Coupe Cosafa : le Sénégal file en demies

Les Lions ont arraché leur ticket pour le dernier carré de cette compétition de l’Afrique australe en battant, ce mercredi en Afrique du Sud, le Malawi sur le score de deux buts à un.Avec cette troisième victoire de suite, la sélection sénégalaise, entraînée par l’ancien international Joseph Koto, termine en tête du groupe B. Pour le compte de la dernière journée de la phase de poules, le Sénégal a vaincu le Malawi grâce à un doublé d’Abdou Diop (11′ et 92′).

C’est la seconde fois d’affilée que les Lions portent l’estocade en toute fin de partie. Face au Zimbabwe (2-1), Mohamed Ba a inscrit le but de la victoire à la 88e minute. Avant lui, Pape Oumar Ngalla Ndoye a planté une banderille (44′).

Dans ce tournoi où il est invité, le Sénégal a raté son entrée en lice face à la Namibie  (1-2) malgré une réalisation  d’Albert Lamane Diène (17′). Les Lions se sont repris contre le Mozambique (1-0). L’unique pion de Pape Djitté (63′) a relancé la machine.

La Namibie, en récoltant sept points, s’est adjugée la seconde place du groupe qualificative en demi-finales. La 20e édition de la Coupe Cosafa se déroule du 6 au 18 juillet 2021 en Afrique du Sud.

Dans l’équipe du Sénégal, les joueurs les plus connus sont le gardien Pape Seydou Ndiaye, le milieu El Hadj Madické Kane et l’attaquant Albert Lamane Diène. Si ces trois athlètes ont été libérés par le Jaraaf de Dakar, leur employeur, d’autres clubs de Ligue 1 concernés par la lutte pour le titre ou le maintien n’en ont pas fait de même.

Le FIDA lance un programme de financement pour les exploitations familiales

Le programme s’inscrit dans le cadre de l’action menée par le Fonds international de développement agricole (FIDA) contre l’aggravation de la faim et de la pauvreté dans les pays les plus pauvres.Les entreprises rurales, qui jouent un rôle essentiel dans la transformation des systèmes alimentaires, vont bénéficier d’une aide précieuse grâce à un nouveau programme de financement ambitieux lancé ce 14 juillet 2021.

Le Programme de participation du secteur privé au financement (PPSPF) vise à accroître les investissements privés dont ont besoin les petites et moyennes entreprises (PME), les organisations paysannes ainsi que les intermédiaires financiers qui fournissent des services aux petits exploitants, lesquels sont trop souvent négligés par les investisseurs.

Le Programme offrira plusieurs outils : prêts, instruments de gestion des risques (garanties, par exemple) et prises de participation, rapporte le FIDA dans un communiqué de presse.

« Nous pouvons éliminer la faim et la pauvreté ! Mais, pour y parvenir, nous devons de toute urgence mobiliser auprès du secteur privé davantage d’investissements en faveur des zones rurales, et libérer l’immense potentiel entrepreneurial de millions de PME et de petits producteurs ruraux », a déclaré le Président du FIDA, Gilbert F. Houngbo.

Selon lui, en accédant à des financements, ces acteurs pourront attirer davantage d’investisseurs et de partenaires, développer leur entreprise et créer des emplois, notamment pour les jeunes et les femmes.

À l’occasion du lancement du PPSPF, il a été annoncé qu’un premier prêt, d’un montant de cinq millions de dollars US, serait octroyé à Babban Gona, une entreprise nigériane à impact social qui aide les petits exploitants à passer d’un modèle de subsistance à un modèle davantage tourné vers le marché et possède dans ce domaine une solide expérience.

Le FIDA indique que face au manque de financement et d’accès aux services financiers, les PME rurales et les petits exploitants ne sont pas en mesure de tirer parti des possibilités offertes par la demande croissante de denrées alimentaires plus diversifiées et plus nutritives partout dans le monde.

Or les PME qui participent à la transformation, au conditionnement, au transport et à la commercialisation des denrées alimentaires sont des partenaires essentiels pour les petits exploitants. Elles leur fournissent en effet des services, des intrants et des débouchés qui leur permettent d’accroître leurs revenus et de créer des emplois.

Avant même la pandémie de Covid-19, les prestataires de services financiers n’apportaient qu’environ 30% des 240 milliards de dollars US nécessaires pour répondre à la demande de financement des ménages ruraux. En outre, dans la seule Afrique subsaharienne, le déficit de prêts en faveur des PME agricoles s’élevait à environ 100 milliards d’USD par an.

« Face à l’aggravation de la faim et de la pauvreté et à la nécessité urgente de rendre les systèmes alimentaires plus durables et plus équitables, il faut sortir des sentiers battus. Nous devons innover et trouver du nouveau, sans plus attendre », a expliqué Gilbert F. Houngbo.

Gabon-Coup d’état maqué : Ballack Obame devant le tribunal correctionnel ce mercredi 14 juillet

L’unique civil impliqué dans le coup d’état manqué du 7 janvier 2019 orchestré par des militaires dirigés par le lieutenant Kelly Ondo Obiang, sera jugé ce mercredi devant le tribunal correctionnel de Libreville.

Il sied de signer qu’au départ, Ballack Obame  militant très engagé à l’Union nationale (UN) une formation politique de l’opposition,  était poursuivi pour complicité d’atteinte à la sureté de l’Etat.

A en croire la justice gabonaise, les faits qui lui ont été repoche, ont par la suite été requalifié. Finalement Ballack Obame est poursuivi pour propagande et incitation à la révolte contre l’autorité de l’état. Il risque 5 ans de prison ferme. Cet ancien leader estudiantin est en prison depuis 2 ans.

Pour rappel,  le lieutenant Kelly Ondo Obiang et deux de ses éléments ont été condamné jeudi 1er juillet dernier par la Cour spéciale militaire à 15 ans de prison et à une amende de 31 millions de FCFA assortie d’une radiation des forces armées gabonaises.

 

Mali : Amnesty International appelle à la libération d’anciens hauts dirigeants

L’Organisation Non Gouvernementale de défense des droits de l’Homme a déclaré ce mercredi que « les privations de liberté » dont sont notamment victimes l’ancien président de la transition et son Premier ministre « ne se justifient pas ».Il y a presque deux mois, Bah N’Daw avait remis sa démission ainsi que celle de Moctar Ouane au Colonel Assimi Goïta. Le chef de l’Etat et son Premier ministre, suite à un remaniement ministériel, s’étaient attirés les foudres du vice-président de la transition d’alors.

En août 2020, des militaires dirigés par Assimi Goïta avaient poussé le président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) vers la sortie. La non-reconduction de deux ministres, issus de leurs rangs, avait entrainé l’arrestation de Bah N’Daw et de Moctar Ouane. Depuis, ces deux personnalités ne sont pas libres de leurs mouvements. Le premier nommé se trouve au camp A des Forces armées et le second est assigné à résidence à Bamako.

Inacceptable selon Amnesty International qui plaide pour la fin de ces « détentions administratives illégales ». A en croire l’ONG de défense des droits humains, l’Etat malien, incarné aujourd’hui par Assimi Goïta devenu président de la transition, ne dispose d’ « aucune base légale » pour agir de la sorte.

Pour Samira Daoud, Directrice régionale d’Amnesty International pour l’Afrique occidentale et centrale, la décision des autorités « s’apparente à une détention arbitraire en violation de l’article 4 de la Constitution malienne et de l’article 9.1 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques ratifié par le pays ».

De ce fait, Amnesty International affirme que Bah N’Daw et Moctar Ouane doivent être libérés « immédiatement (et) sans conditions ». En outre, l’organisation mondiale s’insurge contre la détention, au camp militaire de Kati situé à 15 kilomètres de la capitale, des Généraux Mohamed Lamine Ballo et Souleymane Doucouré. Ces derniers avaient respectivement été nommés, lors du remaniement ministériel en question, ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile, et ministre de la Défense.

Economie, administration et sécurité au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce mercredi traitent notamment de la réglementation du Partenariat public-privé, la réforme des Établissements et Entreprises Publics et la saisie d’une grande quantité de résine de Cannabis au niveau de l’axe Casablanca-Bouznika.Évoquant la réglementation du Partenariat public-privé (PPP), +Aujourd’hui Le Maroc+ écrit que le Royaume est en train de parfaire son arsenal juridique destiné à encadrer le partenariat public-privé, rappelant que le brassage entre des opérateurs ou des capitaux publics et privés est une pratique très ancienne.

Le journal souligne que de nombreux projets d’intérêt général, notamment le développement de grandes infrastructures, les zones d’activités industrielles de nouvelle génération, les complexes portuaires et les méga-stations d’énergie solaire et éolienne, ont été développés grâce à une bonne intelligence entre le public et le privé.

Et de noter que les technostructures de l’administration marocaine ont pu évidemment développer un certain savoir-faire et une expertise dans les montages financiers, juridiques et techniques que nécessitent des projets spécifiques de grande envergure.

Le législateur dispose donc d’un recul suffisamment long, plus de 50 ans, et intéressant en termes de contenu et d’expériences, pour que la prochaine réglementation soit encore plus performante et surtout plus productive en valeur et en développement pour le pays, constate-t-il.

Abordant la réforme des Établissements et Entreprises Publics (EEP), +L’Économiste+ indique que la future agence nationale de gestion stratégique des participations de l’Etat est une « belle réforme » dont il faudra suivre l’aboutissement. Si les EEP sont invités à négocier de nouveaux paradigmes, à pérenniser leurs modèles économiques, à scruter les opportunités stratégiques, « c’est que la survie de plusieurs écosystèmes privés en dépend », estime la publication.

Tout en gardant à l’esprit les spécificités de l’Etat comme propriétaire du portefeuille, la réforme est attendue sur sa capacité à déployer une architecture où la cohérence et les synergies entre participations sont perceptibles, ajoute-t-il.

+Al Ittihad Al Ichtiraki+ rapporte que les services sécuritaires de Casablanca ont mis en échec, lundi soir, une tentative de trafic international de drogue et procédé à la saisie de cinq tonnes et 820 kg de résine de cannabis.

Cette opération, menée au niveau du tronçon routier reliant Casablanca à Bouznika, a également permis l’interpellation de six individus pour leurs liens présumés avec un réseau criminel s’activant dans le trafic international de drogue par voies maritimes, indique un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN), cité par le quotidien.

+L’Opinion+ fait savoir que le Jardin zoologique de Rabat accueillera, pour la première fois, un couple de tigres et ce, durant trois mois à partir du 9 juillet.

« Dans l’objectif d’enrichir son offre et de diversifier la collection animale présentée, le Jardin zoologique de Rabat accueille, pour la première fois, une espèce tant sollicitée et appréciée par le public, le tigre », a affirmé cet établissement dans un communiqué, cité par la publication.

« Nayo et Matchy, un couple de tigres, en provenance d’une institution zoologique nationale, s’installent à partir du 9 juillet 2021 et pour une durée de 3 mois au niveau de la biozone +savane+ », précise le communiqué, ajoutant que les deux félins, âgés respectivement de 4 ans et 3 ans, sont nés au Maroc de parents originaires de France.

Sénégal : divers sujets au menu de la presse

Les journaux sénégalais, parvenus mercredi à APA, traitent d’une diversité de sujets dominés par la justice, la santé, la politique et les faits de société.Sud Quotidien évoque l’affaire des 94 milliards et c’est pour nous informer que « Ousmane Sonko (est) encore débouté » par la Cour d’appel de Dakar.

Une décision qui fait dire à Walf Quotidien que Sonko fonce directement vers la Cour suprême. Le journal soutient que la Cour d’appel a rejeté son recours dans ce dossier où l’opposant visait Mamour Diallo, Meïssa Ndiaye et Seydou Sarr dit Tahirou « d’escroquerie portant sur les deniers publics, usage de faux et concussion » sur le titre foncier 1445/R.

L’Observateur pour sa part prévient sur les risques d’une troisième vague au Sénégal. « Alerte rouge » barre à sa Une le journal qui indique que plus de quarante malades sont sous oxygène et tous les lits en Réa-Covid sont occupés.

Vox Populi sur le même sujet s’inquiète de cette hausse des cas et martèle que « si n’est rien fait d’ici la Tabaski, on va assister à une explosion des cas avec les déplacements dans les régions.

Dans Le Quotidien, c’est un retour à la case de départ pour le le nouveau Code électoral. « Retour à Sénégal 92 » titre le journal qui précise que les articles L3 et L4 de l’ancien code sont devenus L29 et L30 du nouveau code.

Quid du cas du Karim Wade, candidat du Parti démocratique sénégalais (PDS, opposition) actuellement au Qatar ? EnQuête pose le débat avec l’alliance Macky Sall – Idrissa Seck et les retrouvailles de la famille libérale, en s’interrogeant sur l’équation Karim Wade toujours « inéligible ». Seule une amnistie informe le journal, peut rabattre les cartes.

Sur un autre registre, la visite du président Macky Sall en Mauritanie a eu un écho favorable auprès du Collectif des acteurs de la pêche. L’AS souligne que le Caps se félicite des nombreux accords signés dans ce secteur.

Du baume au cœur pour les soldats tombés au front. Le Soleil informe que Macky Sall a décidé à partir de janvier 2022, d’octroyer une maison à chaque famille selon le colonel Cheikhouan Guèye, directeur de l’action sociale des armées.

En sport, Stades informe qu’on se dirige vers des surprises dans l’attribution du ballon d’or 2021. Si Lionel Messi fait figure de grand favori, le journal indique que Jorginho est l’autre favori pour cette distinction individuelle qui récompense le meilleur footballeur de l’année.

Sénégal : les produits agricoles face au défi de la commercialisation à grande échelle

Plusieurs facteurs comme le déficit d’infrastructures de stockage, la régulation du marché ou encore la qualité des produits plombent l’écoulement normal des récoltes.D’année en année, la production agricole atteint des chiffres record au Sénégal. Selon le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, Moussa Baldé, la production de graminées est évaluée à 3,64 millions de tonnes au terme de la campagne 2020-2021. Ce volume est en hausse de près d’un million de tonnes par rapport à la saison précédente (2,7 millions de tonnes).

Si les moissons sont abondantes, la commercialisation à grande échelle est une autre paire de manches. Dans cette phase, le non-respect des règles du marché par les producteurs sénégalais est noté.

Or, explique le directeur de l’exploitation de l’Agence de Régulation des Marchés (ARM), Babacar Sembène, « ce volet demande beaucoup d’investissements, de concertations pour que les producteurs puissent y trouver leurs comptes » et se conforment à la législation. 

Selon M. Sembène, qui s’exprimait récemment lors d’un atelier du Conseil national de commercialisation des productions agricoles, l’autre obstacle est la faible implantation d’infrastructures de stockage dans les zones de production.

A ce propos, Aminata Assome Diatta, a indiqué que « le gouvernement travaille à mettre en place des infrastructures de stockage très rapidement ». Aujourd’hui, a souligné, la ministre du Commerce et des Petites et Moyennes Entreprises, nous avons une forte production, mais si elle ne peut pas être conservée, les problèmes seront toujours entiers.

Elle a ainsi invité le secteur privé à investir dans « les infrastructures de stockage et leur gestion afin que toute la chaîne de valeur soit bien structurée et produise les résultats escomptés ».

Enfin, la troisième difficulté, et non des moindres, a trait à la conformité des produits locaux aux demandes notamment des industries. Donnant l’exemple du maïs importé massivement de l’Argentine et du Brésil, Babacar Sembène a plaidé pour une recherche axée sur les variétés dont les industriels ont besoin puisque « c’est le marché qui détermine la production ».

Protéger les petits producteurs

Durant la rencontre du Conseil national de commercialisation des productions agricoles, la question de la cohabitation entre les petits producteurs et les agrobusiness-men a également été abordée. A ce sujet, le directeur de l’exploitation de l’ARM a estimé qu’« il faut œuvrer à stocker la surproduction dans des magasins et essayer de différer la commercialisation ».

De son côté, la ministre du Commerce et des PME a reconnu qu’il y a un problème d’équité dans ce sous-secteur. « Autant on peut essayer de réguler l’importation de ces produits, autant c’est difficile entre deux Sénégalais de dire à l’un qu’il faut vendre et à l’autre d’attendre. Mais nous essayons toujours de trouver des terrains d’ententes », a-t-elle dit. Aminata Assome Diatta reste cependant convaincue qu’avec une bonne disponibilité d’infrastructures de stockage, une grande partie du problème serait résolue.

Programme GPE-Abidjan: une opportunité de bourse au profit des candidats

La Banque mondiale, un partenaire du Programme de formation en Gestion de la politique économique «Programme GPE-Abidjan » de l’Université Félix Houphouët-Boigny, offre une opportunité de bourse pour les auditeurs.

Lancé le 22 mai dernier, le recrutement des auditeurs de la 22e promotion s’achève le 19 juillet 2021. Les candidats peuvent toutefois, par le biais du GPE-Abidjan, postuler pour une bourse de l’Institut de la Banque mondiale « JJ/WBGSP ». 

Le Programme GPE-Abidjan vise notamment le renforcement des capacités des cadres des administrations publiques et privées de la sous-région ouest-africaine francophone, en matière de Management des politiques économiques.

Les candidatures des auditeurs sont reçues uniquement en ligne sur le site www.gpe-afrique.net/recrutement/. Le GPE-Abidjan, programme d’excellence de l’Université Félix Houphouët-Boigny, se veut un incubateur de compétences en gestion de la politique économique.   

Les pays ciblés par le Programme GPE-Abidjan sont la Côte d’ivoire, le Burkina Faso, le Bénin, le Mali, le Togo, la Guinée et la Mauritanie. La session est également ouverte au Tchad, au Burundi, au Congo et au Cameroun. 

Dans l’espace de l’Union économique ouest-africaine (Uemoa), les candidatures sont fortement encouragées au Bénin, au Burkina Faso et au Niger pour les personnes désireuses de décrocher un Master professionnel de haut niveau en gestion des politiques économiques. 

Selon le calendrier du recrutement, la clôture des candidatures est prévue le 19 juillet 2021, et la publication de la liste des candidats autorisés à concourir, le 27 juillet. L’épreuve écrite, elle, a lieu le 05 août 2021. 

La publication de la liste définitive des admis est fixée au 7 septembre 2021 et la clôture des inscriptions le 17 décembre 2021. Le GPE-Abidjan, fleuron de la formation en gestion de la politique économique, capitalise aujourd’hui plus de 20 ans d’expériences dans le renforcement des capacités.

Le programme a permis de former de nombreux directeurs de départements dans les administrations des pays bénéficiaires ainsi que des cadres d’institutions internationales : BAD, PNUD, Banque mondiale, FMI, BIT, OMS, etc.

Debits and Credits Normal Balances, Permanent & Temporary Accounts

normal balances of accounts

However, for accounting purposes, this would be considered an expense. Liabilities, revenues, and equity accounts have natural credit balances. If a debit is applied to any of these accounts, the account balance has decreased. For example, a debit to the accounts payable account in the balance sheet indicates a reduction of a liability.

normal balances of accounts

Asset, liability, and most owner/stockholder equity accounts are referred to as permanent accounts . Permanent accounts are not closed at the end of the accounting year; their balances are automatically carried forward to the next accounting year. Assets live on the left side of the accounting https://www.wave-accounting.net/ equation and are therefore normal debit accounts. They are also the A in the DEAD acronym. We can illustrate each account type and its corresponding debit and credit effects in the form of anexpanded accounting equation. Two key elements in accounting are debits and credits.

Debit Notes

At the end of the accounting year the balances will be transferred to the owner’s capital account or to a corporation’s retained earnings account. In accounting, account balances are adjusted by recording transactions. Transactions always include debits and credits, and the debits and credits must always be equal for the transaction to balance. If a transaction didn’t balance, then the balance sheet would no longer balance, and that’s a big problem. As noted earlier, expenses are almost always debited, so we debit Wages Expense, increasing its account balance. Since your company did not yet pay its employees, the Cash account is not credited, instead, the credit is recorded in the liability account Wages Payable.

normal balances of accounts

Mistakes in a sales, purchase, or loan invoice might prompt a firm to issue a debit note to help correct the error. The concept of debits and offsetting credits are the cornerstone of double-entry accounting. More about double-entry accounting and an account’s normal balance. Let’s consider the following example to better understand abnormal balances. Describe what unearned revenue is and where it is reported in financial statements. Provide an example as well of an accrued revenue.

Record Sales on Credit

This allows organizations to identify errors, mistakes and pitfalls which can be remedied quickly and prevent larger issues in the future. Dividends decrease Retained Earnings. A decrease in Retained Earnings is a debit. Also, Dividends are in the D in the DEAD acronym.

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L’Agence marocain de sûreté et de sécurité nucléaires désignée centre collaborateur africain de l’AIEA

L’Agence marocaine de sûreté et de sécurité nucléaires et radiologiques (AMSSNuR) et l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) ont signé, mardi à Vienne, l’accord de désignation d’AMSSNuR en tant que centre collaborateur africain de l’AIEA pour le renforcement des capacités en matière de sécurité nucléaire, indique un communiqué de l’AMSSNuR.Aux termes de cet accord, l’AMSSNuR devient le premier centre collaborateur de l’Agence internationale sur le plan continental, pour la période 2021-2024, selon un plan d’action spécifique visant à assister les États membres dans l’élaboration du cadre réglementaire relatif à la sécurité nucléaire de leurs pays respectifs, développer les capacités nationales et régionales, notamment africaines et renforcer la coopération régionale et internationale dans le domaine, souligne la même source.

Cette désignation « constitue une reconnaissance internationale des efforts entrepris par le Royaume du Maroc dans le domaine de la sécurité nucléaire et témoigne de l’excellence des relations de coopération entre notre pays et l’AIEA et de la réputation de la sécurité nucléaire au Royaume du Maroc au niveau mondial », ajoute-t-on.

Cette reconnaissance vient couronner les efforts fournis par AMSSNuR depuis sa création dans le domaine de la sûreté et de la sécurité nucléaires et radiologiques et sa veille permanente sur toutes les opportunités pour les mettre en faveur des pays africains membre de l’AIEA, note le communiqué.

Lors de la cérémonie de signature, qui fut marquée par la remise de la plaque de « Centre Collaborateur », les deux parties ont passé en revue les différentes opportunités de coopération visant le renforcement des capacités, nationales et régionales, en matière de sécurité nucléaire.

A cet effet, le directeur général de l’AMSSNuR, Khammar Mrabit a réitéré l’engagement de l’Agence à renforcer les capacités à travers plusieurs canaux et à faciliter la coopération entre l’AIEA et les autres pays africains en matière de formation, de partage de connaissances et d’expériences dans le domaine.