime de retraite complémentaire par capitalisation », a déclaré le directeur général de l’IPS-CGRAE, M. Abdrahamane Berté. 

Il a fait observer que « par cette convention, tous les membres du corps préfectoral, sans qu’il soit besoin de l’accomplissement d’une formalité particulière, sont ipso facto adhérents du régime de retraite complémentaire par capitalisation ».   

Toutefois, pour les besoins d’alimentation de la base de données de l’IPS-CGRAE, il sera demandé de fournir quelques pièces pour la création des comptes cotisant, sur lequel seront inscrites toutes les opérations relatives à la constitution du stock de capital, a-t-il ajouté.  

« Alors même que les caractéristiques du nouveau régime étaient encore en construction, vous avez unanimement souhaité, malgré le caractère volontaire attaché à votre adhésion (à ce régime) en votre qualité de fonctionnaires déjà en activité, que soit formalisée la nécessité de l’intégration systématique de tous les membres du corps préfectoral au futur régime », a rappelé le directeur général de l’IPS-CGRAE. 

Le ministre de l’Emploi et de la protection sociale, M. Adama Kamara, président de la cérémonie, s’est dit « heureux que la première convention soit soignée par le corps préfectoral, garant du pouvoir d’Etat et de l’administration » dans les régions du pays. 

Le régime de retraite complémentaire par capitalisation « n’est pas obligatoire », a souligné le ministre de l’Emploi et de la protection sociale, estimant que le corps préfectoral a fait « le meilleur choix » pour s’assurer une retraite confortable. 

M. Adama Kamara a relevé que ce régime de retraite qui s’inscrit dans la droite ligne de la vision sociale du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, est « le régime du consensus issu d’un dialogue inclusif entre toutes les parties ». 

Et ce, par la « qualité managériale du directeur général de l’IPS-CGRAE », M. Abdrahamane Berté qui a fait de ce rêve une réalité, a-t-il poursuivi. Pour le ministre de l’Emploi et de la protection sociale « cette signature est la célébration du consensus ». 

Le régime de retraite complémentaire est un mécanisme par lequel le fonctionnaire effectue une cotisation dans la perspective de s’assurer un montant de pension de retraite quasi équivalent au salaire qu’il percevait pendant qu’il était en activité. 

L’IPS-CGRAE, dans cette perspective, a conduit pendant plus d’un an, un processus inclusif de dialogue social avec l’ensemble des représentants des fonctionnaires et agents de l’Etat, soit plus de 300 partenaires sociaux constitués.

L’institution publique a mûri les réflexions avec 36 organisations socioprofessionnelles incluant 11 faîtières, 5 centrales syndicales, 14 syndicats, 3 mutuelles corporatistes et 3 corps spécifiques ainsi que de 72 partenaires de l’administration publique.

Cela a abouti à la signature d’une déclaration portant consensus sur les caractéristiques du nouveau régime de retraite complémentaire par capitalisation au profit des fonctionnaires et agents de l’Etat, le 07 juin 2019.

L’IPS-CGRAE a lancé officiellement mardi à Abidjan le régime de retraite complémentaire par capitalisation, lors d’une  cérémonie qui a regroupé plusieurs ministres, des représentants des centrales syndicales, des syndicats et des partenaires sociaux.  

Sénégal : Aliou Cissé publie sa liste pour affronter le Togo et le Congo

Le sélectionneur de l’équipe nationale de football du Sénégal a convoqué, lors d’une conférence de presse tenue vendredi à Dakar, 25 joueurs dans le cadre des 5e et 6e journées des éliminatoires de la Coupe du monde 2022.Sur le continent, le Sénégal est le premier pays à s’être qualifié pour l’ultime phase des qualifications du Mondial qatari. Les Lions caracolent en tête de la poule H avec quatre victoires en autant de matchs.

L’objectif est de conclure en beauté la campagne. Aliou Cissé a renouvelé sa confiance au groupe ayant composté son ticket pour le dernier tour en octobre dernier lors de la double confrontation face à la Namibie. Seul Diao Baldé Keïta, récemment opéré des amygdales, sera absent à ce rassemblement.

Numériquement, l’attaquant de Cagliari, en Serie A italienne, est remplacé par Pape Guèye. Le milieu de terrain de l’Olympique de Marseille reçoit sa première convocation en équipe nationale du Sénégal.

Pour le convaincre, « nous avons longtemps discuté. On lui a concédé le temps de la réflexion. Et maintenant, il donné son accord », explique Aliou Cissé. L’entraîneur des Lions place beaucoup d’espoir en cet athlète (1m89 pour 79 kg) né le 24 janvier 1999, à Montreuil, en France.

« Pape Guèye est un joueur de talent. Il est capable d’évoluer dans un milieu à deux mais aussi dans une position de sentinelle devant la défense. Nous avions à cœur de renforcer ce secteur de jeu où l’on manquait parfois de taille voire d’impact. Nous pensons que son arrivée peut aider l’équipe », se félicite Aliou Cissé.

Le Sénégal sera opposé au Togo le 11 novembre à 19 heures au stade Kégué de Lomé avant d’accueillir, trois jours plus tard, le Congo à 19 heures au stade Lat Dior de Thiès, situé à 70 kilomètres à l’Est de Dakar.

Liste du Sénégal 

Gardiens (3) : Edouard Mendy (Chelsea FC, Angleterre), Alfred Gomis (Rennes, France) et Seyni Dieng (Queens Park Rangers, Angleterre).

Défenseurs (8) : Ibrahima Mbaye (Bologne, Italie), Abdou Diallo (Paris Saint-Germain, France), Pape Abou Cissé (Olympiacos, Grèce), Kalidou Koulibaly (Naples, Italie), Fodé Ballo Touré (Milan AC, Italie), Saliou Ciss (AS Nancy, France), Bouna Sarr (Bayern Munich, Allemagne) et Abdoulaye Seck (Royal Antwerp, Belgique).

Milieux (8) : Moustapha Name (Paris FC, France), Cheikhou Kouyaté (Crystal Palace, Angleterre), Idrissa Gana Guèye (Paris Saint-Germain, France), Mamadou Loum Ndiaye (Deportivo Alavés, Espagne), Krépin Diatta (AS Monaco, France), Nampalys Mendy (Leicester City, Angleterre), Pape Matar Sarr (FC Metz, France) et Pape Guèye (Olympique de Marseille, France).

Attaquants (6) : Bamba Dieng (Olympique de Marseille, France), Ismaïla Sarr (Watford, Angleterre), Famara Diédhiou (Alanyaspor, Turquie), Boulaye Dia (Villareal, Espagne), Habib Diallo (Strasbourg, France) et Sadio Mané (Liverpool, Angleterre).