Ali Bongo va prononcer un discours sur la tribune de l’UNESCO ce vendredi 12 novembre à Paris

Le président gabonais Ali Bongo montera sur la tribune de l’UNESCO à Paris où il prononcera une allocation ce vendredi 12 novembre 2021 à l’occasion de la 41ème session de la Conférence générale de l’Unesco à Paris qui marquera également la célébration du 75ème anniversaire de cette institution.

 

Pour cette circonstance, les 193 Etats membres de l’UNESCO examineront les enjeux de la préservation du patrimoine, de l’environnement et de l’éducation entre autres questions.

Ladite conférence sera également marquée par l’élection des membres du Conseil exécutif et l’élection du Directeur général. Ledit Conseil avait approuvé en octobre dernier, la reconduction à la tête de l’institution de Mme Audrey Azoulay.

Le Chef de l’Etat gabonais, invité par Madame le Directeur général de l’Unesco à cet événement d’envergure qui célébrera le 75ème anniversaire de ladite organisation, fera une intervention sur les liens de coopération multiformes existants entre le Gabon et l’Unesco forts de six décennies, et soulignera la convergence de vues entre Gabon et l’Unesco sur les grands dossiers de l’heure.

Notons que la participation du Président de la République Gabonaise à cette rencontre d’envergure intervient quelques jours après son séjour à Rabat au Maroc dans le cadre d’une visite de Travail et d’Amitié avec sa Majesté Mohammed VI.

Pour rappel, Ali Bongo avait pris part tout dernièrement à la COP 26 à Glasgow en Ecosse du 01 au 02 novembre dernier et à la 5ème édition du Forum International sur les Investissements à Riyad en Arabie Saoudite le 26 octobre 2021.

 

 

 

 

 

 

 

 

VIH/SIDA : le Gabon enregistre une nette régression de 5000 séropositifs en 2020

L’ONUSIDA, a dans son statistique officielle publiées ce mercredi révèlent qu’environ 46 000 personnes vivant avec le VIH/SIDA ont été recensées  en fin 2020 au Gabon, contre 51 000 en 2019, soit une nette régression de 5000 séropositifs.

 

Selon l’organe onusien spécialisé, ces données  seraient toutefois sous-évaluées au regard de la « forte probabilité des potentielles personnes infectées vivant dans le déni de leur statut sérologique ».

« Les restrictions engendrées par le covid-19 ont perturbé le dépistage du VIH dans de nombreux pays, et ont entraîné une chute brutale des diagnostics et des orientations vers des traitements contre le VIH », a précisé le rapport de l’ONUSIDA.

Elim-Qatar 2022 : Patrice Neveu croit toujours en une qualification

 Patrice Neveu sélectionneur des Panthères du Gabon,  croit toujours en une qualification pour l’ultime tour des éliminatoires du Mondial Qatar 2022. 3ème de son groupe des éliminatoires du Mondial à six points du leader, le Gabon demeure optimiste sur ses capacités pour accéder à l’ultime tour qualificatif.

 

Croire à la qualification des Panthères, c’est en tout cas l’état d’esprit du sélectionneur du Gabon Patrice Neveu«C’est encore possible. En football, nous avons déjà assisté à ce genre de retournement de situation», a déclaré le technicien français  devant la presse.

Conscient que le Gabon n’a plus son destin entre en mains.  Le technicien français a dès la prochaine journée des éliminatoires, peut définitivement dire adieu au Mondial si l’Égypte, leader du groupe, domine l’Angola, malgré une potentielle victoire face à la Libye.

«L’Angola, qui est une bonne équipe, est capable de battre l’Égypte. Si cela se passait, nous irions jouer la finale à Alexandrie le 16 novembre prochain», a espéré Patrice Neveu.

Dans le cas où ce scénario se produisait, il faudra effectivement des tripes pour aller s’imposer à Alexandrie.

Port-Gentil : Carmen Ndaot sensibilise les femmes sur les cancers féminins

Carmen Ndaot s’est entretenir avec les femmes de Port-Gentil qu’elle a exhortées à s’approprier le concept «Octobre rose» aux côtés de la FSBO impliquée depuis des années dans le combat mené contre cette maladie.

 

Prolongée de deux semaines dans la capitale économique du Gabon, la campagne de sensibilisation sur le cancer du sein et du col de l’utérus a donné l’occasion à Carmen Ndaot de sensibiliser les femmes de cette vielle.

Carmen Ndaot ministre  gabonais de la Promotion des investissements, des Partenariats publics-privés et de l’Amélioration de l’environnement des affaires, par ailleurs élue locale au troisième arrondissement de Port-Gentil, a une fois de plus  pris part cette année à la campagne de sensibilisation sur les cancers féminins . Le siège du Parti pour le développement et la solidarité sociale (PDS) a servi de cadre pour la circonstance.

 «Vous le savez, le cancer est la première cause de mortalité chez la femme», a-t-elle rappelé face aux femmes venues nombreuses pour assister à cette rencontre.

Et d’ajoute : «la lutte contre les cancers féminins est le cheval de bataille de la Première dame à travers la Fondation Sylvia Bongo Ondimba. Cette campagne est donc pour nous l’occasion de rappeler à chaque femme l’importance de se faire dépister, car dépisté a temps, un caner peut être guéri».

Ayant exposé sur les causes, les conséquences et les traitements envisagés contre les cancers du sein et du col de l’utérus, Docteur Ngo’Nze, gynécologue obstétricien, n’a pas manqué de s’appesantir sur la responsabilité des parents et des adultes en général. D’autant que, selon lui, les jeunes filles sont les plus exposées à ces maladies à travers, entre autres, la précocité des rapports sexuels, la multiplication des partenaires, la précocité des grossesses, etc.

 

Faux et usage de faux : Brice Laccruche ne fait pas appel de sa condamnation (Me Moumbembe)

Condamné à 5 ans de prison ferme et 5 millions de FCFA d’amende pour faux et usage de faux dans l’obtention de son certificat de nationalité gabonaise, Brice Lacruche, ancien directeur du cabinet du président Ali Bongo, a décidé du fond de sa cellule à la prison centrale de Libreville, de ne pas faire appel de cette lourde condamnation.

 

Selon  Me Jean Paul Moumbembe  avocat conseil de Brice Lacruche, l’ancien directeur du cabinet du chef de l’Etat,  qui s’est confié à la presse,  « Brice Lacruche a décidé de ne pas faire appel. J’ai longuement discuté avec lui. Il n’a pas voulu », a –t-il confié

Brice Laccruche Alihanga, l’ex homme fort du palais du bord de mer était notamment poursuivi pour usage présumé de moyens frauduleux pour l’établissement de documents administratifs.

Le document en question est un certificat de nationalité gabonaise. Devant la barre, Brice Laccruche Alihanga avait surpris tout le monde y compris ses avocats en faisant son mea-culpa.

Né à Marseille en France de parents français, il avait obtenu la nationalité gabonaise à 5 ans grâce à sa mère naturalisée gabonaise. Alors qu’il était déjà majeur, il s’était fait établir un certificat de nationalité avec pour père Monsieur Alihanga en lieu et place de Monsieur Fargeon son père français.

Il a donc  écopé de la peine maximale pour ce « délit ». Ce verdict ne met pas un terme aux poursuites contre lui. Il a été interpellé le 3 décembre 2019 puis incarcéré dans le cadre d’une opération mains propres dénommée Scorpion

 

Covid-19: 74 voyageurs détenteurs de faux carnets de vaccination interpellés à Libreville

Plus de 70 personnes ont été empêchées de voyager par la brigade mixte du Copil à l’Aéroport international Léon Mba, au Port Môle de Libreville et à la gare ferroviaire d’Owendo en octobre dernier. Pour de faux carnets de vaccination.

 

Il sied de noter que,  la traque des voyageurs et des sociétés de transport qui tentent de s’affranchir des mesures gouvernementales contre la pandémie de coronavirus ne se limite pas aux agences de transport terrestre. Le Transporteur Voyages et Major Transport, avaient écopé de sanctions en octobre dernier avant de bénéficier de l’indulgence du ministre de la Santé.

La brigade mixte du Copil veille également à ce que tous ceux qui franchissent les portes d’entrée du Gabon soient sans reproche, n’hésitant pas à annuler le voyage des indélicats.

A l’aéroport de Libreville, au Port Môle et à la gare ferroviaire d’Owendo où 74 personnes au total se sont vu refuser l’accès à leur avion, bateau ou train. La raison évoquée par le Copil dans son 29e rapport d’activité : la détention par certains des voyageurs de faux documents (carnets de vaccination, tests PCR), quand d’autres tentaient simplement de voyager alors qu’ils étaient positifs au Covid-19.

La surveillance aux portes d’entrées au Gabon, a permis d’interpeller 17 voyageurs à l’aéroport, 33 au port et 24 à la gare d’Owendo.

 

 

Gabon -concours de recrutement des Magistrats : 6619 candidats pour 170 places disponibles

Les 6619 candidats admis à concourir des magistrats, ont planché sur les épreuves retenues les samedi 06 et dimanche 07 novembre 2021 à l’Université Omar Bongo et à l’École normale supérieure. Seules 170 places sont disponibles.

 

Conformément aux dispositions prises par le Jury d’organisation des concours de recrutement des Magistrats, Conseillers adjoints des greffes et Greffiers principaux de l’année 2021, 6619 juristes ont passé les épreuves les week-ends derniers.

Les candidats aux épreuves d’admissibilité des concours de recrutement des magistrats et des conseillers adjoints de greffes, ont planché dans la matinée sur les épreuves de culture générale, de Droit civil (ordre judiciaire), de Droit Administratif (ordre administratif), de Finances Publiques (ordre financier), de Droit Civil, de Droit Administratif, de Finances Publiques, d’Economie ou de Comptabilité Générale au choix, pour les conseillers adjoints de greffes.

Les épreuves tenues dans les amphithéâtres de la Faculté de Droit et des Sciences Économiques de l’Université Omar Bongo se sont poursuivies dimanche 7 novembre dans les amphithéâtres et salles de classe de l’École normale supérieure, avec cette fois les magistrats qui ont composé sur les épreuves au choix de Droit pénal général et Droit commercial (ordre judiciaire), Finances publiques et Droit Constitutionnel (ordre administratif), Economie ou Comptabilité Générale (ordre financier).

Pour les greffiers principaux, les épreuves de culture générale et de résumé de texte se sont déroulées aux amphithéâtres de la Faculté des Sciences Économiques et de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines. Le tout dans la sérénité au regard de l’organisation mise en place par le jury de l’Ecole nationale de la Magistrature.

A en croire le jury, les corrections devraient durer au moins 3 semaines, pour une moyenne de 21000 copies corrigées par jour. De leurs côté, les candidats se disent être optimistes.

 

Libreville : une bagarre a éclaté entre policiers et bérets rouges à l’échangeur de Nzeng-Ayong

Une bagarre a éclaté ce lundi entre des policiers et des bérets rouges affectés au chekpoint de l’échangeur de Nzeng ayong dans le 6ème arrondissement de Libreville suite à une décision des policiers d’embarquer des marchandises appartenant à des vendeurs à la sauvette.

 

Alors qu’ils montaient leur garde contre le Covid-19, les bérets rouges ont constaté un vent de panique. Des policiers ont débarqué et commencé à embarquer les marchandises des vendeurs à la sauvette. La brutalité de l’opération a irrité les militaires qui avaient probablement un petit intérêt pécuniaire dans le désordre quasi permanent constaté à ce carrefour très fréquenté aux heures de pointe.

 

Il faut dire que des Policiers et militaires gabonais se détestant mutuellement, ils ont spontanément déclenché une bagarre pour solder leurs comptes. Apeurés, les civils n’ont même pas eu le courage d’immortaliser la rixe via leurs téléphones portables.

Le calme est vite revenu après le départ des policiers pour non-respect du checkpoint des militaires.

 

 

 

Gabon-Propos haineux : la communauté Fang interpelle le Chef de l’Etat Ali Bongo

Pour s’attaquer à la monté de stigmatisation éthique au Gabon, un groupe de 18 personnes politiques, représentant la Communauté  Fang ont dans une déclaration, interpelé le Chef de l’Etat, Ali Bongo sur la nécessité d’initier urgemment  des actions visant à décrypter l’atmosphère sociale morose, née  par les propos  antirépublicains.

 

 

« Au regard du mal vivre dans lequel notre pays semble engluer, la communauté Fang souhaiterait-elle vivement que le Président de la République, Chef de l’Etat, son excellence Ali Bongo Ondimba, veuille bien envisager de nouvelles hypothèses susceptibles d’empêcher la cristallisation des options identitaires, aux conséquences imprévisibles », a lancé M. Ella Nguema porte-parole de groupe de 18 personnalités de la communauté Fang.

Le politicien Max Anicet Koumba, président du Rassemblement des Gaulois, un parti de la Majorité présidentielle, a dans sa puante allocution  durant la session ordinaire du CND le 18 octobre dernier, déclarée en substance que « le Gabon est bloqué par l’imposture des Pahouin (ethnie fang et le tribalisme ».

Ces propos sont jugés « indignes et tribalistes » condamnés par le gouvernement avec véhémence le Gouvernement qui, par le biais du Ministère de l’Intérieur n’a pas tardé de suspendre de « toutes activités politiques le Rassemblement des Gaulois sur toute l’étendue du territoire national ».

La communauté Fang pense  qu’ il nous faut recourir aux fondamentaux de la République qui requièrent le dialogue entre fils et filles d’une même Nation, gage de paix, de stabilité et de progrès social, culturel, économique et politique, en un mot d’un développement intégral et durable ».

 

 

COP 26 : Ali Bongo a échangé avec le SG du Commonwealth Patricia Scotland à Glasgow

Le chef de l’Etat Ali Bongo a échangé mercredi 3 novembre avec le Secrétaire général du Commonwealth, Patricia Scotland à Glasgow en Ecosse en marge de la COP 26 au Royaume Uni.

 

« Le Commonwealth fait partie des organisations internationales qui peuvent avoir une influence décisive sur la question du climat, de la protection des forêts et de la biodiversité», a twitté le président Ali Bongo.

Ce n’est plus un secret, le président Bongo Ondimbe, met tout son poids sur la balance pour devenir membre de cette communauté qui regroupe en majorité d’anciennes colonies britanniques.

Lors de son dernier visite à Londres, le président gabonais, avait eu une première rencontre avec Patricia Scotland le 11 mai 2021. Cette rencontre avait accéléré et révélé au grand jour un projet qui se préparait en toute discrétion.

Patricia Scotland Secrétariat général du Commonwealth a déjà dépêché à Libreville deux missions. La dernière a séjourné au Gabon en octobre dernier. Elle avait pour but d’évaluer les éléments fournis dans le dossier de candidature du Gabon.

Signalons qu’une 3ème mission est attendue dans les prochains jours à Libreville. Ali Bongo rêve que son pays devient  membre du Commonwealth d’ici 2022.