Gabon : Karine Arissani au soutien « caméléons » d’Ali Bongo Ondimba

Karine Cecilia Arissani, l’un de militante de la formation politique  d’Ali Bongo, qui se proclame être un soutien dévoué du président, a dans un nouveau post sur sa page Facebook canardé tous les soutiens « caméléons » du chef de l’État  gabonais qui n’hésitent pas de retourner la veste dès qu’ils perdent leurs privilèges au gouvernement.

Ci-dessous, le poste de Karine Cecilia

C’est difficile de croire dans ce GABON qu’il existe des Gabonais qui, avec ou sans poste, avec ou sans argent, soutiennent le Président de la République, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA avec le cœur et toute la sincérité possible.

Tout est basé sur les phrases telles que :

– Elle veut se faire voir

– Elle cherche un poste

– Elle cherche l’argent

– Elle n’est pas sincère etc…

Les gens veulent te ramener à leur soutien des postes, des privilèges etc.. car ils et elles pensent que tu es comme eux. C’est justement parce que tu n’es pas comme eux que tu es combattu en permanence.

De tout cœur avec ses jeunes qui contre vents et marrées soutiennent le Président jour et nuit.

Si mon soutien était basé sur les biens matériels et les postes avec tout ce que j’ai vécu comme insultes, humiliations, trahisons, être nommé dans un ministère sans bureau, sans chaise etc.. j’aurais abandonné depuis longtemps, je dis bien depuis longtemps.

Nous avons vu des soutiens du Président dès la perte de leurs postes et privilèges, lâcher le président et tourner la veste. Et dès qu’ils ont été renommés, ils sont revenus parler du Président. La période de maladie et de convalescence du Président en 2018 où certains ne croyaient même plus au retour du PATRON reste encore gravé dans ma mémoire.

Karine Cécilia ARISSANI ne mange pas de ce pain-là et ne me confondez pas à VOUS car pour moi: un engagement est un engagement. Pour vous, je suis finie et je suis tombée, vous risquez d’être surpris car nul ne connaît demain.

Pour rappel, la fondatrice du mouvement « Soldats têtus » avait déjà été sanctionnée par le Secrétariat exécutif du PDG à cause de sa liberté de ton.