Succession dynastique au CLR , Jean Boniface Assélé met en garde les militants rebelles

Très en colère,  contre les propos de certains militants de sa formation politique, qui  sont mécontent de la nomination du Dr Nicole Assélé à la tête du parti,  Boniface Assélé président fondateur du centre des libéraux (CLR), a dans une déclaration de mise au point faite à Libreville, mis en garde certains cadres militants rebelles qui s’opposent à ses décisions en tant que Président Fondateur du parti qu’il a créé il y a 25 ans.

 

« En ma qualité de Président Fondateur, pour le déplorer et le condamner, la propension pour  certains d’entre vous à remettre en cause toutes les décidons que je prends au motif fallacieux de  violation des dispositions statutaires », a fustigé M. Assélé.

Certains militants reprochent sous cap, au Président fondateur du CLR d’avoir nommé sa fille ainée, Dr Nicole Assélé  à la tête du parti, durant le congrès extraordinaire de septembre 2019. Ils dénoncent une succession dynastique dans le « parti familial ».

Ces jeunes loups qui voient certainement leurs ambitions plombées, s’illustrent dorénavant dans une cabale contre Jean Boniface Assélé via  la publication  d’articles puants et des « tracts méprisants ».

Boniface Assélé pourrait suspension sa fille Nicole Assélé aux fonctions de Délégué général du parti

Jean Boniface Assélé, Président fondateur du Centre des libéraux réformateurs (CLR), très remonté contre sa fille Dr Nicole Assélé, pourrait annoncer dans les prochains jours sa suspension aux fonctions de Délégué général du parti.

 

Le Président du Conseil politique de ce parti de la Majorité présidentielle, Jean Boniface Assélé, apprécierait mal  la nouvelle gestion du parti imprimée par sa fille depuis son arrivée à la tête dudit formation politique  en  septembre 2019.

La liberté de ton du Dr Nicole Assélé, ne cadre pas avec les codes de la formation politique, très pouvoir incarné par son neveu Ali Bongo Ondimba. Pour avoir dénoncer sur sa page Facebook,  les mesures prise par le gouvernement sur la pandémie de Covid-19. « Pourquoi exiger au citoyen lambda de débourser 20 à 50 mille Fcfa pour un test PCR, quand on sait que le vaccin est loin d’être une garantie absolue contre le Covid-19 », Nicole Assélé  Délégué général du  CLR, aurait  attiré une fois de plus les foudres de son père proche d’Ali Bongo.

Jean Boniface Assélé a, pour mettre fin à ce qu’il qualifie comme une mascarade, a convoqué, une réunion politique du Directoire du Parti ce samedi 20 novembre. A l’issue  de cette réunion une déclaration sera faite sur la position de sa fille à la direction du parti.

 

Lutte contre Covid-19 : Dr Nicole Assélé s’oppose à la commercialisation de test PCR au Gabon

« Pourquoi exiger au citoyen lambda (…), de débourser 20 ou 50.000 FCFA pour un test PCR, quand on sait que le vaccin est loin d’être une garantie absolue contre le covid-19 ? »  S’est interrogé Dr Nicole Assélé.

Dr Nicole  Assélé, délégué général du Centre des libéraux réformateurs (CLR), membre de la majorité présidentielle, ne partage pas l’avis du gouvernement au sujet de commercialisation du vaccin PCR.

Ce cadre du CLR, dénonce une discrimination doublée d’une surenchère sur les récentes mesures prises par le gouvernement  Rose Raponda pour lutter contre le Coronavirus.

Ci-dessous l’intégralité de sa réaction sur les mesures prise par le gouvernement, en demandant aux gabonais de débourser 20 à 50 000 Fcfa pour le test PCR.

 

 

J’observe que les récentes décisions du gouvernement visant à freiner la poussée des contaminations au covid-19, pour salutaires qu’elles soient, revêtent tout de même des aspects clivants pour la société gabonaise.

A s’y méprendre, ces mesures créent en effet une sorte de fracture dangereuse entre les citoyens vaccinés et ceux non vaccinés, donnant l’impression que cette dernière catégorie serait constituée de personnes honnies et bannies de la République.

Il m’est particulièrement difficile de comprendre qu’à certains, parce que vaccinés, soient offertes quasiment toutes les libertés, et aux autres, parce que non-vaccinés, ne soit réservé qu’un traitement subtilement coercitif et stigmatisant, les vouant à demeurer cloîtrés.

Médecin de formation et porteuse du leadership du CLR, Parti politique éminemment membre de la Majorité républicaine et sociale pour l’émergence, je précise ici que je ne suis évidemment pas contre la vaccination. Loin s’en faut.

Il s’agit simplement de m’interroger, par exemple en me demandant si le test PCR ne suffit pas pour montrer patte blanche lors des contrôles liés à cette pandémie.

Le gouvernement a l’obligation de protéger les populations. C’est un devoir impérieux et non négociable. Mais le droit de disposer de son corps n’est-il pas aussi absolu et inaliénable ?

M’inspirant de la devise du CLR, à savoir « Vie-Liberté-Bonheur », je me pose également la question suivante: pourquoi exiger au citoyen lambda, déjà économiquement asphyxié depuis deux ans, de débourser 20 ou 50.000 FCFA pour un test PCR, quand on sait que le vaccin est loin d’être une garantie absolue contre le covid-19?

Je reste donc dubitative sur l’efficacité et l’impact de ces mesures. D’autant plus qu’elles semblent même n’être calibrées que pour l’agglomération du Grand Libreville.

À Mbigou, Ekata, Akieni, Omboue…etc, où faire son test PCR pour avoir accès aux administrations publiques?

Toutefois et pour l’essentiel, le Chef de l’Etat, Son Excellence Ali Bongo Ondimba, dans sa dernière adresse à la nation, bien que n’ayant pas manqué de rappeler que la vaccination n’est pas obligatoire, nous a tous exhorté à franchir le pas.

Comme lui, je recommande vivement à tous les militants du CLR, ainsi qu’à tous nos compatriotes, de se faire vacciner ».

 

 

60ème anniversaire de de l’indépendance: le CLR exalte l’action politique d’Ali Bongo

Dr Nicole Assélé délégué général du Centre des libéraux réformateurs (CLR, majorité), a dans le cadre de la célébration du 60ème anniversaire de  de l’indépendance ce 17 août magnifié l’action politique portée par le Président Ali Bongo Ondimba, durant ses 11 ans de magistère à la tête du Gabon.

« Président de la République gabonaise depuis octobre 2009, Ali Bongo Ondimba a incontestablement su apporter sa grande contribution à l’accélération du développement du pays.

Routes, hôpitaux de dernière génération, projets d’envergure en matière de diversification de notre économie, amplification de l’action publique en matière d’Assurance-maladie universelle, appui renforcé aux couches sociales les plus fragiles, promotion plus accrue de la Femme et de la jeunesse, sont, avec beaucoup d’autres qu’il serait trop long d’énumérer ici, et souvent malgré un contexte financier difficile, les principaux actes posés par le Chef de l’État en près de 11 ans de magistère.

Toutefois, de toutes les grandes réalisations nationales déjà effectuées depuis une soixantaine d’années, consolidée au fil des ans par le Dialogue. l’Union, le Travail et la Justice, la Paix reste une constante à laquelle nous sommes tous viscéralement attachés.

C’est pourquoi, fondé selon une vision éclairée et même avant-gardiste par Jean-Boniface ASSELE il y a plus d’un quart de siècle, le Centre des Libéraux Réformateurs est et demeurera toujours un parti profondément au service de ce patrimoine commun que sont la Paix et la cohésion nationale, en prônant particulièrement le développement multidimensionnel de l’être humain, précisément du Gabonais et de la Gabonaise.

Ce qui, à nos yeux, constitue une condition sine qua non pour l’atteinte du progrès collectif qui est, pour chaque État, le but ultime de sa pleine et entière autodétermination, dans l’intérêt de tous sans exclusive.

Bonne fête à nous tous et que Dieu bénisse le Gabon ! ».

Source : Com CLR

 

Gabon : le CLR très consterné par la mort d’Emmanuel Issozé Ngondet

Le Délégué général du Centre des libéraux réformateurs (CLR, majorité), Dr Nicole Assélé,  a dans un post sur sa page  Facebook, rendu un vibrant hommage à l’ancien premier ministre Emmanuel Issozé Ngondet, décédé dans la nuit de mercredi à jeudi des suites d’une crise d’asthme.

« Face à cette nouvelle nécrologique bouleversante, nous, Fondateur et Président du Conseil politique, membres du Conseil politique et du Directoire, ainsi que tous les militants et sympathisants du #CLR, adressons par ma plume nos sincères condoléances à la famille de l’illustre disparu, à l’Assemblée nationale et au Parti Démocratique Gabonais », a écrit le Dr Assélé.

Emmanuel Issozé Ngondet était député pour le compte du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir). Durant la vive crise politique entre le PDG et le CLR,  il était l’une des rares personnalités  du parti présidentiel qui avait assisté au 25ème anniversaire du CLR organisé le 14 septembre 2019 à Libreville. Un anniversaire couplé d’un congrès extraordinaire ayant consacré l’élection de Dr Nicole Assélé à la tête de cette formation politique de la mouvance présidentielle.

Source: gabonactu