Gabon: communiqué final du Conseil des ministres du mercredi 29 juin 2022

Le 29 juin 2022, sous la Très Haute Présidence de  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA,  Président de la République, Chef de l’Etat, le  Conseil des Ministres s’est réuni dès 10h dans la  salle habituelle au Palais de la Présidence de la  République. 

 

 

Le Conseil des Ministres s’est ouvert avec les vives  félicitations adressées au Président de la  République, Chef de l’Etat, pour son implication  personnelle dans le processus d’aboutissement de  l’adhésion de notre pays au sein du Commonwealth,  une organisation intergouvernementale composée  désormais de cinquante-six (56) Etats ayant en  partage la langue anglaise et regroupant 2,5  milliards de personnes ; ouvrant ainsi, 62 ans après  l’accession du Gabon à la souveraineté  internationale une nouvelle et glorieuse page de  notre Histoire.

Au-delà de l’espace francophone, le  Commonwealth offre au Gabon, de nouvelles  opportunités de développement sur les plans  diplomatique, économique, culturel, environnemental entre autres.

Cette adhésion permettra également d’accélérer la  prospérité économique pour une croissance  inclusive, en vue de l’amélioration du bien-être de nos populations et marque le couronnement de la  politique réformatrice menée ces dernières années  par Son Excellence Monsieur le Président de la  République, Chef de l’Etat, en matière de  renforcement des droits humains, de promotion de  l’égalité des genres, de lutte contre les violences  faites aux femmes, de protection de  l’environnement, de lutte contre les changements  climatiques ainsi qu’en matière de consolidation de  la paix et de la sécurité dans le monde.

Sur le plan sanitaire, l’analyse des données  épidémiologiques de ces dernières semaines révèle  une tendance haussière de nouvelles contaminations  de la Covid-19. Cette tendance s’observe également  dans de nombreux pays africains et européens,  principalement causée par les sous-variants du virus  Omicron BA.4 et BA.5.

Conscient que cette recrudescence de nouveaux cas  survient dans un contexte de grippe saisonnière, le  Gouvernement recommande vivement aux  populations à redoubler de vigilance, de prudence et à respecter toutes les mesures barrières édictées  pour leur protection notamment par :

– le port du masque dans les lieux publics, le  lavage régulier des mains, le salut sans se serrer  les mains et éviter les embrassades ;

– le dépistage et la vaccination volontaires.

AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES  LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES 

Le Conseil des Ministres a délibéré sur les Affaires  suivantes :

MINISTERE DE L’INTERIEUR 

Le projet de décret portant organisation,  attributions et fonctionnement du Conseil  Supérieur des Forces de Police Nationale. 

Le présent projet de décret définit le cadre  d’intervention du Conseil Supérieur des Forces de  Police Nationale.

Organe consultatif paritaire du niveau opérationnel  principal, le Conseil Supérieur des Forces de  Police assiste le Président de la République, et le  Gouvernement en matière d’organisation et de  gestion des structures et d’emplois, de déontologie,  d’activités, des ressources humaines et des autres  moyens des Forces de Police Nationale.

MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES 

Le Projet de Loi autorisant la ratification de la  Convention entre le Gouvernement de la  République Gabonaise et le Gouvernement de la  République de Maurice en vue d’éviter la double  imposition et prévenir l’évasion et la fraude  fiscales en matière d’impôts sur le revenu. 

Le présent projet de loi, pris en application des  dispositions des articles 113 et 114 de la  constitution, autorise la ratification de la  Convention suscitée en vue d’établir un cadre  juridique propice aux investissements des  ressortissants gabonais et mauriciens pour favoriser  l’accroissement des relations commerciales entre  les deux pays.

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES  SCEAUX, CHARGE DES DROITS DE  L’HOMME ET DE L’EGALITE DES GENRES 

Le projet de décret portant attributions,  organisation et fonctionnement de  l’Observatoire des Droits de la Femme. 

Le présent projet de décret cité, pris en application  des dispositions de la loi n°006/2021 du 6  septembre 2021 portant élimination des violences  faites aux femmes, vise à mettre en place un  instrument de matérialisation de la stratégie Gabon  Egalité visant à affirmer le leadership du Gabon en  matière de droit des femmes ainsi que la réduction  des inégalités Femmes/Hommes.

Placé sous l’autorité directe du Premier Ministre,  Chef du Gouvernement, l’Observatoire a pour  mission principale d’accroitre l’impact de la  politique Gabon-Egalité sur les cibles visées et de  susciter les changements transformationnels  escomptés sur la condition de la femme gabonaise.

Pour son fonctionnement, l’Observatoire dispose  des organes suivants :

– Le Conseil de l’Observation ;

– La Direction.

MINISTERE DU TOURISME 

Le projet de décret portant attributions et  organisation du Ministère du Tourisme. 

Ce projet de texte définit le cadre organique du  Ministère du Tourisme dont la mission consiste à  concevoir et à mettre en œuvre la politique du  Gouvernement en matière de Tourisme,  notamment :

– proposer et évaluer les stratégies de  développement du tourisme ;

– veiller au respect des normes en vigueur dans le  secteur touristique ;

– prendre toute mesure visant à développer  l’écotourisme et à valoriser le patrimoine  touristique, en collaboration avec les autres  administrations concernées.

Pour son fonctionnement, le Ministère du Tourisme  comprend :

– le Cabinet du Ministre ;

– l’Inspection Générale des Services ;

– le Secrétariat Général ;

– les Directions Générales ;

– les Etablissements et organismes sous tutelle.

MINISTERE DE L’EDUCATION  NATIONALE, CHARGE DE LA FORMATION  CIVIQUE 

Le Projet de décret portant réorganisation de la  Commission Nationale pour l’UNESCO. 

La réorganisation consacrée par le présent projet de  décret porte sur la redéfinition des missions, de  l’organisation et du fonctionnement de la  Commission Nationale pour l’UNESCO, créée par  le décret n° 1/MEN/1A du 5 janvier 1961 portant  constitution d’une Commission Nationale pour  l’UNESCO, modifié par le décret n° 28/PR/MEN  du 5 février 1965.

Ainsi, le présent projet de décret permet à cette  Commission de développer ses activités avec plus  d’autorité dans les domaines de compétence de  l’Organisation des Nations Unies pour l’Education,  la Science et la Culture.

A cet effet, ledit projet de décret définit les  missions, l’organisation et le fonctionnement de la

Commission Nationale pour l’UNESCO ainsi que le  cadre partenarial avec le Gouvernement et la  Délégation Permanente du Gabon auprès de  l’UNESCO, les départements ministériels, les  institutions, les organisations et les particuliers qui  œuvrent à la promotion de l’éducation, de la  science, de la culture, de l’information et de la  communication.

MINISTERE DE LA SANTE ET DES  AFFAIRES SOCIALES 

Projet de décret portant création, attributions et  organisation du Programme National de Lutte  contre le Paludisme. 

Le présent projet de texte, pris en application des  dispositions de l’article 98 de l’ordonnance n°  001/95 du 14 janvier 1995, crée dans le secteur de  la santé un programme national dénommé  Programme National de Lutte contre le Paludisme,  en abrégé PNLP.

Le Programme National de Lutte contre le  Paludisme est un service à autonomie technique qui  assure la mise en œuvre de la politique du

Gouvernement en matière de prévention et de lutte  contre le Paludisme.

Il est, entre autres, chargé de :

– coordonner toutes les actions de lutte contre le  Paludisme au Gabon ;

– promouvoir les actions de prévention du  paludisme dans les communautés et auprès des  populations cibles, la recherche opérationnelle en  matière de lutte contre le Paludisme ainsi que la  recherche scientifique et les innovations médicales  sur le paludisme ;

– mobiliser les administrations, le secteur privé et la  société civile dans le cadre des actions de  prévention.

MINISTERE DE L’HABITAT ET DE  L’URBANISME 

Deux Projets de décret portant Déclaration  d’Utilité Publique. 

Au sens des projets de décret indiqués, sont déclarés  d’utilités publiques l’occupation par l’Etat des  terrains ci-après:

– les terrains d’assiette de la voie reliant le carrefour  Camp de Gaulle au carrefour dispensaire Okala, en  vue d’aménager une voie d’accès et de  contournement au Nouvel Aéroport International de  Libreville ;

– le terrain formant la parcelle n° 300 section ZN3,  situé au lieu-dit Dragages, sis au quartier Nzeng Ayong, dans la Commune de Libreville, d’une  superficie de 1989 mètres carrés pour la réalisation  d’un marché.

Le Projet de décret modifiant et supprimant  certaines dispositions du décret n° 84/PR/MHLU  du 8 avril 2010 fixant les modalités de délivrance  du permis de lotir. 

Les modifications apportées au texte susvisé  reposent sur :

– la prise en compte du transfert des missions  d’exécution arrêté par la réforme foncière de 2012 à  l’organisme de gestion qu’est l’Agence Nationale  de l’Urbanisme, des Travaux Topographiques et du  Cadastre (ANUTTC) ;

– l’arrimage aux exigences de l’ordonnance n°  004/PR/2021 du 26 janvier 2021 instituant  l’obligation de mise en valeur des concessions  d’aménagement foncier et de construction  d’immeubles en République Gabonaise.

Au titre du présent texte, la procédure de délivrance  du permis de lotir est dorénavant de la compétence  de l’ANUTTC tel qu’indiqué par les dispositions de  l’article 8 nouveau.

MNISTERE DU PETROLE ET DU GAZ 

Le projet de décret portant approbation des  statuts révisés de la Société Nationale des  Hydrocarbures du Gabon, dite Gabon Oil  Company (GOC). 

Le présent projet de décret modifie les statuts de la  Société Nationale des Hydrocarbures du Gabon (SHNHG) dans l’optique d’améliorer son  fonctionnement et celui de ses organes  opérationnels.

Ainsi, les ajustements opérés concernent  notamment :

– l’insertion du nouveau siège social fixé à  l’immeuble GOC, Avenue Paul MOUKAMBI,  Kalikak 1386 ;

– l’insertion du nouveau capital social qui s’établit  désormais à onze milliards (11.000.000.000) de  francs CFA ;

– la nouvelle composition du Conseil  d’Administration ;

Présidence de la République Communiqué final SCM Page 13 sur 45

– la limitation du mandat des administrateurs à une  durée de trois (3) ans ;

– la création de l’Assemblée Générale ;

– la création de l’Agence Comptable.

MINISTERE DE L’AGRICULTURE ET DE  L’ALIMENTATION 

Le projet de décret fixant les conditions  d’implantation de production, de contrôle  sanitaire des élevages avicoles et de  commercialisation de leurs produits. 

Le présent projet de texte, pris en application des  dispositions de l’article 4 de la loi n°023/2008 du 10  décembre 2008 portant politique de développement  agricole durable, vise à combler un vide juridique  en établissant un cadre institutionnel optimal au développement et à la promotion d’une filière  avicole, respectueuse de la santé et de  l’environnement.

De ce fait, le texte détermine les conditions  techniques, sanitaire et d’hygiène applicables aux  activités d’élevage avicole, d’abattage, de découpe,  de couvaison d’œufs, de transport et de  commercialisation de volailles vivantes, de viande  de volaille et d’œufs de consommation.

MINISTERE DES MINES 

Projet de décret portant attributions et  organisation du Ministère des Mines. 

Le projet de texte indiqué a pour objet de mettre en  place un nouveau cadre organique pour le Ministère  des Mines.

Pour son fonctionnement, le Ministère des Mines se  compose ainsi qu’il suit :

– le Cabinet du Ministre ;

– l’Inspection Générale des Services ;

– le Secrétariat Général ;

– les Directions Générales ;

– les Etablissements et organismes sous tutelle.

EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE 

MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES 

Le Conseil des Ministres a marqué son accord à la  demande d’accréditation des personnalités  diplomatiques suivantes :

– Son Excellence, Monsieur LI Jinjin, en qualité  d’Ambassadeur Extraordinaire et  Plénipotentiaire de la République Populaire de  Chine près la République Gabonaise avec  résidence à Libreville ;

– Son Excellence, Madame Perpetua Joyce  NAANA DONTOH, en qualité  d’Ambassadeur Extraordinaire et  Plénipotentiaire de la République du Ghana  près la République Gabonaise avec résidence à  Malabo, en Guinée Equatoriale.

Par ailleurs, le Conseil des Ministres se félicite de  l’élection en qualité de Vice-Président du Parlement

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Panafricain de Monsieur François ANGO  NDOUTOUME, Député à l’Assemblée Nationale.

Cette élection confirme à nouveau le rayonnement  et l’éclat de la diplomatie gabonaise impulsés sous  la Très Haute vision de Son Excellence, Ali  BONGO ONDIMBA, Président de la  République, Chef de l’Etat. 

MINISTERE DE L’EDUCATION  NATIONALE, CHARGE DE LA FORMATION  CIVIQUE 

Le Conseil des Ministres a pris acte des  communications ci-après :

– la communication relative à l’organisation et au  déroulement des examens de fin d’année  académique en cours marqué par un niveau de  réussite appréciable et encourageant aussi bien pour  les apprenants que pour les personnels d’encadrement et Technique aux différents  examens ;

– la Communication relative à l’organisation de  la 2ème Edition du Concours National des  Meilleurs Elèves.

Ce concours participe de la volonté du Président de  la RépubliqueChef de l’Etat, de promouvoir la  culture du mérite et de récompenser l’excellence. Il  a pour principaux objectifs de :

– valoriser les meilleurs élèves ;

– renforcer les résultats de la première édition dudit concours ;

– susciter l’émulation inter-établissement pour en  faire de potentiels incubateurs d’excellence.

Pour la présente session, le concours verra la  participation de six-cent quatre-vingt-six (686)  élèves des classes de 5ème année du cycle primaire  et des élèves des collèges et lycées de  l’enseignement général, technique et professionnel  répartis sur l’ensemble du territoire national.

Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les  mesures individuelles suivantes :

PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE 

CABINET DU PRESIDENT DE LA  REPUBLIQUE

– Chargé de Missions : Mme Marie  ONDZOUNGA. 

SECRETARIAT GENERAL DE LA  PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

– Conseiller du Président de la République : Mme Marie Noëlline HOUNDY Epouse  ANGUILET. 

– Attaché de Cabinet à la Présidence de la  République : M. Davy EMANE NDONG  NZE. 

– Chargé de Missions du Président de la  République : M. Robespierre OLO MEZUI.

Par ailleurs, les agents dont les noms suivent sont  admis à faire valoir leurs droits à la retraite 

– Mme. Claude José MARTINS,  Précédemment Attachée de Cabinet à la  Présidence de la République ;

– M. Thierry BOUANGA, Précédemment  Attaché de Cabinet à la Présidence de la  République.

HAUT- COMMISSARIAT A  L’ENVIRONNEMENT ET AU CADRE DE VIE

Est remis à la disposition de son administration  d’origine, Monsieur Bernard Landry PANZOU,  précédemment Conseiller du Président de la  République.

PRIMATURE 

CABINET MILITAIRE DU PREMIER  MINISTRE 

– Conseiller Forces Armées Gabonaises (FAG) :  Lieutenant- Colonel Bertrand OLOUMBOU  OPEBI, en remplacement du Lieutenant colonel Joseph ONDO BE.

– Conseiller Prospective Lieutenant-colonel Guy Roger NZAOU BOUKOUMBA. 

MINISTERE DES RELATIONS AVEC LES  INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES  ET LES AUTORITES ADMINISTRATIVES  INDEPENDANTES 

HAUTE AUTORITE DE LA COMMUNICAION  (HAC)

CABINET DU PRESIDENT

– Directeur de Cabinet : M. Bruno PINDI 

– Secrétaire Particulière du 1er Président : Mme  Pauline MAVONDO.

– Secrétaire du Directeur de Cabinet : Mme Inès  Alda YOUBI.

– Conseiller en Communication : M. Jean Steeve  DOUMBENENY, confirmé.

– Conseiller Juridique : Mme Jeanne Marie  MIMBA MI ESSONE.

– Conseiller Technique : Mme Thérèse  Perpétue BENDOME NGUEMA.

– Conseiller Technique : M. Jean-Claude  BISSAVETSI.

– Conseiller Technique : M. Narcisse EYI  MENYE.

– Conseiller Technique : M : Jean Marie  KASSA.

– Conseiller Technique : Mme Chantal  Victoire NYWANGA.

– Chargée d’Etudes : Mme Emilienne Lisa  KOUNGA MOUSSAVOU.

– Chargée de Missions : Mme Carmene  Chandrika MOUTSINGA MOMBO.

– Aide de Camp : Chef Major Loïc Cédric  EBOUNDABADI.

– Agents de Sécurités :

• Maréchal de Logis Chef Major Steeve  Herman NKOGHE ZANG ;

• Maréchal de Logis Ben Jeffrey  LEIMANGOYE-VINGA.

– Chef du Protocole M. Gervais Landry  ATONDIZOKI, confirmé.

– Chef de Service Courrier : M. Boris YEYE  BOUKEGHET, confirmé.

SECRETARIAT GENERAL

– Directeur Central des Affaires Financières :  Mme Pierrette Catherine POUABOU  THIBASSA.

DIRECTION GENERALE DE  L’AUDIOVISUELLE, DES PROGRAMMES ET  DE LA COMMUNICATION ECRITE

– Directeur Général : Mme Paulette  KOUELET, en remplacement de Mme Sylvie  MINDZE BIBANG, remise à la disposition de  son administration d’origine.

CABINET DES CONSEILLERS MEMBRES 

CABINET DU CONSEILLER MEMBRE  Christian Olivier LASSENNY 

– Attachée de Cabinet : Mme Hélène-Narcine  MOUSSOUNDA SIKA, confirmée.

– Secrétaire Particulière : Mme Brigitte  MATCHANGA, confirmée.

– Agent de Sécurité : Brigadier-Chef Major de  Police Yann EDANG PITHER.

– Chauffeur Particulier : M. Ndwanys Aimé  César MOUNGUENGUI NZIENGUI,  confirmé.

CABINET DU CONSEILLER MEMBRE Guy  Roger OMBANDA LENDIRA

– Attaché de Cabinet : M. Brice Anicet  DIMBOMBI DYA DIMBOMBI, confirmé.

– Secrétaire Particulière : Mme Marie  Christine NZE AKOGHA épouse  OYEGHE ABOGHE, confirmée.

– Agent de Sécurité : Brigadier de Police  Sylvain OMPINGO SAMBAT.

– Chauffeur Particulier : M. Alex Ulrich  NDOUMBA.

CABINET DU CONSEILLER MEMBRE  MABENDI-NZATSIMBOU 

– Attaché de Cabinet : M. Olivier DIVASSA MAPOUPA, confirmé.

– Secrétaire Particulière : Mme Diane Pisqua  NGOUSSANGUEBA, confirmée.

– Agent de Sécurité : Brigadier-Chef de la  Police Arnaud Achille KOUNDA, confirmé.

– Chauffeur Particulier : M. MADINDA NZATSIMBOU, confirmé.

CABINET DU CONSEILLER MEMBRE  Félicien BIVIGA KOUMBA 

– Attachée de Cabinet : Mme Brigitte MABIKA  BIGNOUMBA, confirmée

– Secrétaire Particulière : Mme Patricia  HOMBOUIRY-NZIENGUI épouse  MOUBOGHA, confirmée.

– Agent de Sécurité : Brigadier-Chef Major de  Police Jean de Dieu MABEGHAN, confirmé.

– Chauffeur Particulier : M. Jean-Marcel  EDZANG BILIE, confirmé.

CABINET DU CONSEILLER MEMBRE Jean  François MOUWAKA NGONGA 

– Attaché de Cabinet : M. Faustin LETADI,  confirmé.

– Secrétaire Particulière : Mme Rêve Noela Elza  LEBAKA-MIPAKA, confirmée.

– Agent de Sécurité : Sous-Brigadier de Police  Evrard Jansen MOUNDOUNGA.

– Chauffeur Particulier : M. : Martien  LETSIMBI, confirmé.

CABINET DU CONSEILLER MEMBRE  Timothée BOUSSIENGUI 

– Attaché de Cabinet : M. Désiré IGOUWE,  confirmé.

– Secrétaire Particulière : Mme Alice MBOODY  BIVAINE, confirmée

– Agent de Sécurité : Brigadier-Chef Major de  Police Nationale Guy Emeric MAYAMA  BOUNANGA.

– Chauffeur Particulier : M. Victor MOYIYA,  confirmé.

CABINET DU CONSEILLER MEMBRE Abel  NZEGHO MIMONGO 

– Attachée de Cabinet : Mme Hortense Félicité  AZIZET, confirmée.

– Secrétaire Particulière : Mme Mirma  BILEMBA ITA épouse IRANGA.

– Agent de Sécurité : Sous-Brigadier de Police  Caël MOUSSAVOU MOUKAGNI, confirmé

– Chauffeur Particulier : M. Gervais OSSA,  confirmé.

MINISTERE DE L’INTERIEUR 

CABINET DU MINISTRE D’ETAT

– Directeur de Cabinet : M. Guy Séraphin  IBOUANGA, confirmé.

– Secrétaire Particulière du Ministre d’Etat :  Mme Judith Nanou KOUMBA épouse  MAYANDJI, confirmée.

– Secrétaire Particulier du Directeur de Cabinet :  M. Christian ANGOUE ESSONE, confirmé.

– Chargé d’Etudes : M. Anicet Armel TSIBA.

– Secrétaires de Cabinet :

Mmes :

• Andréa Zita ASSOUA, confirmée ;

• Bernadette SIMA, confirmée.

– Conseiller Juridique : M. Aimé Roger  MOULOUNGUI MAGANGA, en  remplacement de M. Hervé Christin  NGANGUI.

– Conseiller en Communication : M. Jean Eric  NZIENGUI MANGALA, confirmé.

– Conseiller Technique : Mme Paméla  Marylène BALAMI SINGATADY,  confirmée.

– Conseiller chargé des Systèmes d’Information  et du Projet IBOGA : M. Reick Dénis ELION  EYAINEBI, confirmé.

– Chargés de Missions :

Mmes :

• Adelaïde Marcelle MASSA, confirmée ; • Estelle OKIGUI TSAMBOU.

– Chef du Protocole : M. Dieudonné  NGUINGUIMBA, confirmé.

MINISTERE DE L’INDUSTRIE 

CABINET DU MINISTRE 

– Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet :  Mme. Phreynelle Jessica TONDA ;

– Secrétaires de Cabinet : Mme. Gilvasia Elsa  KOUELET. 

MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES CABINET DU MINISTRE

– Conseiller Juridique : M. Justin Chérubin  KOUENDI.

– Conseiller Technique M. Stéphane Sandy  ANGO. 

– Conseiller Technique, Ambassadeur Itinérant :  M. Aristide EBANG ESSONO.

– Conseiller Technique, chargé de la Coopération  Bilatérale : Mme Myriam KOURAKOU.

– Chargés de Mission :

MM. :

• Henri Pierre GUEL ;

• Désiré Erall MEMIAGUE.

MINISTERE DE LA COMMUNICATION CABINET DU MINISTRE 

– Directeur de Cabinet : M. Jean Martin  RETENO ;

– Secrétaire Particulière du Ministre : Mme. Edna  Yolande Corine DUMAIRE ;

– Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet :  Mme. Olivia Justice Marie-Claire Paulette  NDONG EYI ;

– Secrétaires de Cabinet : Mmes

• Suzanne NGONDO ;

• Bernice Daïka Véronique LINGOUMA  MYTOULOU. 

– Conseiller en Communication : M. Ludwig Ernesto RANGAZO LASSENY 

– Conseiller Juridique : Mme. Lysa Sténie  MANGANGA KOUNDI.

– Conseiller Technique : M Alain ONDO  MINKO ;

– Conseiller Technique chargé des Entités Sous tutelle : M. Steve ESSIMA NDOUTOUME ; 

– Conseiller Technique chargé de la Conception et  des Projets : M. Antoine GOMBE.  

– Chargés d’Etudes :

MM.

• Giscard NZITA NDJOGOU ;

• Paul Marcel SEMBA. 

– Chargés de Missions :

MM.

• Derick OPAPE 

• Joseph NIERE 

– Chef du Protocole : Mme. Marie Jeanne  BIBAYE OKOUANGA épouse EBALI ;

– Aide de Camp : Brigadier Daisy Tsiranana  Deneuve NZAMBA ;

– Agents de Sécurité : Sous-brigadier Tahir Bechir  NYAMA ;

– Chauffeur Particulier du Ministre : M. Jonas  MANFOUMBI.

AGENCE GABONAISE DE PRESSE (AGP) CONSEIL D’ADMINISTRATION

– Président du Conseil d’Administration : M.  Pascal ASSIAMI.

MINISTERE DE LA FORMATION  PROFESSIONNELLE 

CABINET DU MINISTRE

– Directeur de Cabinet : M. Guy Nesty EBOBO.

– Secrétaire Particulière du Ministre : Mme  Laëtitia NTSAME ESSONO.

– Conseiller Juridique : Mme Nathalie  NKOULE EKOMI.

– Conseiller en Communication : Mme Marielle  ILAMBOUANDZI.

– Conseillers Technique :

• Mme Arielle Aurore AMBENGAT ; MM. :

• Yves LEKOUMA ;

• Benjamin MOIGNON.

– Chargés d’Etudes :

MM. :

• Erick MOKOKO ;

• Messan Tiburce IKAKE BRUCE.

– Secrétaires de Cabinet :

• M. Yannick ONDZAGHA ;

• Mme Pulchérie NDOUTOUME  BAGNEGNE.

– Chargés de Missions :

MM. :

• Henri ZAMIZAMI ;

• Wilfried ABELONGO DIECKO.

– Chef du Protocole : M. Pierre NGADI.

– Aide de Camp : Adjudant-Chef Gautier  KOMBILA.

– Agent de Sécurité : Maréchal des Logis Chef  Fransky ONKOMA.

– Chauffeur Particulier : Mme Johanne  MBAMBANGUILA.

MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DE LA  RELANCE 

CABINET DU MINISTRE

– Directeur de Cabinet : M. Jean H. TATY  MAVOUNGOU, confirmé.

– Secrétaire Particulière du Ministre : Mme Lucie  BOA MBENDJE, confirmée.

– Secrétaire Particulier du Directeur de Cabinet :  Mme Marie-Louise Natacha RABENKOGO  ANTCHANDIE.

– Secrétaires de Cabinet :

Mmes :

• Danielle D’ALMEIDA AYENDJINA  AYOKO épouse MAYAGUI MANAMY,  confirmée ;

• Laurys Monela ABOGHE BESSEGHE,  confirmée.

– Conseiller Juridique : M. Serge Bernard  ABESSOLO.

– Conseiller Technique, chargé de la Cellule  FINEX : Mme Martine KOUMBAT 

DOUMBENENY épouse MABIALA,  confirmée.

– Conseiller Technique, chargé des Opérations de  Redressement et de Liquidation des  Organismes Publics, Parapublics et à  Participations Publiques, Président du Comité  de Suivi de l’Exploitation du Chemin de Fer  Transgabonais et du Programme de Remise à  Niveau (PRN) : M. Claude MBOUMBA  MAKANGA, confirmé.

– Conseiller Technique, Chargé des Questions  Douanières : M. Boris AYOUNET, confirmé.

– Conseiller Technique, Chargé de la Statistique  et de la Prospective : M. Thierry Francis  TIWINOT.

– Conseiller Economique, chargé des Questions  de la Vie Chère : M. Modeste MFA OBIANG.

– Chargés d’Etudes :

• Mme Ariane AYO OWONDO épouse  IGOHO ;

MM. :

• Hubert Mitch OGOUMA, confirmé ; • Cyrille Alban MALABHY MAYILA,  confirmé.

– Chargés de Mission :

MM. :

• Alain ANOTHO ONANGA, confirmé ; • Léandre Yvon NGUEMA NDONG,  confirmé.

– Chef du Protocole : Mme Diane Thérèse  Annick ROSSEMOND ASSISSO épouse  NEYEUR, confirmée.

– Aide de Camp du Ministre : Maréchal des Logis  chef de la Gendarmerie Larry Kephel  MANGUI, confirmé.

– Agents de Sécurité du Ministre :

• Sergent de l’armée de Terre Wilfried  KOUMA, confirmé ;

• Le Maréchal des Logis de Gendarmerie Igor  Saturnin BOULOSSA MASSALA, confirmé.

– Chauffeur Particulier du Ministre : M. Gaëtan  GWEKOUAGNA, en remplacement de M.  Stanislas MANO.

SECRETARIAT GENERAL

– Secrétaire Général : M. Christian Patrick  EBE.

– Secrétaire Général Adjoint : Mme Rêve  Rolande MOUCKALA KOUMBA.

INSPECTION GENERALE DES SERVICES

– Inspecteur Général : Mme Viviane  MAGNAGNA épouse NGUEMA ONDO.

– Inspecteur Général Adjoint : M. Aloïse  MOUKENDI.

– Inspecteur : M. André Franck ANGUE  ABOUGHE.

MINISTERE DE L’ECONOMIE  NUMERIQUE 

CABINET DU MINISTRE 

– Chargé de Missions :

Mmes.

• Solange MBOUMBA ; 

• Célestine MANOMBA. 

SOCIETE DE PATRIMOINE DES  INFRASTRUCTURES NUMERIQUES (SPIN) 

DIRECTION GENERALE

– Conseiller du Directeur Général : M. Jean  Robert MOUTCHINGA BOULINGUI 

MINISTERE DE LA PROMOTION DES  INVESTISSEMENTS, DES PARTENARIATS  PUBLIC-PRIVES, CHARGE DE  L’AMELIORATION DES AFFAIRES

SECRETARIAT GENERAL

– Secrétaire Général : M. Claude MOMBO. 

MINISTERE DE LA SANTE ET DES  AFFAIRES SOCIALES 

CABINET DU MINISTRE 

– Chef du Protocole : M. Mesmin NZOGHE  PEA ;

– Chargé de Missions : Mme. Georgette KOMBA. 

MINISTERE DU COMMERCE, DES PETITES  ET MOYENNES ENTREPRISES 

CABINET DU MINISTRE 

– Conseiller Technique : Mme Marie Augucia  SANANA.

– Secrétaire de Cabinet : Mme Zita  MOUNADIAMBOU. 

INSPECTION GENERALE DES SERVICES 

– Inspecteur Général des Services : Mme  Géraldine LONGHO. 

SECRETARIAT GENERAL 

DIRECTION GENERAL DU COMMERCE SERVICES TERRITORIAUX

DIRECTION PROVINCIALE DE LA NGOUNIE – Directeur : M. Aubin MOUNDADI 

MINISTERE DE L’HABITAT ET DE  L’URBANISME 

CABINET DU MINISTRE 

– Secrétaire Particulière du Ministre : Mme.  Valérie Sandra MAKAGA ESSOGHE, en

remplacement de Mme Claude Stinicia  MAGANGA GOUIN, remise à son  administration d’Origine ;

– Secrétaire de Cabinet : Mme. Emmanuelle  DAVIDAS SAFOU, en remplacement de Mme  Valérie Sandra MAKAGA ESSONGUE ;

– Conseiller Technique : M. Etienne NGUEMA  ASSOUMOU, en remplacement de M. Jean  Baptiste OBAME NTOUTOUME.

SOCIETE NATIONALE IMMOBILIERE  (SNI) 

DIRECTION GENERALE

– Conseiller Technique du Directeur Général : Mme Stéphanie ONA ONDO. 

Je vous remercie

Source: Gabon Media Time

Mali : le mandat de la Minusma renouvelé

La Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (Minusma) va se poursuivre jusqu’au 30 juin 2023.Le Conseil de sécurité de l’Organisation des nations unies (Onu) s’est réuni ce mercredi pour discuter principalement de l’opération de maintien de la paix au Mali confronté à la menace jihadiste. Le mandat de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (Minusma), expirant ce jeudi, a été prolongé d’une année.

Lors de cette session, le Royaume-Uni et les États-Unis ont demandé un renforcement des prérogatives de la mission onusienne en matière de droits humains. En outre, ces deux pays ont souhaité que le soutien de la Minusma aux Forces de défense et de sécurité maliennes soit conditionné à un respect strict de la Politique de diligence voulue en matière de droits de l’Homme de l’Onu.

C’est pourquoi, la nouvelle résolution proposée par la France contient un paragraphe imposant aux autorités maliennes de garantir à la Minusma une liberté de mouvement notamment pour enquêter sur les violations des droits de l’Homme.

A ce sujet, Issa Konfourou, l’ambassadeur permanent du Mali aux Nations Unies, a déclaré que « pour des impératifs de respect de la souveraineté du Mali, de coordination et de sécurité, les mouvements de la Minusma ne peuvent se faire qu’avec l’accord des autorités compétentes maliennes ».

Poursuivant, le diplomate malien a assuré que son pays « n’est pas en mesure de garantir la liberté de mouvement pour des enquêtes de la Minusma sans l’accord préalable du gouvernement (et) n’entend pas exécuter ces dispositions malgré leur adoption par le Conseil de sécurité ».

Sur Twitter, Julien Antouly, chercheur à l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) au Mali, a affirmé que l’autorisation accordée aux forces françaises pour appuyer la Minusma est supprimée à la demande de Bamako. Par conséquent, l’opération Barkhane n’a plus de mandat pour agir au Mali.

Quant à la Force conjointe du G5 Sahel, a-t-il poursuivi, le soutien de la Minusma est suspendu à cause du retrait du Mali de l’organisation. Enfin, le Conseil de sécurité de l’Onu s’attend à ce que le Secrétaire Général produise un rapport sous 6 mois sur la situation politique au Mali, la coopération avec les autorités et les conditions nécessaires au maintien de la Minusma.

Continuous Integration vs Continuous Delivery: There’s an Important Difference

In fact, development teams can’t even begin to think about implementing continuous delivery before they’ve implemented continuous integration. Continuous Deployment takes the process one step further than continuous delivery. Here, all changes that pass the verification steps at each stage in the pipeline are released to production. This process is completely automated and only a failed verification step will prevent pushing the changes to production. With Continuous Delivery, commits are automatically packaged into a build and tested.

The simple fact is, failing to implement continuous delivery significantly reduces reliability and stability. So, it’s essential to understand the differences between the two in order to make sure that both are properly implemented. Working using CI is one of the pillars of modern software development. The technique is very well documented and known at this point in time. There is no excuse for your organization if you are not practicing CI today in your software projects.

It also means you can have faster iterations and deploy smaller changes. If you do, however, they are easier to fix as you will know exactly where to look. As the name suggests, continuous integration refers to running integration tests, each time changes are made to your codebase. Continuous Delivery is about being able to deploy any version of your code at all times. In practice it means the last or pre-last version of your code.

What is the difference between CI and CD

The test tools commonly used in this stage include Appium, Selenium, PHPUnit, Jest, Playwright, and Puppeteer. When implemented correctly, CI/CD enables the frequent delivery of software changes to production. This gives users more opportunities to share feedback, thereby embracing a culture of agile development. Just like CI optimizes building and testing processes, continuous delivery boosts the efficacy of packaging and deployment activities. CI/CD introduces ongoing automation and continuous monitoring throughout the lifecycle of apps, from integration and testing phases to delivery and deployment. Won’t release software more often and won’t speed up the feedback loop with their customers.

Continuous delivery vs continuous deployment

DevOps prioritizes roles that prioritize responsiveness as it focuses on culture. With the aid of DevOps approaches, businesses organize their production companies and procedures to develop software in an effort to promote quick, continuous deployment. DevOps is a set of practices, toolkits, and a kind of cultural philosophy that optimize and incorporate software development and IT teams’ processes. It focuses especially on team empowerment, cross-team collaboration, communication, and technological automation. CI allows developers to work independently, creating their own coding “branch” to implement small changes. As the developer works, they can take snapshots of the source code, typically within a versioning tool like Git.

Iterate quickly and leverage powerful source code management and automation for your project with Unity’s CI/CD solutions. Choose Unity Cloud Build for distributed work, or scale your on-prem build capacity with Unity Build Server. Testing environments should simulate the eventual production environment.

Output is generated in the form of big data or numerous documentation files. System errors such as “low memory” and “server not reachable” are addressed in this stage, bolstering the availability and security of the application. Continuous integration stage includes the development of code for new functionality being built and integrated with the existing code. Once all the commits are built, problems can also be detected early in this stage. Build stage where the source code is infused with its dependencies and an executable development instance is created.

The Pitfalls of Only Focusing on Continuous Integration

The final stage of a mature CI/CD pipeline is continuous deployment. As an extension of continuous delivery, which automates the release of a production-ready build to a code repository, continuous deployment automates releasing an app to production. Because there is no manual gate at the stage of the pipeline before production, continuous deployment relies heavily on well-designed test automation. While continuous delivery is an extension of continuous integration, deployment builds on top of delivery. It goes one step further than delivery, as with it, changes are automatically deployed to production without any human intervention. This also means that in order to avoid regressions and other problems to arise, your test suit needs to be top-notch.

This will allow your team to improve your process and avoid putting effort into chasing fancy metrics that do not bring any value to your process. The main reason is because, by conflating CI with CD, organizations can end up doing only the ci/cd pipeline monitoring former but thinking they have implemented the latter. As an example of conflation of the terms CI and CD, take this page, which purports to be a “history of CI/CD tools.” The author does provide a truly excellent history of CI platforms.

Iterative development, or the writing of small pieces of code within a fixed time with an aim to drive releases and sub-releases and enhance the frequency and speed of deployments. According to the project and organization needs the CI and CD is based on that. You can use Continuous Delivery, in which changes are uploaded to the mock server and subsequently to the production server. Continuous Deployment, in which changes are automatically reflected in the production server once the code is committed and passes the test.

  • They take place in this order with continuous integration being the foundation the others need.
  • This will allow your team to improve your process and avoid putting effort into chasing fancy metrics that do not bring any value to your process.
  • In theory, with continuous delivery, you can decide to release daily, weekly, fortnightly, or whatever suits your business requirements.
  • DevOps practitioners adopt the workflow practices of CI/CD.
  • Once feedback is received, it can be acted on — whether that requires changes, fixes, or rollbacks.

Continuous integration is a simple and seamless process that begins in the development phase and ends in the testing environment. Continuous integration allows all developers to work collaboratively and keep track of their code. Every developer “commits” their code in small increments to a shared code repository, also known as the mainline repository. The code repository is maintained in a version control system like Unity VCS, Perforce, or Git. Every commit made to the repository’s main branch can trigger an automated build process linked to a build management system that takes the code and creates a build.

What are some common CI/CD tools?

CI/CD brings clarity to work by defining processes and timelines for code commits and build launches. Checking in numerous small changes throughout the day substantially reduces the risk of build-breaking errors being introduced into your source code. The implementation of DevOps varies greatly across organizations, but at its core, DevOps cannot be accomplished without CI/CD. A CI/CD pipeline is intrinsically tied to a DevOps culture and its process of small, frequent releases. Software-defined life cycles are the greater focus of CI/CD, which highlights tools that prioritize automation. Agile principles are used in DevOps to streamline software development, testing, and release.

The daily feedback makes it easier to identify problems when they are smaller and easier to fix. Integrating in small batches can make it easier to figure out what is causing a defect. It also increases transparency between developers and across teams. These are the steps that essentially make up the core of CI/CD.

What is the difference between CI and CD

Continuous Integration is a trade off between speed of feedback loop to developers and relevance of the checks your perform . No code that would impede the team progress should make it to the main branch. Getting to sufficient test confidence to say your software is ready to be deployed automatically usually works on low surface applications like APIs or simple UIs. It is very difficult to achieve on a complex UI or a large monolith system. You deploy the most up to date and production ready version of your code to some environment. The process of Continuous Integration is independent of any tool.

Continuous Delivery vs Continuous Deployment

With a ton of automation plugins available, allowing for use as a continuous delivery hub, Jenkins seems to be moving towards positioning itself as a one-stop CI/CDel/CDep solution. The only downside to this is that choosing the correct plugins and setting them up requires some detailed knowledge of these processes. Another big difference between CI, CDel and CDep is the range of tools required for implementation. Setting up CI processes could be as simple as using Git for source control and a CI server like Jenkins or Bamboo.

The important point is the fact that the release is fully tested and packaged, ready to be sent to production . Any project stakeholder should be able to give the green light and move the release to production immediately. After the software was deemed to be tested, somebody was tasked with the packaging and deployment process.

What is the difference between CI and CD

Hi there, I’m David Found, the Vice President of Software at Indellient. I lead new product development initiatives within the company. Our bold vision for creating simple solutions enables us to provide intuitive and elegant products for complex problems. Our bread and butter lie in modern and https://globalcloudteam.com/ robust web applications. Once this highly stressful period is over, the merged result is passed to David who will perform extra manual and automated testing. This period is also time-consuming as he is the one who can approve or block the release depending on how many critical bugs are found.

How are CI/CD and DevOps related?

After the code has been committed and tested, CD refers to the direct deployment of the build to the server. Continuous Integration and Continuous Deployment allow for speedier delivery of new working software. CI/CD tools can help a team automate their development, deployment, and testing. Some tools specifically handle the integration side, some manage development and deployment , while others specialize in continuous testing or related functions. Case-by-case, what the terms refer to depends on how much automation has been built into the CI/CD pipeline. Many enterprises start by adding CI, and then work their way towards automating delivery and deployment down the road, for instance as part of cloud-native apps.

What is continuous deployment?

In modern application development, the goal is to have multiple developers working simultaneously on different features of the same app. However, if an organization is set up to merge all branching source code together on one day (known as “merge day”), the resulting work can be tedious, manual, and time-intensive. This problem can be further compounded if each developer has customized their own local integrated development environment , rather than the team agreeing on one cloud-based IDE. As stated, these three approaches all differ in their implementation and what they mean to a development team. At the beginning, there’s continuous integration and then continuous delivery or deployment follows. Before investing in continuous deployment a business must first assess what the biggest risks are of their product and then determine the tradeoffs in how you want to deploy software.

CI/CD vs. DevOps

For example, in the case of CDel, more tools are needed for release automation and build automation, along with integration tests, functional tests, and acceptance tests. The eCommerce store, where the above engineers are all working, sets a weekly production push timeline. On Wednesdays at 5 pm, all new builds are published to the production applications, and engineers can see how everything has come together. Modern software engineers usually have a general idea of whatContinuous Integration, Continuous Delivery, and Continuous Deploymentrefer to in practice. However, the minute differences between these CI/CD processes often get confused. Below, we’ll define the nuances between these concepts, and look at the advantages and disadvantages of such continuous development approaches.

Deploying software to production was also a very stressful period and traditionally involved many manual steps . Kostis Kapelonis Kostis Kapelonis is a developer advocate at Codefresh, a continuous delivery platform build for Kubernetes and containers. Formerly a Software Engineer, Kostis has years of experience containerizing applications, building CI/CD pipelines, and developing Java applications.

Maroc/Football: Le Wydad de Casablanca sacré champion

Le Wydad de Casablanca a été sacré champion du Maroc pour la 22e fois de son histoire, après son match nul contre le MCO (2-2), ce mercredi au stade d’honneur d’Oujda, lors de la 29e journée du championnat marocain de football.Menés au score au bout de la première mi-temps face au Mouloudia d’Oujda (2-0, doublé de Lamine Diakité), les Rouges ont réduit l’écart par le biais de Guy M’benza à la 50e minute, avant d’arracher le point du nul lors des ultimes moments grâce à Joel Tsoumo (90e).

Son poursuivant immédiat, le Raja de Casablanca s’est imposé à domicile face à l’AS FAR (2-1). Soufiane Benjdida a ouvert la marque pour les Verts à la 23e minute, tandis qu’Ismaïl Khafi égalisait à la 40e minute pour les Militaires. Le Congolais Béni Badibanga offrait ensuite les 3 points de la victoire aux siens à la 57e minute.

Ce succès ne changeait toutefois rien puisque l’écart de points entre le WAC (63 points) et le RCA est de 4 unités, à une journée de la clôture de la saison.

Le WAC est le club le plus titré du championnat marocain avec 22 titres, dont 17 depuis la création de la Fédération royale marocaine de football en 1956, devant l’AS FAR (12) et le Raja de Casablanca (12), alors que le KAC de Kénitra et le Moghreb de Fès sont à égalité (4).

Marrakech abrite l’US-Africa Business Summit du 19 au 22 juillet

L’US-Africa Business Summit aura lieu du 19 au 22 juillet prochain à Marrakech, sous le thème « Construire ensemble ».Initié en partenariat avec le Maroc et Africa50, une plateforme panafricaine d’investissement dans les infrastructures, ce Sommet sera l’occasion de renforcer les liens commerciaux et d’investissement entre les différentes parties prenantes du secteur public et privé, indique un communiqué des organisateurs.

Avec la participation de chefs d’États africains, comme le président du Botswana, Mokgweetsi Masisi, le président du Mozambique, Filipe Nyusi et le président du Ghana, Nana Akufo-Addo, le Sommet comprendra « plus de 35 sessions autour des domaines de collaboration commerciale entre les États-Unis et l’Afrique, tels que l’agro-industrie, les infrastructures, l’énergie et le changement climatique, la santé, la cybersécurité et les TIC, la fabrication et d’autres sujets axés sur le secteur », fait-on savoir.

Au programme, des tables rondes, à des panels et à des forums nationaux de haut niveau, avec de nombreuses occasions de réseauter avec des chefs d’entreprise et des dirigeants gouvernementaux pour développer de nouveaux partenaires commerciaux.

Le U.S.-Africa Business Summit sert de plateforme aux représentants du secteur privé et des gouvernements africains et américains pour s’engager au plus haut niveau sur une série de questions ayant un impact sur les relations économiques américano-africaines. 

Le sommet est également l’occasion d’élaborer et de défendre des politiques commerciales et d’investissement efficaces entre les États-Unis et l’Afrique.

Corne de l’Afrique : alerte sur la hausse du mariage des enfants

Les familles démunies s’arrangeant pour marier des filles d’à peine douze ans à des hommes cinq fois plus âgés, regrette le Fonds des Nations Unies pour l’enfance.Dans la Corne de l’Afrique, le changement climatique est une réalité. La sécheresse fragilise la vie des hommes et de leurs bétails. Et la guerre en Ukraine fait exploser les prix des aliments et du carburant. Du coup, de nombreuses familles sont confrontées à des choix difficiles.

D’après le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (Unicef, sigle en anglais), de plus en plus de parents obligent leurs filles à se marier. L’enjeu, c’est la dot et une bouche de moins à nourrir. Cette pratique pousse généralement les jeunes filles à abandonner les études.

Andy Brooks, Conseiller régional de l’Unicef pour la protection de l’enfance en Afrique orientale et australe, affirme avoir constaté « des taux alarmants de mariages d’enfants et de Mutilations Génitales Féminines (MGF) dans toute la Corne de l’Afrique ».

L’organisme onusien, citant des sources éthiopiennes, affirme que les mariages d’enfants ont augmenté en moyenne de 119  % dans les régions les plus touchées par la sécheresse – Somali, Oromia et la région des Nations, Nationalités et Peuples du Sud (SNNP, sigle anglais) – entre janvier et avril 2021 et la même période en 2022. En outre, les cas de MGF dans la région SNNP ont augmenté de 27 % sur la période considérée.

A en croire l’Unicef, au Kenya, les filles sont également confrontées à des risques accrus de mariage d’enfants et de Mutilations Génitales Féminines. Quatorze des 23 comtés frappés par la sécheresse ont des taux de prévalence atteignant 98 % en MGF.

Les filles de ces régions risquent désormais d’être excisées à un plus jeune âge car les familles les préparent au mariage, soutient le Fonds des Nations Unies pour l’enfance. L’organisme spécialisé ajoute que des filles vivant dans les régions frontalières sont emmenées dans les pays voisins pour y subir des mutilations ou être mariées à des hommes plus âgés.

Face à cette situation, l’agence onusienne dit s’efforcer d’étendre les services de protection de l’enfance et de lutte contre la violence sexiste afin de répondre aux besoins croissants de protection. Il s’agit notamment de mettre en place des programmes communautaires visant à réduire les risques de violence, d’exploitation, d’abus et de mariage d’enfants et de fournir des services pour aider les femmes et les enfants à se remettre de la violence.

L’Unicef demande aussi que les services de protection de l’enfance et de lutte contre la violence liée au sexe soient étendus de toute urgence par le biais de services permanents et d’équipes mobiles pour atteindre les plus vulnérables.

Uemoa : un taux de croissance de 6,1 % en 2021

L’économie de l’espace communautaire se remet de la pandémie de Covid-19.Le taux de croissance de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) a retrouvé son niveau d’avant le nouveau coronavirus. Selon son Rapport d’exécution de la surveillance multilatérale du premier semestre 2022 examiné par le Conseil des ministres des Etats membres, la croissance est 6,1 % en 2021 contre 1,8 % un an plus tôt.

« Le Conseil a noté que l’activité économique s’est déroulée dans un contexte de poussée inflationniste avec un taux d’inflation annuel moyen de 3,6 % contre 2,1 % en 2020, en lien notamment avec la hausse des prix des produits alimentaires consécutive à la mauvaise campagne céréalière enregistrée en 2021 », rapporte le communiqué final du Conseil des ministres de l’Uemoa reçu ce mercredi à APA.

La réunion a été tenue le 24 juin dernier au siège de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Bceao), à Dakar (Sénégal), sous la présidence de Sani Yaya, ministre de l’Economie et des Finances du Togo, son président en exercice.

Durant les travaux, le Conseil a relevé que ces perspectives restent, toutefois, fragilisées par l’incertitude sur la durée de la crise en Ukraine et son impact sur la hausse des prix de certains produits de première nécessité et sur les cours des matières premières, la persistance de la crise sécuritaire au Sahel et son extension vers les zones côtières, ainsi que la crise sanitaire.

Parmi les recommandations adoptées par les ministres de l’Economie de l’Uemoa, il y a celle relative aux orientations de politique économique aux Etats membres de l’Union pour l’année 2023. Par cette recommandation, le Conseil invite les Etats membres à continuer de renforcer les mesures visant à limiter l’impact de la hausse des prix et à préserver le pouvoir d’achat des populations, notamment celui des plus vulnérables, tout en poursuivant les efforts de maîtrise du déficit budgétaire.

Le Conseil des ministres a adopté la Décision portant définition et détermination de l’agrégat recettes fiscales et celle portant définition et détermination du contenu de la masse salariale dans les Etats membres de l’Uemoa.

Le premier texte doit permettre de déterminer une méthodologie commune de calcul de cet agrégat et le second est censé créer une approche commune précisant les composantes de l’agrégat masse salariale. Tout cela pour l’atteinte des critères de convergence dans le cadre de la surveillance multilatérale des politiques macroéconomiques de l’espace communautaire.

La réunion de Dakar a vu la participation d’Abdoulaye Diop, président de la Commission de l’Uemoa, Mamadou Diop, vice-gouverneur, chargé de l’intérim du Gouverneur de la Bceao, Serge Ekue, président de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) et de Badanam Patoki, président du Conseil Régional de l’Epargne Publique et des Marchés Financiers (CREPMF).

Côte d’Ivoire : 5% du PIB apporté par le secteur pétrolier

Les ressources tirées du secteur pétrolier sont encore loin des attentes du gouvernement.Des opérateurs formels et informels se partagent les secteurs minier et pétrolier en Côte d’Ivoire. S’agissant du pétrole, sa contribution au Produit intérieur brut (PIB) est de 5% contre 3% pour celui des mines, a indiqué, ce mercredi à Abidjan, le ministre des Mines, du Pétrole et de l’Energie, Mamadou Sangafowa Coulibaly.

Cela fait que « la contribution des secteurs minier et pétrolier à l’économie nationale est encore largement en dessous de nos ambitions », a déploré M. Coulibaly à l’ouverture d’un séminaire autour du thème : « Etat des lieux, enjeux et perspectives sur les secteurs mines, pétrole et énergie ».

Toutefois, il s’est réjoui des « remarquables progrès réalisés au cours de la dernière décennie » dans le secteur de l’électricité, mais qui « n’ont pas éclipsé toutes les vulnérabilités existantes ou potentielles ».

« Les industries extractives font l’objet d’attentes fortes aussi bien des populations que des parties prenantes », a poursuivi le ministre des Mines, du Pétrole et de l’Energie, Mamadou Sangafowa Coulibaly, souhaitant que les stratégies sectorielles adoptées dans ce cadre soient adaptées aux évolutions contextuelles observées.

Le secteur minier ivoirien mobilise de nombreux acteurs formels et depuis quelques années, un nombre de plus en plus croissant d’opérateurs illégaux.

Sénégal : l’opposition reporte sa manifestation « interdite »

Ousmane Sonko et ses camarades de la coalition d’opposition Yewwi Askan Wi (YAW, libérer le peuple) ont décidé de reporter à une date ultérieure leurs manifestations prévues ce mercredi 29 juin dans le pays.Les marches sont reportées « à une date ultérieure », affirme Aïda Mbodj, l’une des responsables de Yewwi Askan Wi (YAW, libérer le peuple), la principale coalition de l’opposition. Assise aux côtés d’Ousmane Sonko, Khalifa Sall ou encore Déthié Fall, la députée a évoqué lors d’un point de presse, ce mercredi à Dakar, la médiation de religieux, la préparation de la fête musulmane de l’Eid el Kebir, ou encore les examens scolaires de fin d’année, pour expliquer le report.

Ce mercredi, un dispositif important de la gendarmerie et de la police a été déployé sur plusieurs artères de la ville dakaroise pour faire respecter l’ordre d’interdiction de la manifestation du préfet. Dans plusieurs localités du pays où la coalition avait décidé aussi de marcher aujourd’hui, l’administration territoriale a opposé une fin de non-recevoir à leurs demandes.

Toutefois, Ousmane Sonko avait appelé ses partisans sur sa page Facebook à ne pas venir près de son domicile pour veiller. « Il n’y a rien à craindre », écrivait-il.

Yewwi Askan Wi proteste contre le rejet de sa liste nationale pour les élections législatives du 31 juillet 2022. Après avoir tenu une première manifestation autorisée le 8 juin, plusieurs leaders et militants de YAW ont été arrêtés le 17 juin. Ils s’étaient donné rendez-vous pour assister à un rassemblement « interdit » par le préfet en centre-ville dakarois.

Ce jour-là, des heurts entre manifestants et forces de l’ordre avaient fait trois morts à Dakar et en Casamance, dans le sud du pays. La quasi-totalité des personnes arrêtées ont été libérées ces derniers jours par la justice.

Pour justifier les interdictions de manifestations, les préfets de plusieurs départements ont invoqué des « menaces de troubles à l’ordre public », « des risques d’infiltrations par des individus mal intentionnés », ou encore « la violation du code électoral » qui interdit toute « propagande déguisée » avant l’ouverture officielle de la campagne, prévue dans moins de deux semaines.

Des organisations de défense des droits humains, telles que Amnesty International, ont mis en garde face à « une menace réelle pour le droit de manifester au Sénégal ». L’organisation dénonce notamment des « arrestations arbitraires » lors des derniers rassemblements.

Gabon : des sacs douteux découverts dans un site minier

Le directeur général de la Compagnie minière de l’Ogooué (Comilog) Leod Paul Batolo, a annoncé à travers une note d’information, publiée le 28 juin 2022, la découverte de plusieurs sacs donc les contenus sont douteux.

 

La découverte des sacs contenants,  selon le communiqué du directeur du Comilog « un produit blanchâtre pâteux » s’est fait lundi 27 juin 2022, au plateau Okouma, site d’extraction du minerai de manganèse. En effet, le communiqué indique que, les agents ont découverts des sacs enfouis à plus de 7m de terrain naturel. Perforés par le godet de la pelle, ces sacs « D’apparence anciens, contenaient un produit blanchâtre pâteux »

Curieux de voir les contenus de ces sacs, six agents qui ont  respiré le gaz de ce contenu, ont aussitôt  ressenti des irritations des voies respiratoires, des picotements au niveau des yeux et deux d’entre eux,  ont été pris de vomissement.  Alerté par la direction, deux parmi eux ont  été  conduit à l’hôpital.

Au moment du retrait de la zone impactée, deux autres agents ont également ressenti les mêmes symptômes puis ont été conduits au sein de la structure hospitalière. Le communiqué indique également qu’, «une  équipe a été dépêchée pour vérifier la présence de radioactivité mais les tests se sont avérés négatifs. C’est dans l’optique d’y voir clair que la Comilog a décidé de l’interdiction de toute nouvelle activité sur le site. Pour l’heure, une enquête a été ouverte afin d’identifier l’origine de ces produits contenus dans les sacs.