Le Ministère public a requis 5 ans de prison ferme contre B .Laccruche pour faux et usage de faux

Brice Lacchruche, ancien Directeur de cabinet du Président Ali Bongo Ondimba, condamné  ce mardi 26 octobre 2021 lors d’un procès en appel, 5 ans de prison ferme et une amende de 5 millions de FCFA, pour faux et usage de faux.
 

Les avocats du prévenu : Me Jean Paul Moumbembe et Me Anges Kevin Nzingou, ont plaidé pour une peine avec sursis, « considérant que leur client avait fait son mea culpa ».

Signalons que, le verdict de cette affaire de faux et usage de faux aux contours, dit-on, politiques selon ses avocats, est attendu le 29 octobre prochain.

Le Tout puissant Laccruche Alihanga est poursuivi par le Ministère public pour avoir en 2004, 2010 et 2012, dit-on, usé de moyens frauduleux pour se faire indûment délivrer des documents administratifs dont le certificat de nationalité.

Rappelons tout de même qu’il est en détention préventive à la prison centrale de Libreville depuis 22 mois pour des faits supposés de détournement des deniers publics et de blanchiment d’argent,  non encore éludés jusqu’ici par la justice gabonaise.

Gabon : Un incident survenu au poste Kv de kinguélé impacte en ce moment la desserte en eau potable et en électricité de Libreville

Le directeur général de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), a annoncé ce matin dans un communiqué parvenu à notre rédaction que, la géante panne d’électricité et d’eau intervenue dans la nuit de dimanche à lundi à Libreville et ses environs est due à un incident survenu au poste 90 Kv du barrage hydroélectrique de Kinguélé.

 

« Un incident survenu hier soir au poste Kv de kinguélé impacte en ce moment la desserte en eau potable et en électricité de Libreville », avoue la SEEG.

Et d’ajoute : « les travaux de réparation sont en cours et la SEEG s’attache à communiquer sur l’évolution de la situation ».

Les librevillois qui ont subi cette coupure sont amères, se sont exprimés sur les réseaux sociaux décrivant une nuit cauchemardesque, un calvaire à cause de la chaleur et des moustiques.

Ce black-out total n’est pas fréquent dans la capitale soumise tout de même à de nombreux délestages depuis plusieurs semaines.

Il faut dire que, le vieillissement des installations qui n’ont pas été renouvelées à l’époque où la société était gérée par le groupe français Véolia, est à la base de cet incident.

 

 

 

Gabon : la DGBFIP relève une masse salariale de 1% dans la fonction publique

Les données compilées par la Direction générale du Budget et des Finances publiques (DGBFIP), révèlent que la masse salariale dans la fonction publique gabonaise a augmenté de 1% nonobstant une diminution des effectifs.

 

 

Il sied de noter qu’Il y a eu entre la période allant de  janvier à juin 2021, 1000 fonctionnaires en moins contre curieusement une augmentation de 1% la masse salariale (hors collectivités locales).

Cette augmentation est estimée à  3,3 milliards de FCFA comparativement au premier semestre 2020 pour se situer à 344,5 milliards de FCFA contre 341,2 milliards de FCFA.

La DGBFIP  estime que cette situation résulte de la hausse de tous les postes de traitements et salaires à savoir, les-poste : Autres (+13,5%), la Main d’Œuvre Non Permanente (+6,6%) et la Solde Permanente (+0,4%).

Rappelons que, la fonction publique gabonaise dispose d’une masse salariale de près de 700 milliards par an pour environ 100 000 fonctionnaires.

Coopération : le président gabonais Ali Bongo est arrivé en Arabie Saoudite

Le président de la République Ali Bongo arrivé dimanche  24 octobre à Riyad en Arabie Saoudite où il prendra part du 26 au 28 octobre 2021, à la 5ème édition du Forum International sur les investissements.

 

Le chef de l’Etat est allé e Arabie saoudite, à l’invitation de Sa Majesté, Salmane Ben Abdelaziz Al Saoud, Roi d’Arabie Saoudite, pour prendre part à la 5ème édition du Forum International sur les investissements.

« Ce déplacement du Chef de l’Etat Gabonais en terre saoudienne, lui permettra également d’échanger avec le Souverain du Royaume d’Arabie Saoudite, Sa Majesté Salmane Ben Abdelaziz Al Saoud. Les deux Chefs d’Etat examineront les liens de coopération bilatérale et multisectorielle qui lient nos deux pays », un communiqué de la présidence de la République.

Placée sous le thème « Investir dans l’humanité », cette rencontre réunira des Chefs d’Etats, des dirigeants d’entreprises, des experts et des innovateurs issus de nombreux pays, et sera l’occasion pour les différents participants, de mener une réflexion commune, sur des solutions novatrices afin de répondre aux défis actuels et relancer les économies mondiales fragilisées par la pandémie de Covid-19.

Rappelons tout de même que, le dernier séjour du président Ali Bongo en Arabie Saoudite remonte à octobre 2018. Le président participait également au Forum International sur les investissements. Durant le séjour, il avait été victime d’un Accident vasculaire cérébral (AVC) qui lui a laissé des séquelles.

Ali Bongo se déplace désormais avec l’appui d’une canne. Le forum de Riyad est sa première participation en présentiel à une rencontre internationale hors du Gabon.

 

 

 

 

 

 

 

Gabon- lutte anti-drogue : des élèves dealers de chanvre interpellés à Libreville

Des agents de la sécurité scolaire du Ministère de l’Éducation nationale  ont mis la main le 20 octobre sur des élèves dealers de chanvre apprenant au lycée Diba-Diba (1er arr. de Libreville) et au CES d’Owendo.

 

Une fois pris la main dans le sac, les indélicats ont été conduits au sein de l’Office central de lutte anti-drogue (OCLAD), une unité spécialisée de la police pour répondre de leur acte répréhensible.

« Je partais au carrefour, c’est là où les agents du lycée qui font la sécurité m’ont interpelé et ils m’ont arrêté, j’avais un contenu dans le carton et un téléphone », a avoué le jeune lycéen  d’une vingtaine d’années conduit au Commissariat de Nzeng-Ayong avec sur lui plusieurs bottes de chanvre indien emmaillotées en petits paquets dans le papier de cahiers scolaires d’une valeur de 500 FCFA chacun.

Même son de cloche  au CES d’Owendo dans la banlieue sud de Libreville, où 3 jeunes ont été pris eux-aussi par les agents de sécurité. Il y avait parmi eux un mineur de classe de 6ème  et deux autres non scolarisés. Ils  ont été saisis avec sur eux une cartouche de chanvre d’une valeur de 12.500 FCFA.

La consommation de drogues et autres stupéfiants en milieu scolaire devient un phénomène grandissant au Gabon. Une problématique qui occasionne des violences récurrentes et parfois des décès.

 

Adhésion du Gabon au Commonwealth : une mission technique d’évaluation du Commonwealth chez Ali Bongo

Le Président de la République, Ali Bongo Ondimba s’est entretenu ce jour au Palais Rénovation avec une délégation de Représentants du Commonwealth conduite par Linford Andrews, Conseiller et Chef de Département Section Appui Electoral à ladite institution.

 

Cette mission technique multisectorielle d’évaluation du Secrétariat du Commonwealth, la deuxième au Gabon, s’inscrit dans le cadre de la candidature d’adhésion du Gabon à cette structure.

Pour rappel, elle fait suite, à la rencontre entre le Président de la République Gabonaise et le Secrétaire Général du Commonwealth, la Baronne Patricia Scotland, au cours de la visite de travail effectuée en mai dernier au Royaume Uni de Grande Bretagne et d’Irlande par le Chef de l’Etat Gabonais.

Notons que cette rencontre entre les deux personnalités a permis de poser les bases d’une collaboration entre le Gabon et le Commonwealth.

Au cours de son séjour au Gabon, la délégation du Commonwealth s’est d’ores et déjà entretenue avec Madame la Première Dame du Gabon, Madame le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, divers membres du Gouvernement ainsi que des Parlementaires.

Elle rencontrera également dans les prochains jours, les Représentants de la Presse nationale et internationale.

L’agenda des représentants du Commonwealth a porté sur :

–              l’évaluation de notre système électoral ;

–              Les questions des droits humains en général ;

–              Les questions de bonne gouvernance.

Ces dossiers sont ceux qui régissent les valeurs propres à ladite Organisation.

A l’issue de l’entretien avec le Président de la République Gabonaise, le Chef de la délégation du Commonwealth s’est réjoui de la qualité des discussions et de la vision du avec le Chef de l’Etat Gabonais sur ces dossiers d’importance.

Source : com présidentielle

 

 

Coopération : Victoire Tomegah Dogbé salue les performances économiques du Gabon

Victoire Tomegah Dogbé, premier ministre togolais, a salué, les performances économiques du Gabon relevant de sa politique de diversification de l’économie en vigueur.

 

«Au cours de cette entrevue, le Premier ministre togolais a salué les performances économiques du Gabon, reposant notamment sur la diversification de l’économie et la création de la valeur ajoutée, d’emplois et de richesses. Appréciant le modèle économique gabonais, elle a relevé que le Togo s’en est inspiré, avec la mise en place d’une plateforme industrielle destinée à la transformation des matières premières et la création d’un écosystème attractif pour les investisseurs », indique le communiqué de la présidence dont une copie est atterrée à la rédaction du journaldugabon.com.

Le premier ministre togolais a, au cours de son échange avec le chef de l’Etat gabonais, transmis les salutations amicales et fraternelles du président Faure Gnassingbé à son homologue et frère Ali Bongo Ondimba, dont indique le communiqué de la présidence.

«la convergence de vues sur les grands sujets de l’heure sur le Continent africain et sur la scène internationale n’est plus à démontrer».

Pour rappel, le Premier ministre togolais Victoire Tomegah Dogbé,  effectue, depuis mercredi à Libreville, une visite de travail et d’amitié à l’invitation de son homologue gabonais Rose Raponda.

 

 

Libreville : Vincent de Paul Massassa a donné le go de la première édition du sommet sur le pétrole et le gaz

Vincent de Paul Massassa ministre gabonais du Pétrole, du gaz et des Hydrocarbures, a donné le go de la première édition du sommet sur le pétrole et le gaz.  L’objectif final  de cet atelier, est de conduire le Gabon vers la transition énergétique.

 

Il sied de noter que, les travaux du sommet tourneront autour de la valorisation du gaz naturel. Le président Ali Bongo, veut mettre un terme au torchage du gaz découvert sur les champs pétroliers pour en faire une source énergétique et économique majeure du pays.

« La priorité au Gabon a toujours été la recherche de l’huile, c’est-à-dire du pétrole. La découverte du gaz a souvent été considérée par les compagnies pétrolières comme un risque », a dit le ministre Massassa.

Et d’ajoute, ce sommet a pour objectif final de réduire le torchage du gaz pour en faire une source de développement économique. « Par la transition énergétique et la monétisation du gaz, l’objectif visé est de réduire notre indépendance sur l’importation des produits finis et amorcer le basculement vers une énergie propre », a affirmé le ministre.

Alice Ouedraogo, Représentante de la Banque mondiale au Gabon, a indiqué que son institution soutient le Gabon dans cette entreprise salvatrice pour les populations ainsi que pour l’environnement.

 

 

Coopération : Victoire Tomegah cheffe du gouvernement togolais en visite au Gabon

La Première ministre du Togo, Victoire Tomegah Dogbé a effectué mercredi une visite de travail et d’amitié au Gabon où elle a eu une longue séance de travail avec son homologue gabonaise, Rose Christiane Ossouka Raponda.

 

« Avec la délégation togolaise, nous avons examiné les opportunités pouvant contribuer au renforcement et à la diversification de la coopération entre nos deux nations. Tout ceci en droite ligne avec la vision et le volontarisme de Leurs Excellences, Messieurs les Présidents Ali Bongo Ondimba et Faure Essozimna Gnassingbé », a dit Mme Ossouka Raponda cheffe du gouvernement gabonais.

Le Gabon et le Togo entretiennent d’excellentes relations de coopération bilatérale. Faure Essozimna Gnassingbé est le chef d’Etat qui a effectué le plus grand nombre de visites au Gabon ces deux dernières années.

Libreville: « Facebook nouveau théâtre des rivalités de pouvoir entre les acteurs politiques au Gabon » (Francis Edgard SIMA)

À l’entame de notre propos du jour, nous tenons à situer les raisons qui nous ont motivées à écrire ce libre propos. Il faut souligner que nous avons suivi au jour le jour, et ce, durant des mois, deux (2) faits majeurs de l’actualité politique du Gabon.

Il s’agit d’une part, la guerre des clans, entre les acteurs politiques Michel Menga M’essone et Alexandre Barro Chambrier, pour réclamer la paternité du parti Rassemblement, héritage et modernité (RHM) ; et d’autre part, l’élection à la présidence de l’Union nationale (UN), entre les deux (2) clans : celui de Madame Paulette Missambo et celui de Paul Marie Gondjout. À cela, Il faut également ajouter les déclarations intempestives de certains acteurs politiques gabonais de la Diaspora, comme ceux résidents au Gabon, qui brillent plus par leur activisme sur Facebook, que par leur présence sur le terrain.

 

Comme nous le savons tous, l’une des caractéristiques de ce siècle est la prédominance sur la scène politique de 《La guerre de l’image》au détriment de la « Guerre des idées » ; on peut d’ailleurs entendre ici et là : « Tu as regardé Facebook depuis le matin ? », « Vas vite sur Facebook », « C’est grave, y’a un nouveau dossier sur Facebook » ; autant d’expressions qui ont pignon sur rue à Libreville, et qui font désormais partie de notre quotidien.

Cela dit, Facebook est à la fois un réseau social (Plateforme de communication et de divertissement), mais aussi, le théâtre des rivalités de pouvoir entre acteurs politiques gabonais. Facebook demeure un instrument de puissance, car avec les réseaux sociaux, nous avons amorcé la transition du siècle, marqué par le passage de « La propagande » à « La Communication d’influence ».

En une fraction de seconde, vous postez une image, une vidéo ou un message et vous êtes suivi à travers le monde entier. Il faut souligner en filigrane, que la présence des acteurs politiques gabonais sur Facebook, était moins importante que les activistes notamment ceux de la Diaspora, il y’a 6 ans.

Aujourd’hui, nous observons que Facebook prend progressivement la place des médias traditionnels (Télévision, radio et presse), en matière d’exclusivité d’information, et jusqu’au point de se positionner comme un média officiel et institutionnel, devenant de ce fait, le canal de diffusion le plus influent à côté de WhatsApp, YouTube et Twitter.

Au Gabon une information, une déclaration ou une bannière publicitaire postée sur Facebook par un acteur politique, aurait plus d’impact sur le plan médiatique que l’organisation d’un meeting, d’une causerie politique ou d’une action sur le terrain. Les Observateurs tout comme les Analystes politiques font l’amer constat que, certains acteurs politiques gabonais se préoccupent beaucoup plus de leur image médiatique et leur positionnement sur les réseaux sociaux au détriment de leur présence réelle sur le terrain.

Au regard de ceux qui précède, nous sommes tentés de nous questionner de la manière suivante : Qu’est-ce qui explique ce changement de paradigme dans la compétition politique au Gabon ? Pourquoi les réseaux sociaux se substituent-ils aux médias traditionnels ? Ce déplacement de la Compétition politique du monde réel au monde virtuel, est-il un simple effet de mode ou une véritable stratégie de communication pour ces acteurs ?

Dans notre Libre propos du jour, nous nous limiterons à poser les jalons d’une réflexion qui fera l’objet d’autres publications. De ce fait, rappelons que les jeunes qui constituent aujourd’hui plus de 60% de la population nationale, quatre (4) sur dix (10) possèdent des smartphones, et sont très présents sur les réseaux sociaux. La génération Android ou Facebook passent plus de temps les yeux sur leurs téléphones portables, et regardent de moins en moins la télévision, de même que la radio, ils ne l’écoutent que très peu.

Il faut le dire en toute objectivité, que communiquer sur Facebook pour certains acteurs politiques gabonais apparaît également à la fois comme un effet de mode et une stratégie de communication. Aujourd’hui, ceux qui sont plus futés font recours au Community manager et aux Conseillers en communication pour gérer de manière professionnelle leur page Facebook, en mettant l’accent sur deux (2) aspects importants, à savoir : le Management de la réputation (Image), et la rédaction du contenu (Texte).

C’est une évidence, tout le monde est connecté sur les réseaux sociaux, jeunes, comme adultes, et même les personnes du troisième âge. Ceci peut expliquer en partie pourquoi les acteurs politiques travaillent à maintenir leur présence sur les réseaux sociaux, au lieu de se rendre sur le terrain comme cela était à la mode dans la décennie 1990.

Par ailleurs, communiquer sur les réseaux sociaux notamment Facebook apparaît également économique : animer un point de presse, faire une déclaration politique dans sa chambre ou son bureau et ensuite le publier sur Facebook en boostant sa page, est moins coûteux, au lieu d’organiser un Point ou une Conférence de presse dans les règles de l’art, c’est-à-dire, en procédant à la location  d’une salle (pour ceux qui n’en disposent pas), et convier toute la presse nationale et internationale, ou encore faire une tournée sur le terrain pour présenter sa vision politique et son projet de société dans le cadre d’une  élection législative par exemple.

Toute compte fait, les acteurs politiques gabonais doivent comprendre qu’ils doivent être capables de gagner la bataille sur les deux (2) fronts, car nous pensons objectivement qu’il faut être présent dans le monde réel (Le terrain), et donc être en contact avec les populations ; mais également dans le monde virtuel (Facebook et autres réseaux sociaux). Ces deux (2) théâtres d’opérations contribuent à construire à la fois votre image, augmenter votre capital sympathie, et surtout, bâtir également votre aura et votre positionnement politique.

Ces derniers doivent se servir du terrain pour poser les actions politique et Facebook pour rendre visible ces actions. Cela dit, Facebook doit tout simplement servir de relai à toutes les actions politiques et non constituer la finalité. Le terrain vous rendra crédible et vous donnera une certaine notoriété. Ce qui nous amène à affirmer qu’être présent uniquement sur les réseaux sociaux (Facebook), sans aucune présence sur le terrain ne fera jamais de vous un acteur politique majeur et influent, au contraire, on vous classera dans la catégorie des populistes, des plaisantins et des personnes peu crédibles.

En sus, faire des grandes déclarations sur Facebook c’est bien, mais être présent sur le terrain c’est encore mieux, car les populations de l’intérieur du pays vivent leurs réalités qui n’ont malheureusement rien à voir avec Facebook. Et comme nous le soulignions pendant les élections couplées Locales et Législatives de 2018 : « Aucune élection ne se gagne sur Facebook » ; et, pour conclure notre analyse du jour, nous rajoutons ce qui suit : « Le véritable théâtre de rivalité de pouvoir pour les acteurs politiques gabonais est, et demeurera le terrain ».

Par Francis Edgard SIMA MBA, Géopolitologue/Géostratège. Analyste politique. Consultant international MCCA. Expert Stratégie/Prospective et Communication politique.