Une filiale de banque réhabilite une école maternelle à Yamoussoukro

Banque Atlantique, filiale du groupe BCP, a financé les travaux de réhabilitation et de rénovation du groupe scolaire maternelle Sinzibo de Yamoussoukro, inaugurés le vendredi 24 septembre 2021.

L’inauguration a été faite par M. Souleymane Diarrassouba, le ministre ivoirien du Commerce et de l’Industrie et cadre de la Région.

Ces travaux, entièrement financés par cette filiale, se sont échelonnés sur deux mois, permettant d’accueillir, dès la rentrée scolaire 2021–2022, plus de 700 enfants dans des conditions optimales d’hygiène, de sécurité et de bien-être.

Cette action s’inscrit dans le cadre d’un partenariat entre la banque et la Direction régionale de l’éducation nationale, précisément l’Inspection de l’enseignement primaire et préscolaire de Yamoussoukro ainsi que le Comité de Gestion des Etablissements Scolaires (COGES). 

La cérémonie s’est déroulée en présence de plusieurs invités de marque, notamment MM. Yaya Coulibaly, secrétaire général de préfecture représentant le Préfet de Région, Habib Koné, directeur général d’Atlantic Business International.

Étaient aussi présents M. Arsène Coulibaly, directeur général de Banque Atlantique, Mamadou Fofana, directeur régional de l’éducation nationale, ainsi que les autorités administratives, politiques et coutumières.

« Les actions de Banque Atlantique sont aussi sous-tendues par une politique de proximité et de citoyenneté visant notamment l’amélioration des conditions de vie des populations », a déclaré le directeur général de Banque Atlantique. 

Le programme d’engagement citoyen de l’établissement bancaire, en lien avec les axes stratégiques retenus et partagés par le Groupe, vise à concilier performances économiques, progrès social et préservation de l’environnement.

« C’est pourquoi nous avons décidé sans hésiter d’accompagner le projet de réfection de cet établissement dédié à l’accueil de la petite enfance afin d’aider les enfants à apprendre et grandir dans de meilleures conditions », a-t-il dit.

Selon le directeur général, l’éducation étant la base d’un développement social réussi, l’établissement qui se veut une entreprise citoyenne, valeur chère au groupe, a entrepris cette réhabilitation. 

Pour sa part, M. Souleymane Diarrassouba, s’est réjoui de cet acte qui fait « preuve de générosité et de solidarité à l’égard des parents d’élèves, des enseignants et des tous petits de l’EPP Sinzibo grâce à ces travaux de réhabilitation qui améliorent leurs conditions de travail, de sécurité et préservent leur santé ». 

« Tous mes remerciements les plus sincères aux dirigeants de Banque Atlantique pour ce geste fort, salvateur qui vient mettre du baume au cœur des populations de Yamoussoukro », a-t-il ajouté. 

Consciente du rôle majeur que joue l’éducation dans le développement économique et social, la filiale, à travers ces actions, entend renforcer sa promesse de concrétiser et de placer la solidarité au cœur de son engagement.

Banque Atlantique, 3ème plus grand groupe bancaire de la zone UEMOA en termes de parts de marché, est présente dans les huit pays membres de l’Union monétaire (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal, Togo).

Expo 2020 Dubaï : l’Afrique du Sud à la recherche d’investissements

Prétoria veut profiter de l’Exposition universelle 2020, ouverte ce 1er octobre à Dubaï, pour se remettre de l’impact de la Covidd-19.Au cours de l’évènement qui se tient sur six mois, l’Afrique du Sud va, explique le Système de communication et d’information du gouvernement (GCIS), présenter « sa proposition de valeur » et « promouvoir le commerce et l’investissement, les technologies innovantes de classe mondiale, les arts créatifs, le tourisme, les sports et sa diversité culturelle unique ».

« L’Expo 2020 sera l’occasion pour le pays de présenter au monde entier sa vaste gamme d’opportunités économiques, culturelles et touristiques », a déclaré le GCIS dans un communiqué daté de ce vendredi.

Parmi la délégation sud-africaine, figurent des entreprises en démarrage représentant les secteurs de la technologie financière, de la technologie sanitaire, de l’agroalimentaire, de l’économie circulaire, de l’énergie verte et d’autres secteurs, dont la mission est « de se connecter avec des investisseurs mondiaux pour décrocher des opportunités commerciales ».

Les expositions de Team South Africa à la foire commerciale mettraient également davantage l’accent sur l’agriculture et les secteurs des services aux entreprises mondiaux, de l’exploitation minière, de la fabrication et de la fabrication avancée.

« L’objectif est de donner aux investisseurs et aux visiteurs une véritable expérience de ce que l’Afrique du Sud offre grâce à des expositions virtuelles qui permettront aux visiteurs d’engager des discussions virtuelles avec les entreprises », poursuit le GCIS.

Selon Team South Africa, l’objectif « est de transformer les discours sur l’histoire de l’Afrique du Sud en opportunités commerciales potentielles ».

L’Expo 2020 de Dubaï se déroulera du 1er octobre 2021 au 31 mars 2022, avec la participation de 190 pays.

Guinée : Mamady Doumbouya investi président de la transition

Le chef de la junte militaire a réitéré son engagement et celui des membres de la transition à ne pas se présenter aux prochaines élections.Le Colonel Mamady Doumbouya est officiellement investi président de la République de Guinée. Le chef du Groupement des forces spéciales ayant renversé Alpha Condé le 05 octobre dernier a prêté serment ce vendredi au Palais Mohammed-V de Conakry devant le président de la Cour suprême, Mamadou Sylla.

Dans son allocution, il a juré « de préserver en toute loyauté la souveraineté nationale », de « consolider les acquis démocratiques, de garantir l’indépendance de la patrie et l’intégrité du territoire national ».

Le nouveau président a saisi l’occasion pour dresser les principales missions de la transition, dont la durée reste encore inconnue. Parmi celles-ci, figurent notamment l’élaboration d’une Constitution et l’organisation d’élections libres, transparentes et crédibles.

Selon Mamady Doumbouya, le conseil national de la transition et le gouvernement de transition seront prochainement mis en place. Ces entités auront la charge d’exécuter les missions susmentionnées.

Il a rassuré qu’il « mesure à sa juste valeur l’immensité des charges » qui lui sont confiées, en sa qualité de président de la République.

Côte d’Ivoire: le kg du cacao fixé à 825 Fcfa pour la campagne 2021-2022

Le prix bord champ du Kg de cacao en Côte d’Ivoire, premier producteur mondial, est fixé à 825 Fcfa pour la campagne 2021-2022 contre 1.000 f l’année précédente.

Le prix garanti du kg de cacao aux producteurs a été dévoilé, vendredi à Abidjan, par le Conseil café-cacao, organe de régulation de ces deux filières, qui a également fixé pour la campagne 2021-2022 le prix du Kg de café qui passe de 550 Fcfa à 700 Fcfa. 

La campagne café, elle, s’ouvre en décembre prochain sur toute l’étendue du territoire. Selon M. Maurice Sawadogo, responsable d’une coopérative, cela permet aux paysans de mieux organiser la traite.  

Le Conseil café-cacao et le Ghana cocoa board, ont mis en œuvre un concept de prix plancher, instituant un Différentiel de revenu décent (DRD) de 400 dollars US par tonne pour tout contrat de vente de cacao obtenu auprès des deux pays.

Après les négociations sur le Différentiel de revenu, la Côte d’Ivoire et le Ghana n’ont pas réussi à convaincre tous les chocolatiers et les industriels à conclure leurs premières ventes de la récolte 2020/2021. 

La Côte d’Ivoire et le Ghana, qui cumulent près de 65% de la production mondiale de cacao, veulent via ce mécanisme influencer les cours mondiaux au profit des paysans. Le contexte de Covid-19 a grippé le mécanisme.   

Le cacao représente plus de 50% du PIB des exportations de la Côte d’Ivoire et 15% du Produit intérieur brut (PIB). Il  fournit de l’emploi à 7 millions d’Ivoiriens, selon un rapport de la Banque africaine de développement (BAD). 

Malawi : drame à l’Assemblée nationale

Clement Chiwaya, l’ancien vice-président du parlement malawite, s’est donné la mort dans l’hémicycle pour une histoire d’avantages liés à son véhicule de fonction.Au Malawi, l’Assemblée nationale a été, hier jeudi, le théâtre d’une terrible scène. Clement Chiwaya s’y était rendu pour une réunion avec la greffière, Fiona Kalembera. Les avantages de l’ex-vice-président du parlement a été au menu des échanges.

A l’évidence, la rencontre n’a pas répondu aux attentes de M. Chiwaya. Dans un accès de colère, il s’est tiré une balle dans la tête. Dans un communiqué laconique, l’Assemblée nationale a confirmé les faits qu’elle impute à une « frustration ».

Clement Chiwaya a quitté sa fonction de vice-président de l’Assemblée nationale en 2019. Avant d’abréger sa vie, il a laissé une note expliquant son passage à l’acte : « Je suis abattu. Mon mal-être n’est pas lié à la voiture de fonction mais aux épreuves que l’on me fait endurer pour récupérer ce qui m’appartient ».

En effet, il a affirmé avoir acheté le véhicule de fonction à la fin de son mandat de cinq ans, comme le prévoyait son contrat.

Le vice-président régional d’IFC pour l’Afrique en visite au Sénégal

Du 4 au 6 octobre prochain, Sérgio Pimenta séjournera à Dakar pour discuter de la manière dont la Société financière internationale (IFC, sigle en anglais) peut soutenir une croissance tirée par le secteur privé.L’institution financière, dans un communiqué reçu vendredi à APA, affirme que « le secteur privé a un rôle essentiel à jouer dans la stratégie de relance » de l’économie sénégalaise après que la Covid-19 a freiné les perspectives de croissance du pays.

Sérgio Pimenta, le vice-président régional de la Société financière internationale (IFC, sigle en anglais), prévoit de s’entretenir avec « des décideurs publics, des partenaires au développement ainsi que des acteurs du secteur privé ».

Au Sénégal, l’IFC soutient œuvrer pour « le développement socio-économique à travers la création de nouveaux marchés et d’emplois ». La structure du Groupe de la Banque Mondiale consacrée au secteur privé entend appuyer « le développement des secteurs clés pour la croissance au Sénégal, en mettant l’accent sur les infrastructures, la santé, le logement, le tourisme, l’agro-industrie, l’économie numérique et l’accès au financement des Petites et Moyennes Entreprises ».

Malgré la crise sanitaire, rapporte la source, la Société financière internationale a plus que doublé ses investissements au Sénégal au cours de l’exercice 2021 pour les porter à 159 millions de dollars (dont 55,2 millions de dollars mobilisés auprès d’autres investisseurs), contre 75,6 millions de dollars (dont 44,7 millions de dollars de mobilisations) lors de l’exercice 2020.

Plusieurs membres de l’équipe de direction d’IFC pour l’Afrique dans les secteurs des infrastructures, des industries manufacturières, de l’agroalimentaire et des services et de la finance vont accompagner Sérgio Pimenta lors de sa visite au Sénégal.

Côte d’Ivoire: les prix des carburants restent inchangés en octobre

Les prix de l’essence super sans plomb et du gasoil, fixés tous deux à 615 Fcfa le litre, restent inchangés pour la période du 1er au 31 octobre 2021 en Côte d’Ivoire, selon une note du ministère ivoirien des Mines, du Pétrole et de l’énergie.

Le prix maxima au détail indique 615 Fcfa le litre à l’ambiant pour le super sans plomb et le gasoil. Quant au pétrole lampant, utilisé en zone rurale, le prix du litre demeure à 555 Fcfa et ce depuis plusieurs années.

Le prix de la bouteille de gaz butane de 6 Kg (B6) a été maintenu à 2.000 Fcfa, ainsi que celui de la bouteille de 12,5 Kg, fixé à 5.200 Fcfa. Ces deux produits sont beaucoup utilisés dans les ménages en Côte d’Ivoire. 

L’ajustement des prix à la pompe du carburant en Côte d’Ivoire et du gaz butane, se fait chaque mois conformément aux dispositions du mécanisme automatique des prix des hydrocarbures sur le marché international.

Prix BJKD: une Ivoirienne remporte le Prix de l’entrepreneuriat féminin

L’Ivoirienne Aimée Egue a remporté le Prix Sodeci (Société de distribution d’eau de la Côte d’Ivoire) de l’entrepreneuriat féminin, à la 4e édition du Prix Bénédicte Janine Kacou Diagou (BJKD) pour le développement de entrepreneuriat jeunes, ouvert à l’international.

Spécialisée dans l’agriculture et la transformation alimentaire avec son entreprise « Les beignets Bassy », l’Ivoirienne Aimée Christelle Egue Essim, a remporté le Prix Sodeci de entrepreneuriat féminin d’une valeur de 5 millions de F CFA.

La finale de cette 4ème édition du Prix Bénédicte Janine Kacou Diagou (BJKD) pour le développement de entrepreneuriat jeunes, s’est déroulée dans un hôtel à Port-Bouët, cité balnéaire dans le Sud d’Abidjan. 

Le parrainage du « Prix de l’entrepreneuriat féminin » par la Sodeci montre l’engagement de l’entreprise à soutenir la femme dans son développement personnel, professionnel et son apport dans le tissu économique du pays.  

Le lauréat du 1er Prix de ce concours a été Fenou Industries du Bénin, pour sa plateforme de e-commerce. Elle est ainsi repartie avec la somme de 25 millions de FCFA. 

Le 2ème Prix, lui, a été attribué au Burkinabé Seydou Traoré, avec son entreprise Kenneya, spécialisée dans l’assistance médicale aux personnes âgées. Il remporte le Prix NSIA Fondation de l’innovation et la somme de 15 millions de FCFA,

La Béninoise Célia Chabi de Kiel bien-être, spécialisée dans la transformation du baobab en tous ses dérivés remporte le 3ème Prix BRVM pour le développement durable et la somme de 10 000 000 FCFA

Le cinquième Prix de la Béninoise Tikry  Z. Corenthin Esperanza, avec son entreprise Tofidoux, est celui de ADN de la performance, d’un montant de 3.000.000 de F CFA.

Ces quatre Prix sont renforcés par les dons matériels des partenaires (ordinateurs, postes téléviseurs, etc.). M. Christophe Kouadio, secrétaire général de la Sodeci représentant la direction générale de la société, a remis le Pix de l’entrepreneuriat féminin, lors de la cérémonie.

Pour cette 4ème édition, le prix BJKD s’est ouvert à l’international avec la participation de huit pays d’Afrique de l’ouest et de l’Afrique centrale : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Congo Brazzaville, Gabon, Mali, Sénégal et le Togo. 

Les participants ont concouru dans les mêmes conditions que les entrepreneurs ivoiriens. Ce prix a été initié depuis 2018 pour contribuer à la réduction du chômage et au développement économique par l’entrepreneuriat Jeunes.  

Législatif, gouvernance et environnement au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce vendredi s’intéressent aux futurs défis à relever par le Parlement, à la gestion de la chose publique et à la protection de l’environnement.+Aujourd’hui le Maroc+ écrit que les élections ne sont pas la finalité, mais plutôt un moyen pour permettre à de nouveaux partis et élus de prendre le relais et poursuivre le chemin du développement et surtout la réponse aux attentes des citoyens, notant que le Parlement avec ses deux Chambres est particulièrement attendu au cours des prochains mois.

Il a tout d’abord le contrôle de l’action du gouvernement, les missions de la diplomatie parlementaire mais également et surtout le volet législatif, poursuit le quotidien, relevant que le rythme de la production des lois gagnerait ainsi à augmenter au cours de la prochaine législature qui se profile.

Des projets ainsi que des propositions de lois efficaces, claires et surtout applicables sur le terrain très vite, « peuvent être la meilleure réponse aux citoyennes et citoyens qui sont allés en masse aux urnes pour élire les nouveaux membres des instances élues », estime-t-il.

Abordant la gestion de la chose publique, +L’Économiste+ relève que l’arrivée de nouvelles têtes à la présidence de différentes collectivités territoriales, stars connues du monde du foot, de politiques confirmés ou de figures féminines, « ravive les attentes et humanise un peu plus ce qui s’apparente à un quasi-maquis ».

Bien peu de citoyens maîtrisent les rouages de cette stratification ou savent même ce que fait chaque structure ou à quoi elle sert exactement, constate le journal, citant l’exemple des conseils régionaux qui entament à peine leur deuxième mandat.

Contrairement au discrédit ayant marqué le mandat précédent, dans la nouvelle configuration, « plus rien n’interdit désormais le déploiement de coalitions homogènes au service de stratégies de gouvernance plus efficaces. Et surtout au plus près des besoins des populations », indique-t-il.

+L’Opinion+ rapporte que le dimanche 3 octobre 2021 aura lieu à Rabat la 4ème édition de la Journée sans voitures, désormais rebaptisée « Rabat, sans ma voiture ».

Organisée par l’Association des Jeunes du 21ème siècle en partenariat avec les autorités locales, cette manifestation vise à sensibiliser les Rbatis à l’importance de la protection de l’environnement et à la nécessité d’agir contre la pollution atmosphérique générée par les véhicules de transport, souligne la publication.

De 9h à 18h, l’Avenue Mohammed V sera donc exclusivement ouverte aux voitures électriques, aux vélos et aux véhicules de secours. « Ce genre d’évènements permet de réduire de 30 à 40% de la production de gaz à effet de serre de la journée », a déclaré Aziz El Fekkaki, président de l’Association des Jeunes du 21ème siècle, cité par le quotidien.

Les bons points de l’économie à la Une au Sénégal

Les quotidiens sénégalais, parvenus vendredi à APA, traitent d’une diversité de sujets dominés par la bonne notation de l’économie nationale par le cabinet Bloomfield Investment.Le Soleil indique que le Sénégal est « parmi les mieux notés de l’Uemoa » dans la première notation en monnaie locale par le cabinet Bloomfield Investment. Le pays pourra emprunter aux meilleurs taux sur le marché financier régional, selon le quotidien national.

« Bloomfield atteste de la consolidation de l’économie », rapporte EnQuête. C’est « une bonne note pour le Sénégal », d’après Le Quotidien. « L’économie sénégalaise est liquide et résiliente », se réjouit dans L’AS le ministre des Finances, Abdoulaye Daouda Diallo. Il ajoute dans Libération : « Un taux de croissance de 13,7% est attendu en 2023 ».

En politique, EnQuête s’intéresse aux « secrets (de la) longévité » de la coalition présidentielle Benno Bokk Yakaar (unis pour un même espoir, en langue wolof). Malgré de nombreux soubresauts et crises, elle « fait cap sur 2022 », à savoir les élections locales du 23 janvier prochain.

A l’opposé de ce tableau présenté par ce journal, Le Quotidien remarque que « le feu couve à Benno » en raison des rudes batailles pour le contrôle des mairies lors des joutes électorales. Les villes de Dakar (Ouest), Thiès (Ouest), Fatick (Centre), Saint-Louis (Nord), Ziguinchor (Sud), Kaffrine (Centre) font entre autres « l’objet de convoitises ».

Sud Quotidien s’attend, pour sa part, à une « contestation fast track » à partir de ce vendredi. La période contentieuse s’ouvre, en effet ce jour, pour les Locales 2022.

En fait divers, L’Observateur livre « la choquante histoire d’une vie tombée en prison ». Selon le journal, le détenu Cheikh Niasse, décédé aux Urgences de l’hôpital Aristide Le Dantec, est passé « d’un simple contrôle de police au tiroir de la morgue ».

En sports, le sélectionneur des Lionnes du basket, Moustapha Gaye, déclare dans Stades que c’est à lui « de décider (s’il) doit continuer ou non » malgré que l’équipe nationale a fini quatrième du dernier Afrobasket sans certaines de ses cadres.

« Nous sommes dans une logique de continuer le travail », a souligné le non moins Directeur technique national de la discipline, se disant également « très à l’aise dans (ses) deux casquettes ».

En football, ce quotidien informe que le sélectionneur national, Aliou Cissé, dévoile ce vendredi sa liste pour la double confrontation avec la Namibie, comptant pour les éliminatoires de la Coupe du monde 2022. Stades note que Bamba Dieng et Bouna Sarr seront les « nouveautés » de ce groupe.