Gabon : les résultats du BEPC seront proclamés ce vendredi et le CEP samedi

Le ministère de l’Éducation nationale a dans un communiqué diffusé sur les réseaux sociaux, annonce que, les résultats du BEPC seront proclamés ce vendredi alors que ceux du CEP seront connus samedi 24 juillet.

 

Le patron de l’éducation nationale, a indiqué dans un communiqué que,  les résultats du Brevet d’études du premier cycle (BEPC), seront proclamés ce vendredi alors que ceux du Certificat d’études primaires (CEP), seront connus samedi.

Comme en 2020, les résultats ne seront pas affichés devant les établissements scolaires. L’objectif est d’éviter les attroupements en ces  temps de Covid-19.

Les résultats seront  donc, diffusés sur internet via les sites web : www.kewa.gouv.ga ,  www.xgestedu.com   et  www.examensgabon.com

Signalons que, depuis mercredi 21 juillet dernier, des rumeurs propagées via les réseaux sociaux  affirmant que ces résultats ont déjà été publiés ont paniqué les familles qui se sont mises à les rechercher partout.

Badecon le maudit en chef se félicite d’avoir « cloué le bec » du Général Makosso de la Côte d’Ivoire

Badecon le maudit en chef  influenceur Gabonais, s’est félicité d’avoir cloué le bec du Révérend Général Camille Makosso, lors d’un live sur Facebook au cours duquel ce célèbre pasteur ivoirien hyper actif sur les réseaux sociaux s’adonnait à son « prêche favori » de dénigrement du Gabon et des gabonais.

L’influenceur Gabonais soutient ne pas apprécier l’immixtion du général Camille Makosso dans les affaires gabonaises et surtout son côté railleur et donneur de leçons.

Badecon le maudit en chef a donc battu le rappel de « La badécon gang » et de gabonais les invitant à signaler massivement le direct du révérend « charlatan ».

« Ce combat qui semblait perdu d’avance au regard du grand nombre d’abonnés (57k) que compte la page de ce charlatan de Makosso contre les quelques 13k d’abonnées sur la page du #Badecon_en_Chef s’est à la grande surprise soldée sur une victoire de l’influenceur gabonais », a posté un fan de l’influenceur gabonais.

« Le mot d’ordre a été très bien suivit et résultat : le direct du pasteur kongosseur a été interrompu », se régale l’activiste gabonais.

« C’est un message fort que Badecon en chef et plusieurs gabonais ont tenu à lancer à l’endroit de ceux qui croient qu’ils peuvent se permettre tout parce que le Gabon est un petit pays avec une faible population (2 millions d’habitants) », averti-t-il.

Les clashs entre le Gabon et la Côte d’Ivoire sur les réseaux sociaux sont légion. Le général Camille Makosso n’a pas dit son dernier mot. Un nouveau développement n’est pas à exclure.

A suivre

 

Libreville : 178 lauréats de la prestigieuse école BBS sont sur le marché de l’emploi

Plus de  177 diplômés de la prestigieuse école BGFI business school (BBS) ont reçu mercredi dans le nouveau siège social de ce groupe bancaire de l’Afrique centrale leurs parchemins au cours d’une cérémonie organisée à leur honneur.

Les lauréats sont issus des promotions 2018 et 2019. Ils ont pour parrain Henri-Claude Oyima, le Président Directeur Général du groupe BGFIBank.

Signalons que, les nouveaux diplômés ont été formés dans les domaines de la Banque, de la comptabilité contrôle et audit, de la gestion des entreprises, du système d’information ainsi que du management des projets.

« Nous sommes humblement disposés à intégrer les entreprises et institutions dont vous avez la charge. Qu’il s’agisse du secteur bancaire, de l’assurance ou de tout autre secteur d’activité. Faites-nous confiance ! Faites-nous confiance ! », a plaidé  Dielle Brunelle Divagou Boulingui, délégué des promotions 2018 et 2019.

Particulièrement heureux, le porte-parole des désormais anciens étudiants de BBS a plaidé auprès de la direction du groupe BGFIBank afin que chacun trouve un emploi dans l’une des nombreuses filiales du groupe présent dans 11 pays africains y compris la France.

Dielle Brunelle Divagou Boulingui a naturellement remercié le corps enseignant pour la discipline et la rigueur qui caractérise la formation dans cette école internationale.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Gabon-Baccalauréat 2021 : les candidats des filières générales ont donné le coup d’envoi ce mardi 20 juillet

Les candidats des filières générales ont entamé mardi  20 juillet, les épreuves écrites de baccalauréat 2021 sur l’ensemble du territoire national.    

La Ministre déléguée à l’Éducation nationale, Camélia Ntoutoume a fait un jour dans le centre des examens, pour constater l’effectivité du démarrage de l’examen qui ouvre les portes des universités et grandes écoles.

En marge du démarrage des épreuves, Mme Ntoutoume Leclercq a profité de l’occasion pour inspecter l’internat mis en service après plusieurs mois de travaux au bénéfice des candidats (hommes et femmes) venus des lycées voisins de Kango et Cocobeach, des séries générales, qui eux, doivent démarrer l’examen ce 20 Juillet.

Selon le calendrier de la Direction générale des examens et concours, les résultats du premier tour seront connus le samedi 31 Juillet et le 07 Août pour le second Groupe. Il y a plus de 40 000 candidats en lice.

Nyanga : le gouvernement a lancé les travaux de la réhabilitation de 12 ponts en bois dur sur l’axe Tchibanga-Moabi

La subdivision provinciale des Travaux publics (TP) de la Nyanga a lancé les travaux de réhabilitation de 12 ponts en bois dur sur le  tronçon Tchibanga-Moabi, lesquels ponts croulaient sous le poids de l’âge.

La réhabilitation de ces ouvrages rentre dans le cadre du plan d’aménagement élaboré par le gouvernement, pour désenclaver le département de la Douigny dont le chef-lieu est Moabi.

Il sied de signaler qu’Il y a quelques mois, la même subdivision des TP avait entamé les travaux de réhabilitation de cette route en piteux état depuis des décennies.

Le linéaire de 72 km, fortement dégradé, entravait le trafic dans cette région enclavée de la province de la Nyanga (sud-ouest). La cure de jouvence se caractérise par le rechargement et le reprofilage de ladite route.

Source: Gabonactu.com

Le Gabon a enregistré à peine 115 cas positifs au Covid-19

Selon  le rapport publié lundi 19 juillet 2021 par le Comité de pilotage du plan de veille et de riposte contre l’épidémie à Coronavirus au Gabon, révèlent que le pays d’Ali Bongo a enregistré 115 cas positifs au Covid-19.

« Au total, sur les 943 371 tests réalisés, nous avons enregistré 25 283 cas positifs, dont 115 cas actifs, 25 005 guérisons et 163 décès », a souligné le rapport trihebdomadaire du Copil.

A en croire l’équipe de la riposte contre cette pandémie, ces résultats sont encourageants pour le pays cité en exemple dans le continent africain pour sa stratégie de riposte, avec à la clé, un taux de positivité de 0.3%.

Il faut dire qu’au regard de ces données, la pandémie semble en voie de disparition au Gabon. Malgré cette victoire graduelle contre le virus, le gouvernement appelle ses compatriotes à ne pas baisser la garde par l’observance des mesures barrières.

Il sied de noter que, le gouvernement gabonais  a intensifié son dispositif de riposte par le lancement en mars dernier de la campagne de vaccination contre le Covid-19. Plus de 10% de la population cible serait déjà vaccinée.

Gabon : le nouveau maire de Libreville a officiellement pris ses fonctions

Marie Christine Mba Ndutume,  nouveau maire de Libreville, a officiellement pris ses fonctions avec l’ambition de terminer le mandat de Léandre Nzue et Eugene Mba, tous deux destitués pour le détournement.

« En prenant aujourd’hui les reines de la mairie de Libreville j’ai conscience du contexte difficile auquel elle est confrontée », a déclaré le nouvel édile de Libreville dans son discours de circonstance.

« Je vous souhaite la bienvenue à la tête de la mairie de Libreville », a pour sa part déclaré le maire sortant, Eugene Mba.

Le nouveau maire a été installée par le gouverneur de l’Estuaire, Marie Françoise Dikoumba.

Le mandat actuel a été entamé le 4 février 2019 par Léandre Nzue. Il a été éjecté et jeté en septembre 2020 pour détournement de fonds publics et association des malfaiteurs. Son intérim a été assuré durant 3 mois par Serge William Akassaga, 1er maire adjoint de Libreville.

Le 29 décembre, Eugene Mba a été élu maire de Libreville pour achever ce mandat. Malheureusement, il ne parviendra pas. Lui aussi a été rattrapé au point de démissionner dans des circonstances jugées troubles par ses partisans.

Militante fidèle et loyale du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir), Marie Christine Mba Ndutume est probablement la solution. Elle est la seconde femme à occuper ces fonctions après Rose Christiane Ossouka Raponda.

Source: gabonactu.com

Gabon-Conflit homme-éléphants : une barrière électrique à Ndougou pour soulager les villageois

Le professeur Lee White ministre des Eaux et forêts, a inauguré une barrière électrique au village Ghietu-y-Batu dans le département de Ndougou pour soulager les villageois victimes de la boulimie des éléphants qui ravagent leurs plantations.

L’inauguration rentre dans le cadre des consultations des populations lancées la semaine dernière dans tout le pays dans la perspective d’un grand forum national sur le conflit homme-éléphant prévu en août prochain à Libreville.

Notons que,  le prof Lee White a toujours fait la promotion des barrières électriques comme solution mise en pratique au Gabon pour faire face à ce conflit. 13 barrières ont été implantées dans les provinces de l’Ogooué Ivindo, de l’Estuaire, de la Nyanga et de l’Ogooué maritime.

Le Gabon s’inspire du modèle du Kenya. Les barrières sont électrifiées par des panneaux solaires. En 2021, le gouvernement a prévu un budget de 1 milliard de FCFA pour construire 25 nouvelles barrières. 15 autres barrières seront érigées grâce à des financements privés.

A cause des dévastations des plantations, les populations rurales crèvent de faim, s’appauvrissent davantage ou optent pour l’exode rural.

 

Afrique: « les décès liés à la Covid-19 augmentent de plus de 40 % en l’espace d’une semaine  » (OMS)

L’Afrique a enregistré d’une semaine à l’autre une progression de 43 % du nombre de décès liés à la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19), alors que les taux d’hospitalisation sont en augmentation rapide et que les pays sont confrontés à des pénuries d’oxygène et de lits de soins intensifs.

A la date du 11 juillet 2021, en tout 6273 décès avaient été notifiés en une semaine, contre 4384 décès au cours de la semaine précédente. L’Afrique se trouve désormais à moins de 1 % du record de 6294 décès en une semaine, chiffre atteint au mois de janvier. Sur l’ensemble de ces nouveaux décès enregistrés la semaine précédente, 83 % sont survenus en Namibie, en Afrique du Sud, en Tunisie, en Ouganda et en Zambie. Le taux de létalité sur le continent, autrement dit la proportion de décès notifiés parmi les cas confirmés, s’élève actuellement à 2,6 %, alors que la moyenne mondiale est de 2,2 %.

Les cas de COVID-19 ne cessent d’augmenter depuis huit semaines, et la barre des six millions de cas a été franchie le 13 juillet 2021. Au cours du mois écoulé, un million de cas supplémentaires ont été signalés en Afrique. Il s’agit là de la période la plus brève pour une telle augmentation. À titre de comparaison, il a fallu environ trois mois pour passer de quatre à cinq millions de cas. Cette recrudescence de la maladie est la plus rapide jamais expérimentée sur le continent.

À l’origine de ce regain de la maladie se trouvent la lassitude du public à l’égard des mesures de barrières et la forte propagation des variants. Jusqu’à présent, le variant Delta, qui détient le record de transmissibilité parmi les variants, a été détecté dans 21 pays africains, tandis que les variants Alpha et Bêta ont été signalés dans 35 et 30 pays, respectivement.

« Le nombre de décès est monté en flèche ces cinq dernières semaines. Il s’agit là d’un signal d’alarme qui nous indique clairement que les hôpitaux des pays les plus touchés sont sur le point d’atteindre un point critique », a souligné Dr Matshidiso Moeti, Directrice régionale de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour l’Afrique. « Les systèmes de santé nationaux, souffrant d’un manque de fonds, sont confrontés à une grave pénurie d’agents de santé, de fournitures, de matériel et d’infrastructures nécessaires à la prise en charge des patients touchés par une forme grave de la COVID-19 ».

Les taux d’hospitalisation sont en très forte hausse dans une dizaine de pays et au moins six pays sont confrontés à une pénurie de lits de soins intensifs. La demande d’oxygène thérapeutique a atteint des niveaux sans précédent avec une estimation actuelle de 50 % supérieure à celle observée pendant la même période en 2020. L’offre quant à elle n’arrive pas à suivre le rythme. Une évaluation rapide réalisée par l’OMS dans six pays faisant face à une résurgence a révélé que seulement 27 % de l’oxygène nécessaire est produit.

« Le premier élément à l’ordre des priorités pour les pays africains est de renforcer la production d’oxygène afin de donner une chance de s’en sortir aux patients touchés par une forme grave de la maladie », a déclaré Dr Moeti. « Le dernier rempart dans la lutte contre la COVID-19, c’est un traitement efficace, et ce dernier rempart ne doit pas céder », a-t-elle indiqué.

Le nombre insuffisant, le délabrement ou le mauvais entretien des usines de production, ainsi que les difficultés liées à la distribution, à savoir la pénurie de bouteilles, le manque de personnel ou de compétences techniques sont autant d’obstacles à un approvisionnement suffisant en oxygène thérapeutique en Afrique.

Une enquête réalisée par l’OMS et prenant en compte 30 pays africains a révélé que 18 pays seulement avaient inclus les corticostéroïdes dans les lignes directrices nationales de traitement, comme cela est recommandé l’OMS. Neuf pays utilisent des produits non recommandés tels que l’hydroxychloroquine et le lopinavir dans le traitement de la COVID-19.

En vue de renforcer le traitement contre la COVID-19 et les capacités d’administration de soins critiques, l’Organisation mondiale de la Santé travaille avec les pays et fournit des orientations sur la prise en charge clinique, en leur offrant parallèlement un appui afin d’assurer la mise à jour des protocoles et la formation des agents de santé. Avec l’aide des partenaires, l’Organisation met également à disposition des fournitures médicales essentielles, telles que des bouteilles d’oxygène, et accompagne la mise en place et la réfection de structures de production d’oxygène.

L’augmentation des cas survient à un moment où les stocks de vaccins sont insuffisants. En tout, 52 millions de personnes ont été vaccinées sur le continent depuis l’entame des opérations de déploiement de vaccins en mars de cette année. Ce chiffre représente en valeur relative seulement 1,6 % des 3,5 milliards de personnes vaccinées dans le monde entier. À peine 18 millions de personnes sont entièrement vaccinées en Afrique, ce qui représente 1,5 % de la population sur le continent, contre plus de 50 % dans certains pays à revenu élevé.

« Le double obstacle marqué par la pénurie de vaccins et les difficultés liées au traitement compromet sérieusement l’efficacité de la riposte à la pandémie qui ne cesse de s’accélérer », explique Dr Moeti. « Néanmoins, grâce aux nouvelles expéditions de vaccins attendues et aux mesures clés de prévention en place, la tendance peut encore être inversée en notre faveur ».

Les expéditions supplémentaires de vaccins attendues dans les semaines et les mois à venir permettront de renforcer les taux de vaccination. Environ 190 millions de doses supplémentaires de vaccin contre la COVID-19 seront nécessaires pour vacciner entièrement 10 % de la population africaine avant le mois de septembre 2021. En outre, 750 millions de doses supplémentaires seront nécessaires pour vacciner entièrement 30 % de la population du continent africain avant la fin de l’année 2021.

Dr Moeti s’est exprimée lors d’une conférence de presse virtuelle animée par APO Group. Elle a été rejointe par l’Honorable Dr Jean Jacques Mbungani Mbanda, Ministre de la santé publique, hygiène et prévention de la République démocratique du Congo, ainsi que le Dr Kaveto Sikuvi, Chef du département de la gestion des cas et spécialiste des urgences, hôpital intermédiaire de Katutura et hôpital central de la Namibie.

Étaient également présents pour répondre aux questions des journalistes, Dr Richard Mihigo, coordonnateur du programme Vaccination et mise au point des vaccins au Bureau régional de l’OMS pour l’Afrique, Dr Thierno Balde, chef de l’équipe de partenariats opérationnels au Bureau régional de l’OMS pour l’Afrique, ainsi que Dr Nicksy Gumede-Moeletsi, virologue régionale au Bureau régional de l’OMS pour l’Afrique.

Source : OMS

Lutte contre la covid-19 : Total Gabon oblige son personnel à se faire vacciner

Stéphane Bassene Directeur général de Total Gabon, a dans une note de service, obligé à tous les employés de Total Gabon, de se faire vacciner avant le 15 septembre 2021.

« Nous envisageons ainsi l’arrêt des confinements avant accès aux sites à partir du 15 septembre 2021 », a notamment annoncé M. Bassene. Et d’ajoute : « Il est donc impératif que toutes les personnes concernées puissent avoir été vaccinées à cette date ».

Le Directeur général de Total Gabon, explique que le confinement coûte très cher à l’entreprise. Il est par ailleurs très éprouvant pour les agents contraints à cet isolement forcé avant de rejoindre leur poste de travail.

Stéphane Bassene recommande fortement les personnels de son entreprise Total Gabon,   à se faire vacciner selon le « protocole approuvé au Gabon ». La société s’engage même à faciliter « la prise de rendez-vous pour la vaccination à l’hôpital de Ntchenguè  (Port-Gentil ».

Il sied de noter que ce communique, suscite la réaction de l’Organisation nationale des employés du pétrole (ONEP). L’organisation soutient que Total Gabon outrepasse le caractère volontaire de la vaccination. La compagnie violerait la liberté de choix dans le cas d’espèce.