BAD – Gabon : La revue conjointe de la coopération au cœur de Libreville

La revue à mi-parcours du document de stratégie pays (DSP 2016-2020) et de la performance du portefeuille (RPPP) de la Banque africaine de développement au Gabon  a débuté cette semaine pour s’achever lundi 25 mars.

La revue à mi-parcours du Document de Stratégie Pays (DSP 2016-2020) et de la performance du portefeuille de la Banque Africaine de Développement (BAD) au Gabon qui a commencé ce lundi s’achèvera le 25 mars 2019. L’atelier de lancement de cette revue s’est tenue hier mardi 19 mars 2019, au Radisson Blu, sous la présidence effective de son Excellence Jean-Marie OGANDAGA, Ministre de l’Economie, de la Prospective, et de la Programmation du Développement, Chargé de la Promotion des Investissements Publics et Privés et Gouverneur de la BAD.

Le DSP 2016-2020 de la République du Gabon, approuvé en avril 2016 par le Conseil d’administration de la Banque, a pour objectif principal de contribuer à une exploitation optimale du potentiel de développement économique et humain du climat des affaires et l’appui à la stratégie de développement humain, par une réponse ciblée eu égard à certaines des contraintes identifiées. Elle s’articule autour de deux piliers : l’appui à la diversification économique à travers le développement des infrastructures et l’amélioration du climat des affaires ; l’appui à la stratégie de développement humain.

La revue à mi-parcours du DSP quant à elle permettra de tirer les leçons de la mise en œuvre du programme pour la période restante 2019-2020. Elle permettra de relever les opportunités de financement de la Banque, tant pour son guichet souverain que non-souverain. Des concertations seront organisées avec différents départements techniques, les partenaires au développement, le secteur privé et les représentants de la société civile. Les discussions avec l’ensemble des parties prenantes permettront d’avoir une meilleure compréhension des défis et priorités de développement du pays pour les années à venir et d’initier le positionnement stratégique futur de la Banque, à la lumière des priorités nationales.

L’avocate française d’Ali Bongo n’exercera plus au Gabon

Claude Dumont-Beghi, avocate française qui représente les intérêts d’Ali Bongo Ondimba relatifs à l’héritage de son père, avait été convoquée par la Conseil de l’ordre, avant qu’un tribunal ne tranche.

Les mauvaises nouvelles se multiplient au sein de la sphère  présidentielle. Aux dernières nouvelles, Me Claude Dumont-Beghi, qui représente les intérêts du président gabonais dans le dossier relatif à l’héritage de son père, ne peut plus pour le moment exercer la profession d’avocat au Gabon.
Claude Dumont-Beghi, aurait été  suspendue à titre conservatoire du barreau du Gabon le 28 février dernier. Une décision prise contre l’avocate qui est soupçonnée d’avoir créée une entreprise commerciale en violation des règles qui régissent l’exercice de la profession d’avocat.

Convoquée à deux reprises par le Conseil de l’ordre, elle n’a pas daigné se présenter. Le bâtonnier a dès lors saisi le président du tribunal compétent qui a tranché. Elle ne devra plus exercer la profession d’avocate au sein du pays jusqu’à nouvel ordre

 

CAN 2019 : Aubameyang attendu ce mardi soir au Gabon

L’attaquant d’Arsenal doit rejoindre ce mardi soir la sélection gabonaise, qui jouera sa qualification pour la CAN 2019, vendredi face au Burundi (15 heures).

Après plusieurs jours d’attente et d’incertitude, la Gabon peut désormais se concentrer pleinement sur la préparation du match décisif face au Burundi, vendredi à Bujumbura (15 heures), en qualifications pour la CAN. Pierre-Emerick Aubameyang (29 ans), a décidé d’honorer la convocation de Daniel Cousin, le sélectionneur des Panthères. « Je n’ai reçu aucun document de son club (Arsenal), nous signalant son refus de prendre part à ce match. Il sait ce que je pense et attends de lui« , avait simplement précisé le technicien au moment de l’annonce de sa liste.

L’attaquant d’Arsenal est attendu ce mardi soir à Libreville, ou ses coéquipiers ont débuté leur préparation lundi. Le joueur, en froid avec sa Fédération, avait refusé de jouer les deux derniers matches qualificatifs pour la CAN 2019 face au Soudan du Sud (1-0) et au Mali (0-1). Aubameyang (58 sélections, 24 buts) sera l’atout offensif numéro 1 du Gabon à l’occasion de cette rencontre capitale contre les Hirondelles burundaises, qui comptent deux points d’avance au classement.

 

Il écope de la prison à vie pour avoir tenté d’empoisonner son voisin

Noël Moukambi a été condamné à vie pour avoir tenté d’empoisonner son voisin dans un bar à l’aide du foie de panthère, la Cour criminelle de Mouila (Ngounié, sud du Gabon).

La Cour criminelle de Mouila dans la province de la Ngounié a eu la main lourde contre Noël Moukambi. En rendant son verdict la semaine écoulée dans cette affaire de tentative d’empoisonnement, le juge Alain Georges Moukoko a condamné à la prison à perpétuité ce citadin de Mouila. Ce qui signifie que ce dernier, reconnu coupable d’avoir voulu donner la mort à l’aide d’un poison à son voisin Guy Moundzoumbi dans un bar de la localité, passera le reste de ses jours derrière les barreaux.

Ce jour-là dans un bar de la capitale provinciale de la Ngounié, la victime de l’empoisonneur de Mouila sirotait tranquillement sa bière quant elle devra se déplacer pour offrir un jus à une autre connaissance. C’est l’occasion idéale qu’attendait Moukambi, qui était à une table voisine de Guy Moundzoumbi, pour passer à l’acte et introduire la substance prétendument mortelle dans la boisson de sa victime.

Malheureusement pour lui,une autre personne avait assisté à la scène préméditée de Moukambi et l’avait averti de ce qui venait de se passer. En effet, Guy Moundzoumbi constata à son retour de table que sa bouteille de bière, qu’il avait pris soin de fermer, était ouverte sans son bouchon. C’est là que débuteront les ennuis judiciaires de l’empoisonneur Noël Moukambi. Il sera rapidement interpellé pour son geste et passera aux aveux.

L’accident de SETRAG : les explications du directeur général

Le directeur général de la Société d’exploitation de Transgabonais (SETRAG), Patrick CLAES donné des précisions sur le récent d’accident ferroviaire ayant occasionné plusieurs blessés graves.

Bonjour M Patrick CLAES vous êtes le Directeur général de la SETRAG. Qu’est ce qui se passe ? L’on nous dit qu’il y a eu un accident ?

Effectivement nous avons eu un accident de train samedi matin tôt dans la matinée. Sous réserve de l’enquête en cours, Les circonstances de l’accident sont les suivantes : un premier train a quitté la gare d’Owendo à 4 heures du matin à destination de celle de Ntoum, c’était un train commercial. Par la suite, un convoi composé de 3 draisines sortis des ateliers de réparation d’Owendo , a été engagé dans le même canton qui est celui entre Owendo et Ntoum.

Celui-ci doit en fait circuler sur des conditions très strictes prévues par le règlement général de sécurité, qui est l’équivalent du code de conduite de la circulation routière, qui reprend toute une série de règles qui s’imposent à tous les acteurs de la sécurité ferroviaire.

Quid de ce règlement de sécurité dans ce cas précis ? Qu’auraient pu faire les agents chargés du train ?

Le pilote de la draisine doit absolument observer une marche à vue, c’est-à-dire qu’il doit adapter sa vitesse lui permettant de voir à tout moment et s’arrêter devant un obstacle

Le code précise également qu’il ne peut pas excéder les 30km/h, ce convoi a quitté la gare d’Owendo à la suite du premier convoi et malheureusement l’attrapé et cogné. La première des Trois draisines s’est enfoncée dans le dernier wagon du train commercial aux alentours du PK16 à la hauteur de Nkok.

Que faut-il faut faire pour éviter ce genre d’incident sur la voie?

Alors, il faut savoir que contrairement aux autres engins moteurs qui circulent sur la voie ferré, les draisines sont des ceux affecter exclusivement aux travaux de voie. Elles transportent les personnels d’entretien de la voie, en les déposants à un endroit donné, pour qu’ils puissent procéder à des travaux divers sur la voie. Ce sont des engins qui ne sont pas dotés d’enregistreurs quelconques qui permettent d’enregistrer les évènements, contrairement aux locomotives.

Donc, ce sont des engins qui ne sont pas brider non plus, car ils peuvent atteindre une vitesse de 70 voir 80km/h. De telle sorte que si on engage ses engins dans un canton à la suite d’un autre train commercial, on est déjà certain qu’il ne peut pas excéder les 30km/h de vitesse quel que soit l’imitation du conducteur d’autres engins qui sont dotés d’un enregistreur de vitesse et d’évènements.

Le deuxième point qu’on va renforcer, c’est d’autoriser les draisines à prendre la voie que pour autant qu’on ne soit assuré qu’il y est des travaux de voie à effectuer dans le canton concerné justifiant automatiquement ce gain de temps , puisse qu’en fait l’objectif dans cette disposition , est de gagner du temps. De sorte que la draisine aille à un endroit X du canton sachant que le train qui le précède se trouve à un point Y. Cela permet de gagner le temps, un temps plus ou moins important, puisqu’il ne faut pas attendre que le train arrive à la gare concernée avant d’expédier la draisine.

Qu’en est-il du bilan humain ?

PC : la draisine comportait 4 personnes, le conducteur lui-même et 3 autres agents .Ceux-ci ont été pris en charge et conduit à l’hôpital militaire où ils ont reçu les premiers soins. Le conducteur a été victime d’une fracture au talon, les deux autres occupants souffrent des légères contusions.

Pour rassurer les gabonais. Que fait actuellement la Setrag pour améliorer les conditions de circulation des trains ?

Ce que nous veillons en premier, c’est bien entendu à l’état de la voie ferrée. Le premier objectif c’est d’avoir en définitif une voie qui permet de circuler en toute sécurité. C’est l’élément essentiel, car le moindre défaut peut avoir des conséquences dommageables entre autre les déraillements.

Nous renforçons la sécurité par une formation continue de notre personnel, dont les agents de sécurité en gare. Cette formation s’étend aussi aux régulateurs du centre de contrôle du trafic, et bien entendu des conducteurs de trains qui sont suivis par des méthodes et un plan arrêté de formation, de recyclage et de contrôle. Donc, l’ensemble des acteurs de la circulation ferroviaire et en particulier celui qui concerne le transport de voyageurs qui doit toujours être à un excellent niveau.

Troisièmement, pour un voyage en bonne et due forme il faut s’assurer que les locomotives soient en état et qu’elles ne tombent pas en détresse dans un canton en plein milieu de la voie. Le dernier point c’est que la signalisation proprement dite soit bien attendue opérationnelle dans l’ensemble de nos gares. Pour cela, nous mettrons en œuvre dans les mois avenir de nouvelles technologies qui vont nous permettre de renforcer la sécurité. Cette mise en exploitation au mois d’Avril permettra au conducteur de s’assurer que son train est toujours en définitif composé du même nombre de wagon et qu’il n’a pas perdu un wagon, en cours de route. C’est un élément important, nos trains voyageurs sont déjà dotés de ces dispositifs.

Nos trains voyageurs vont être dotés dans les mois avenirs donc le 1er juillet, des ordinateurs de bord qui permettront de recevoir toutes les informations du centre de régulation du trafic

Et donc ça va permettre d’améliorer les conditions de croisement dans les gars

Et enfin dernier investissement qui est en cours déploiement mais qui ne sera opérationnel que pour juin 2020, c’est la mise en service d’un réseau VHF qu’on appelle réseau des trains sur les 660km de la ligne, qui permettront aux conducteurs d’être à tout moment où qu’il se trouve sur la ligne depuis le centre de régulation du trafic.

Gabon : 57 partis politiques veulent redynamiser le CND

Joachim Mbatchi Pambou a interpelé ce mercredi 13 mars, dans une conférence de presse, ces partis politiques sur la nécessité d’organiser une grande messe politique au sein du CND.

Le Président du comité d’organisation, de la revitalisation et de la redynamisation du Conseil national de la démocratie (CND), Joachim Mbatchi Pambou, par ailleurs président du Forum pour la défense de la république (FDR, opposition) a interpelé ce mercredi 13 mars, dans une conférence de presse, 57 partis politiques (majorité/opposition) légalement constitués, membres de l’institution, préalablement consultés, sur la nécessité d’organiser une grande messe politique au sein du CND, unique espace d’expression politique du pays que l’opinion considère comme inutile.

« Nous interpellons la classe politique à se retrouver au sein de son espace d’expression démocratique : le CND, pour évoquer et trouver des solutions aux problèmes de notre pays », proposé Mbatchi Pambou, dans une conférence de presse.

Joachim Mbatchi Pambou a également appelé les religieux et les leaders de la société gabonaise à s’exprimer dans ce cadre dont les textes réglementaires sont en voie de finalisation.

« L’agression acerbe du débat politique du moment nous a confortés dans cette analyse ; nous avons compris et cherché à trouver des solutions pour que le CND permette l’expression du débat politique et se l’approprie au lieu de laisse se développer dans la rue », a-t-il soutenu.

Libreville : la SEEG perd 10% de sa capacité de production

La Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), l’a annoncé ce mercredi 13 mars, dans un communiqué des fortes perturbations sur son réseau de fourniture en électricité.

« La SEEG informe son aimable clientèle des perturbations qui pèsent actuellement sur la desserte en électricité de Libreville et ses environs. Ces perturbations font suite à l’indisponibilité de certains moyens de production. Cette situation a pour conséquence la perte de 10% de notre capacité actuelle de production », a annoncé le communiqué.

Aussi, l’unique entreprise ayant le monopole de la production et de la distribution d’eau potable et de l’électricité au Gabon, a décliné son « programme de délestages rotatifs mis en place entre 19 heures et 23 heures ».

Le 1er mars courant, l’Agence de régulation du Secteur de l’Eau potable et de l’Energie électrique (ARSEE) a prévenu dans un rapport mensuel de ses activités, que la fréquence des délestages à Libreville et ses environs pourraient augmenter courant ce mois de mars à cause d’une insuffisance de mégawatts.

Soumis actuellement à de nombreuses perturbations, le réseau électrique de Libreville rencontre des difficultés à satisfaire la puissance maximale demandée par la clientèle, laquelle est plus ou moins égale à 251 mégawatts.

Selon l’organe régulateur de l’eau et de l’électricité en République Gabonaise, l’indisponibilité depuis trois mois de trois turbines à gaz à la centrale thermique SEEG d’Owendo, d’une part et d’autre part, d’un groupe à la centrale d’Alenakiri gérée par la Société de Patrimoine, contraint la SEEG à utiliser au maximum de leur puissance exploitable les groupes du parc hydro électrique de Tchimbelé et de Kinguelé.

Eliminatoires Can U23 : Les signes d’un futur échec des panthères

Sans plan de préparation, privée des joueurs en raison du refus des clubs de les libérer, confrontée aux difficultés financières, l’équipe des Panthères du Gabon aura du mal à se qualifier pour la coupe d’Afrique des nations de moins de 23 ans prévue en Égypte, en novembre 2019.

A JJ-10  avant de leur confrontation face au Ghana, comptant pour le deuxième tour des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations de moins de 23 ans prévue en Égypte, le Gabon fait face à plusieurs difficultés.

L’équipe dirigée par Claude-Albert Mbouronho est désorganisée et manque presque de tout. Selon le sélectionneur, «quelques jours avant le déplacement de l’équipe pour une rencontre amicale au Congo, les clubs ont refusé de mettre à disposition de la sélection nationale les joueurs sélectionnés». De plus, l’équipe «n’a effectué aucune préparation en bonne et due forme». Plus grave, certains joueurs sélectionnés ne disposaient pas de passeports. Du coup, l’équipe a été constituée dans la précipitation avec des joueurs inexpérimentés. Conséquence, le Gabon a été battu 3-0 au Congo le 9 mars.

Au-delà de ces difficultés, l’équipe des Panthères est confrontée à d’autres maux. À ce jour, le Gabon n’a aucun plan concret de préparation. La Fédération gabonaise de football (Fegafoot) n’a à ce jour décaissé aucun sou pour la préparation de l’équipe, en dépit des appels incessants du sélectionneur. De plus, les clubs refusent de mettre les joueurs à disposition de la sélection. Tous ces signent n’augurent rien de bon pour le Gabon dans cette compétition prévue du 8 au 22 novembre en Égypte.

Exempté du premier tour des éliminatoires disputé du 12 au 20 novembre dernier, le Gabon sera opposé au Ghana le 23 mars pour le match aller à Accra. En cas de victoire, les poulains de Claude-Albert Mbouronho disputeront le dernier tour qualificatif du 3 au 11 juin prochain. Sous la direction de Claude-Albert Mbouronho, le Gabon avait remporté le trophée le 10 décembre 2011 au Maroc.

Le Parti démocratique gabonais (PDG) célèbre ses 51 ans

Ali Bongo sera le grand absent des festivités commémorant les 51 ans du Parti démocratique gabonais (PDG) ce 12 mars.

Le PDG est en fête. Et pour cause, le parti présidentiel qui n’a jamais perdu la moindre élection organisée dans le pays depuis sa création en 1968, célèbre ses 51 bougies. Pour la première fois depuis plusieurs années, la fête d’anniversaire sera organisée malheureusement en l’absence d’Ali Bongo, son président. Absent du territoire gabonais depuis près de 6 mois avec des retours furtifs de quelques heures.
Pour célébrer les 51 ans du PDG, des festivités seront organisées tout au long de la semaine. Signe des temps, celles-ci ont été voulues plus sobres que par le passé. « A l’heure où l’on demande aux Gabonais de faire des efforts pour redresser le pays, il nous faut nous aussi montrer l’exemple », justifie un cadre du parti.

Ce mardi , le programme des festivités prévoit des messes dans les neuf provinces afin notamment de rendre hommage aux militants disparus.

 

Ike Ngouoni Aila Oyouomi : « Il n y a pas de sosie, le Président de la République Ali Bongo est bien là »

Le porte parole de la présidence  de la République, Ike Ngouoni Aila Oyouomi, était face à la presse ce jeudi. Plusieurs sujets à l’ordre du jour parmi lesquels les rumeurs d’une existence d’un clone d’Ali Bongo.

« Il n y a pas de sosie, le Président de la République Ali Bongo est bien là », a déclaré M. Ngouoni Aila Oyouomi, lors de la conférence de presse ce 07 mars 2019. Pour le porte-parole qui a convoqué les journaliste ce jour, il n y a pas de raisons de constater la vacance du pouvoir au Gabon. S’adressant à certains activistes activistes et opposants, M. Ngouoni Aila Oyouomi leur a demandé d’accepter la dure réalité selon laquelle le chef de l’Etat est bien en santé et reste aux commandes du pays depuis le Maroc où il est en convalescence.

Le porte- Parole ne s’est pas arrêté là. Il a également évoqué la situation des ministres qui fait débat en ce moment. Relevant ainsi qu’aucun ministre ne dispose d’un titre foncier dans le gouvernement.« Pour être nommé à un poste ou pour le garder, que vous soyez ministre, conseiller, directeur général, etc., votre seule protection, c’est le travail et les résultats que vous obtenez grâce à votre engagement au service des Gabonais, le reste ne compte pas ; c’est à cette aune qu’il vous faut notamment lire les départs et les nominations intervenus lors du conseil des ministres » a indiqué M. Ngouoni Aila Oyouomi.