Côte d’Ivoire: l’OMS équipe 85 districts sanitaires d’un dispositif multimédia de formation à distance

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a apporté un nouvel appui important au système sanitaire de la Côte d’Ivoire en offrant un dispositif multimédia de formation à distance à l’Institut national de santé publique ( INSP) et à 85 districts sanitaires du pays, a appris APA samedi auprès de cette institution.Ce don est composé d’ordinateurs portables et de bureau (desktop), des coffrets, des onduleurs, des stabilisateurs, des Fly box internet, des caméras avec trépied et microphones, des tables de mixage, des postes téléviseurs, des barres de son, des serveurs internet… rapporte une note d’information. 

Avec ce dispositif national, la Côte d’Ivoire devient ainsi le premier pays de la sous-région à disposer d’un réseau national de téléformation multimédia, couvrant tous les districts et les régions du pays. « Ce matériel permettra de doter l’INSP d’une nouvelle plateforme multimédia, et de permettre aux districts de santé même les plus reculés, de se connecter en mode audiovisuel interactif pour suivre des cours en ligne et échanger directement avec l’équipe des imminents professeurs basés à Abidjan », a dit le Représentant de l’OMS en Côte d’Ivoire, Dr Jean-Marie Vianny Yaméogo lors de la cérémonie de remise de ce don. 

Selon M. Yaméogo, ce dispositif de formation à distance qui contribue au renforcement du système de santé, permettra d’assurer une mise à jour continue des connaissances et des pratiques des agents de santé de tout le pays, sur les autres priorités de santé publique. 

A en croire la note,  Cette plateforme dédiée à la formation à distance, réunit plusieurs avantages qui sont entre autres,  le gain de temps, la réduction des déplacements des agents de santé en dehors de leurs lieux d’affectation et  la réduction des coûts des formations des agents de santé. 

Pour sa part, Dr Eugène Aka Aouélé, le ministre ivoirien de la santé et de l’hygiène publique a relevé l’importance de ce dispositif de formation à distance surtout dans le contexte de gestion de la maladie à Coronavirus. Les plateformes de formation en ligne, a-t-il précisé, ont permis de former plus de 8000 agents de santé.

L’Egypte annonce une initiative pour mettre fin à la crise libyenne

Par Mohamed Fayed – Le président égyptien Abdel-Fattah El-Sisi a rencontré samedi au Caire une délégation libyenne composée du président du Parlement libyen, Aqila Saleh et du Maréchal Khalifa Haftar.Lors de cette rencontre, tenue en présence du ministre égyptien de la Défense, le général Mohamed Zaki, du président du parlement, Ali Abdel-Aal et du ministre des affaires étrangères,  Sameh Shoukry, le chef de l’Etat égyptien a présenté une initiative politique visant à mettre fin aux hostilités en Libye, mettant en garde contre le maintien de l’option militaire pour résoudre la crise libyenne.

Il a annoncé que cette initiative, basée sur le respect de toutes les initiatives et décisions internationales concernant l’unité de la Libye, invite toutes les parties libyennes à un cessez-le-feu à partir de lundi prochain, toute en s’engageant à une déclaration constitutionnelle libyenne qui ouvre la voie à une relance du processus politique pour résoudre la crise libyenne.

L’initiative appelle au respect de  toutes les initiatives internationales de cessez-le-feu, à l’expulsion des mercenaires étrangers du territoire libyen, à la remise des armes par toutes les milices  et au parachèvement des travaux du Comité militaire 5+5 à Genève, sous les auspices des Nations Unies.

Il s’agit également de lancer des initiatives pour résoudre la crise qui prennent en considération tous les aspects politiques, sécuritaires et économiques, d’assurer une représentation équitable des trois régions de la Libye sous la supervision des Nations Unies, pour la première fois dans l’histoire du pays, et d’unifier les institutions libyennes afin qu’elles puissent jouer pleinement leur rôle outre la répartition équitable des ressources libyennes sur tous les citoyens.

Aussi, l’initiative propose l’adoption d’une déclaration constitutionnelle régissant les exigences politiques et électorales de la prochaine étape.

Pour rappel, les forces pro-gouvernementales ont annoncé, vendredi, avoir pris le contrôle de l’ensemble de l’ouest de la Libye, infligeant une cinglante défaite aux troupes rivales du maréchal Khalifa Haftar.

« Nos forces héroïques ont étendu leur contrôle sur toute la ville de Tarhouna, après avoir anéanti les milices terroristes de Haftar », à 80 km au sud de la capitale Tripoli, a annoncé Mohamad Gnounou, porte-parole des forces du Gouvernement d’union nationale (GNA), reconnu par l’ONU.

La perte de Tarhouna marque un tournant dans le conflit opposant les deux camps depuis le lancement, par le maréchal Haftar en avril 2019, d’une offensive pour s’emparer de Tripoli.

Le conflit a connu ces derniers mois une implication croissante de puissances étrangères. Le soutien militaire accru de l’allié turc a notamment permis au GNA d’enregistrer une série de succès. Homme fort de l’Est libyen, Khalifa Haftar a quant à lui été appuyé par l’Égypte, les Émirats arabes unis et la Russie.

Depuis mercredi, le GNA a annoncé successivement la prise de l’aéroport international de Tripoli, hors service depuis 2014, le contrôle total des frontières administratives du Grand Tripoli, et la prise de Tarhouna.

Sans confirmer directement les deux premiers revers, Ahmad al-Mesmari, porte-parole du maréchal Haftar, a fait état, jeudi, d’un « redéploiement » des troupes hors de Tripoli.

Il a invoqué « une initiative humanitaire destinée à arrêter l’effusion du sang du peuple libyen », et assuré que la décision de ce redéploiement avait été prise après « l’acceptation du commandement militaire de participer au comité militaire sous l’égide de l’ONU ».

Sommet alimentaire de l’ONU : Le Maroc va représenter l’Afrique

Le Maroc en la personne de l’ambassadeur, représentant permanent à l’ONU, Omar Hilale, ainsi que le représentant permanent du Liberia, ont été désignés vendredi par le groupe africain pour représenter le continent au Comité consultatif de haut niveau du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires, qui sera organisé l’an prochain par le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres.Cette instance sera chargée de générer l’élan politique et opérationnel, en appui au processus préparatif piloté par l’Envoyée spéciale du Secrétaire général pour le sommet, la rwandaise Agnes Kalibata.

Présidé par Mme Amina Mohammed, vice-Secrétaire générale de l’ONU, le comité sera constitué de deux représentants de chaque région, à savoir le Maroc et le Liberia pour l’Afrique; la France et l’Italie pour l’Europe de l’Ouest, la Chine et les Émirats Arabes Unies pour l’Asie Pacifique; la Hongrie et la Russie pour l’Europe de l’est, ainsi que l’Argentine et Antigua et Barbuda pour l’Amérique latine et les Caraïbes.

Le Sommet de l’ONU des systèmes alimentaires devra créer un cadre politique et des outils pratiques pour concevoir les stratégies de transformation des systèmes alimentaires et développer de nouveaux modèles de gouvernance alimentaires dans le monde à l’horizon de 2030.

Mali : des manifestants exigent la démission d’IBK

Vent debout contre la gestion de leur pays, des centaines de Maliens se sont rassemblés ce vendredi à la Place de l’Indépendance de Bamako pour le départ du président Ibrahim Boubacar Keïta.Ce lieu symbolique de la capitale malienne était noir de monde. Invités par la Coordination des mouvements, associations et sympathisants de l’imam Mahamoud Dicko (Cmas), Espoir Mali Koura (EMK) et le Front pour la Sauvegarde de la Démocratie (FSD), ces citoyens réclament un nouveau Mali. 

Au terme du rassemblement, ces trois organisations ont signé une déclaration finaledans laquelle elles listent les maux du pays, non sans mettre les pouvoirs publics devant leurs responsabilités.

« Le Mali, jadis envié, écouté et respecté aussi bien en Afrique qu’à travers le monde entier, est en passe de devenir la risée des autres nations, tant il est aujourd’hui balloté et humilié, à cause d’une gouvernance chaotique », se désole d’emblée le Rassemblement des Forces Patriotiques du Mali. 

Selon cet organisme, « la gestion actuelle du régime en place, symbole de la décrépitude d’un système étatique décrié, a fini de précipiter (le Mali) dans l’impasse. Pire, au bord du gouffre ».

A en croire ces pourfendeurs d’IBK, « le peuple malien découvre chaque jour, de façon ahurissante, les scandales d’une gestion hasardeuse, dénuée de vision et de cohérence vis-à-vis des intérêts vitaux et stratégiques du Mali, et ce, dans le déni des valeursfondamentales de notre société ».

Avant de battre le pavé, le FSD, la Cmas et EMK ont tenu, le mardi 26 mai dernier, une rencontre pour réfléchir sur la situation du Mali. Il en ressort entre autres qu’il y a « une gestion catastrophique de la crise multidimensionnelle au Mali ; des atteintes à la souveraineté, à l’intégrité du territoire national ; l’insécurité généralisée avec son cortège de morts, de villages détruits et de populations déplacées ; la malgouvemance, la corruption et la gabegie financière au détriment du monde paysan et du secteur privé ».

En outre, le Rassemblement des Forces Patriotiques du Mali déplore « l’abandon des forces armées et de sécurité ; la détérioration sans précédent des services sociaux de base comme l’éducation, la santé, l’électricité, l’eau,les infrastructures routières ; la paupérisation croissante des populations laborieuses ; des atteintes récurrentes aux valeurs et principes de la République et l’impasse d’une voie électorale désormais hypothéquée ».

De l’avis des trois organisations, le régime d’IBK a aussi porté atteinte aux principes constitutionnels, républicains et démocratiques car il « s’est illustré par la tenue d’élections injustes, opaques et inéquitables enlevant ainsi toute crédibilité au processus électoral ».

« Face à l’urgente nécessité de sauver (leur) Nation d’un péril certain », elles ont lancé un appel à tous les Maliens de l’intérieur et de la Diaspora pour « un sursaut national ».

Pour ce faire, le Rassemblement des Forces Patriotiques du Mali a listé, dans sa déclaration finale, dix mesures essentielles au redressement du pays. 

Il s’agit entre autres de la priorisation de l’éducation et de la santé ; de la garantie de l’accès aux services sociaux de base et aux infrastructures ; de la reconstruction des forces armées et de sécurité, mieux recrutées, mieux formées et mieux équipées, dignes d’un Etat protecteur de ses citoyens et de sesinstitutions.

C’est également la préservation de l’intégrité territoriale du Mali, son unité, sa laïcité et le plein exercice de sa souveraineté sur toute l’étendue du territoire national ; une gouvernance vertueuse garantissant la paix, la sécurité, la justice et la réconciliation nationale, ainsi que la restauration de la confiance entre l’Etat et les citoyens et la mise en oeuvre de toutes les actions nécessaires pour la libération de Soumaila Cissé, chef defile de l’opposition républicaine, et de toutes les personnes enlevées et injustement privées de leur liberté.

Maroc : Baisse de 12,6% du trafic aérien à fin mars

Les aéroports du Maroc ont enregistré, à fin mars, un volume de trafic aérien commercial de 4.910.594 passagers, soit une baisse de 12,6% par rapport à la même période de l’année précédente, selon les données trimestrielles de l’Office national des aéroports (ONDA).Au premier trimestre 2020, le trafic aérien a enregistré une baisse de 12,6% par rapport à l’année dernière suite à la suspension des vols internationaux le 15 mars 2020, indique un communiqué de l’ONDA.

En effet, le trafic aérien des deux premiers mois de l’année était en croissance de 11,6%, relève la même source, ajoutant que ce dernier a enregistré une chute de 54,6% courant le mois de mars.

La crise sanitaire sans précédent vient impacter l’activité de l’ONDA, ses revenus aéroportuaires ainsi que ceux générés par les activités extra-aéronautiques dans les différents aéroports, vu que ces activités sont directement liées au trafic international, note le communiqué.

Ainsi, le chiffre d’affaires au 31 mars 2020 a atteint 916 millions de DH (1 dollar = 9,8 DH), contre 1.012 millions de DH au premier trimestre 2019. Cette baisse est marquée principalement par une forte régression des redevances de survol de 15% et des redevances aéroportuaires de 8%, indique l’ONDA.

L’ANC rallie le mouvement «Black Friday » en l’honneur de George Floyd

Le Congrès national africain (ANC) au pouvoir en Afrique du Sud a déclaré le 5 juin ‘Vendredi noir’ pour marquer le meurtre par la police de l’Afro-américain George Floyd dans les rues de Minneapolis, dans l’Etat américain du Minnesota, a annoncé vendredi le parti.La mort brutale de Floyd, à la vue du public et filmée, a vu un policier presser son genou contre le cou de la victime non armée jusqu’à sa mort.

Le meurtre de sang-froid a déclenché des protestations dans le monde entier au cours des dix derniers jours.

« A partir du vendredi 5 juin, ce mouvement, à travers un événement qui sera marqué par une déclaration du président de l’ANC, Cyril Ramaphosa, lancera une campagne de solidarité avec le peuple des Etats-Unis », a déclaré vendredi le secrétaire général adjoint de l’ANC, Jessie Duarte.

S’adressant aux médias via une liaison vidéo, Duarte a déclaré que la solidarité » va lancer notre propre vendredi noir où, désormais, nous sommes appelés à porter le deuil de Floyd en portant du noir chaque vendredi, pendant les trois prochaines semaines ».

L’annonce par le parti du Black Friday intervient un jour après que le chef des droits civiques, le révérend Al Sharpton, a dirigé jeudi un éloge funèbre lors du premier service commémoratif tenu à Minneapolis pour se souvenir et pour honorer la vie de Floyd.

Le mémorial a eu lieu quelques heures seulement après que trois anciens policiers impliqués dans le meurtre de Floyd ont comparu pour la première fois devant la justice, après leur arrestation survenue la veille.

Les trois anciens policiers, accusés d’avoir aidé et encouragé le meurtre de Floyd, se sont joints à leur ancien collègue, Derek Chauvin pour répondre des accusations de meurtre dans l’étouffement à mort de Floyd le 25 mai à Minneapolis.

La déclaration de l’ANC de se solidariser en lançant ce ‘Black Friday’ fait suite à des manifestations largement pacifiques qui se déroulent en Amérique et dans d’autres pays.

Les manifestants demandent un changement du système judiciaire raciste du pays, qui, depuis des siècles brime les Américains de race noire.

L’ordinateur portable du reggaeman Fadal Dey contenant ses prochains albums dérobé à Abidjan

Un pickpocket a dérobé jeudi à Abidjan l’ordinateur portable et plusieurs clés USB du célèbre reggaeman ivoirien Koné Ibrahima Kalilou dit Fadal Dey en forçant la portière de son véhicule alors que l’artiste se trouvait au sein de l’Institut national supérieur des arts et de l’action culturelle ( INSAAC) pour une réunion du conseil de gestion et de restructuration du Bureau ivoirien du droit d’auteur (BURIDA), a appris APA vendredi auprès du chanteur.Selon Fadel Dey qui rapporte lui-même  son infortune sur sa page officielle facebook, cet ordinateur continent plus de cinq de ses prochains  albums de 14 titres chacun. 

« Je demande à toute personne, aux vendeurs et revendeurs d’ordinateurs à Abidjan et partout ailleurs en Côte d’Ivoire de me contacter contre une récompense au cas où quelqu’un viendrait à vous proposer d’acheter un ordinateur de marque MC Intosh avec les photos de Fadal Dey qui défilent à l’écran», a supplié le reggaeman estimant que dans cet ordinateur « se trouve toute ma vie et des années de réflexion ».

AfSud : le confinement prolongé jusqu’au 15 juillet

L’Afrique du Sud a prolongé jusqu’au 15 juillet la durée de l’état national de catastrophe pour la pandémie de coronavirus, a déclaré jeudi le ministre de la Présidence, Jackson Mthembu.Le ministre s’exprimait jeudi, au sortir d’une réunion du Cabinet, qui faisait le bilan des morts dans le pays, dont le chiffre a atteint 792 décès, sur 37.525 cas confirmés de virus positifs.

« Le Cabinet a approuvé la prorogation de l’état national des catastrophes d’un autre mois du 15 juin au 15 juillet 2020 », a déclaré Mthembu.

Le président Cyril Ramaphosa avait officiellement déclaré l’état de catastrophe nationale en mars dans le cadre des efforts du pays pour contenir le coronavirus mortel originaire de la ville chinoise de Wuhan en décembre dernier.

Cette semaine, cependant, les mesures de confinement mises en place par le gouvernement en mars ont été rejetées par le tribunal pour violation des droits humains des citoyens, après qu’un citoyen local s’est plaint que les restrictions étaient inconstitutionnelles.

A cet égard, le gouvernement a eu deux semaines pour proposer des mesures alternatives qui respectent les lois du pays, telles qu’elles sont énoncées dans la Déclaration des droits dans la constitution du pays.

Le gouvernement fera appel de la décision de justice à son encontre dans les meilleurs délais, a déclaré le ministre.

La Cedeao condamne le meurtre de George Floyd par la police américaine

La Commission de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao ) a condamné « la mort choquante » d’un Afro-américain non armé, George Floyd, suite au traitement brutal infligé par la police de l’Etat du Minnesota aux Etats-Unis d’Amérique.Dans un communiqué, la Cedeao « présente à la famille et aux proches de M. Floyd ses plus sincères condoléances ».

« A cet égard, la Commission de la Cedeao soutient également la désapprobation de cette évolution exprimée par le Président de la Commission de l’Union africaine, invoquant la Résolution historique contre la discrimination raciale aux Etats-Unis adoptée par les chefs d’Etat et de gouvernement de l’Organisation de l’Unité africaine (OUA) dès 1964. La Commission de la Cedeao estime que la tradition démocratique des Etats-Unis d’Amérique inspirera les efforts pour trouver une solution permanente à ce malheureux phénomène », poursuit le communiqué.

Le départ de l’international gabonais Pierre Emerick Aubameyang d’Arsenal se profile à l’horizon

L’international gabonais Pierre Emerick Aubameyang est sur le point de quitter Arsenal (D1 anglaise), qu’il a rejoint en 2018. Selon le journal sportif Sky Sports, Aubameyang a refusé de prolonger son contrat avec le club londonien qui lui a pourtant proposé une nouvelle offre il y a quelques jours.

Après deux années passées en Angleterre, Pierre-Emerick Aubameyang est sur le point de quitter les Gunners. Selon Sky Sports, l’international gabonais a refusé de prolonger le contrat avec le club londonien qui lui a pourtant proposé une nouvelle offre de prolongation de contrat il y a quelques jours.

Si le départ n’est pas encore officialisé ni la nouvelle destination connue, le capitaine des Panthères du Gabon est sur le viseur de plusieurs grosses écuries européennes.

Arrivé en 2018 à Arsenal, l’international gabonais âgé de 30 ans est devenu l’un des meilleurs attaquants des Gunners. En 97 matchs livrés avec Arsenal, Pierre-Emerick Aubameyang a inscrit 61 buts toutes compétitions confondues.