SociétéEducation, Société




Le Syndicat national des enseignants-chercheurs poursuit sa grève

Après une grève d’avertissement de 14 jours arrivée à échéance le 20 juin, le Syndicat national des enseignants-chercheurs (Snec) a…

Après une grève d’avertissement de 14 jours arrivée à échéance le 20 juin, le Syndicat national des enseignants-chercheurs (Snec) a décidé, le 21 juin, de poursuivre la grève.

La décision a été prise à la majorité à l’issue d’une assemblée générale tenue le 21 juin à l’Université Omar Bongo (UOB). La grève du Syndicat national des enseignants chercheurs (Snec) du Gabon a été reconduite.

Après plusieurs jours d’attente sans réponse, les syndicalistes ont décidé de poursuivre la grève pour deux principales raisons évoquées lors de sa grève d’avertissement de 14 jours arrivée à échéance le 20 juin. Premièrement, le paiement aux retraités des services rendus. Ensuite, la régularisation des situations administratives, notamment les postes budgétaires, les intégrations, titularisations, avancements après Cames et changements de corps. Enfin, le Snec exige la prise en compte du dernier salaire de base dans le calcul de la pension retraite, conforment à la loi 4/96 fixant la base liquidable égale à la fraction de la solde de base sur laquelle est assise la retenue. En dépit des multiples rencontres tenues avec le ministre de l’Enseignement supérieur, Jean de Dieu Moukagni-Iwangou, aucun de ces points n’a trouvé satisfaction. De ces points n’a trouvé satisfaction.

La grève va consister selon les syndicalistes à paralyser les enseignements à l’Université Omar Bongo, à l’Institut national de sciences de gestion (INGS), à l’Université des sciences de la santé (USS) ainsi qu’à l’École normale supérieure (ENS).

 

Suivez l'information en direct sur notre chaîne