Gabon : un mort dans un accident de moto à Tchinbanga

L’accident de circulation a eu lieu mercredi 03 août 2022, sur la route qui relie Dikoutou et Peygnoudou à 32 km de Tchinbanga.

 

Le nommé SÉVERIN Mapangou, un jeune instituteur, a perdu sa vie au cours d’un accident de circulation mercredi 03 août 2022, alors qu’il se rendait au village Peygnoudou.

Selon le journal de de nos confrère de l’Union, il a quitté Dikoutou tôt, pour rallier le regroupement de village Peygnoudou t en chemin il a perdu le contrôle de sa moto et s’est retrouvé dans un caniveau.

Les accidents de circulations deviennent de plus en plus récurrents au Gabon. Rappelons que, lundi 1er août 2022, un accident de circulation a également eu lieu au PK 19, sur la Nationale 1, faisant ainsi deux morts et plusieurs blessés.

Allaitement maternel : Un droit pour les bébés

Le monde célèbre du 1er au 7 août, la semaine mondiale de l’allaitement maternel. Si l’idée est de soutenir, encourager et protéger l’allaitement maternel, cette année le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) appellent les gouvernements à allouer plus de ressources à la protection, à la promotion et au soutien des politiques et des programmes en faveur de l’allaitement maternel. Les sages-femmes parlent d’un droit pour les bébés.

 

Depuis le 1er août, le monde commémore la semaine mondiale de l’allaitement maternel jusqu’au 7 août. L’idée est de soutenir, encourager et protéger l’allaitement maternel. À l’occasion de l’édition 2022 qui a pour thème «Go pour l’allaitement ! Éduquer, promouvoir, soutenir», le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) appellent les gouvernements à allouer davantage de ressources à la protection, la promotion et au soutien des politiques et des programmes en faveur de l’allaitement maternel. «En particulier pour les familles les plus vulnérables vivant dans des contextes d’urgence», estiment les deux organisations.

Selon elles, le lait maternel est le premier vaccin des nourrissons tant il les protège des maladies infantiles courantes. «En raison du stress émotionnel, du manque d’espace et d’intimité et des mauvaises conditions d’assainissement auxquels sont confrontées les mères, de nombreux enfants sont privés des bienfaits de l’allaitement maternel qui leur permettraient de survivre», notent les deux organisations. Elles relèvent que moins de la moitié des nouveau-nés sont allaités au sein durant leur première heure de vie, ce qui les exposerait au risque de maladie et de décès. «Seuls 44 % des nourrissons sont exclusivement allaités au sein pendant les six premiers mois de leur vie», soulignent-elles.

Le lait maternel incontournable pour le nourrisson

Si elles assurent que ce chiffre est en deçà de l’objectif de 50% à l’horizon 2025 fixé par l’Assemblée mondiale de la Santé, au Gabon les sages-femmes notent beaucoup de résistances chez les accouchées. «Certaines jeunes mères refusent catégoriquement de donner le sein à leurs bébés, alors que l’allaitement maternel est un droit de l’enfant. L’enfant a le droit d’être allaité par sa mère lorsque celle-ci ne présente aucun inconvénient», a déclaré l’une d’entre elles. Pour l’Unicef et l’OMS, il est important de protéger, promouvoir et soutenir l’allaitement maternel «en tant que système alimentaire durable et naturel par excellence».

Elles recommandent entre autres, d’investir en priorité dans les politiques et les programmes favorisant l’allaitement maternel ; protéger les personnes s’occupant d’enfants et les professionnels de santé des techniques d’influence marketing peu scrupuleuses employées par le secteur des préparations pour nourrissons en adoptant et en mettant pleinement en œuvre le Code international de commercialisation des substituts du lait maternel ; mettre en œuvre des politiques favorables à la famille qui permettent aux mères de disposer du temps, de l’espace et du soutien dont elles ont besoin pour allaiter.

Source: Gabon Review

Gabon-fête du 17 août : le président Macky Sall attendu à Libreville

Le chef de l’Etat du Sénégal est attendu au Gabon,  pour assister à la célébration du 62ème anniversaire de l’ascension du Gabon à la souveraineté internationale.

 

Le président Macky Sall vient de confirmer sa présence au Gabon, pour assister son homologue Ali Bongo Ondimba, à  l’occasion du 62ème anniversaire de l’ascension du Gabon à la souveraineté internationale, qui aura lieu le 17 août 2022.

La fête qui aura lieu cette année au boulevard de l’indépendance en présence du public sera marquée par de nombreux invités. Plusieurs activités seront prévues à cet effet, notamment  une grande parade militaire contrairement aux deux dernières années pendant lesquelles la célébration avait lieu au palais en raison de la pandémie du Covid-19.

Rappelons que les répétitions du défilé pour cette occasion, se poursuivent dans la ville. L’assainissement du boulevard et de quelques  points de  la ville se font en ce moment  car, le gouvernement souhaite avoir une plus belle célébration, contrairement aux années précédentes.

Gabon : 18 agents de police incarcérés en 2021

Le ministre de l’intérieur Lambert Noël Matha, l’a rappelé hier mercredi 03 août 2022, lors d’un rassemblement tenu avec les agents de police nationale du Gabon en prélude au 62ème anniversaire de l’accession du Gabon à l’Indépendance.

 

C’est dans l’optique de sensibiliser la police nationale sur divers actes irrépréhensibles qu’ils posent et de les remobiliser autour des valeurs cardinales,  que ce rassemblement a eu lieu mercredi à l’école de formation de police à Owendo près de Libreville.

En effet, le ministre de l’intérieur Lambert Noël Matha, a voulu rappeler à l’ordre les agents de police, motivés par l’appât du gain, ternissant l’image de toute la corporation. Dans son discours, il a rappelé qu’, « Au terme de l’année 2021, les établissements carcéraux sur l’ensemble du territoire national comptaient 18 policiers, dont 16 en détention provisoires et 2 condamnés ».

Il interpelle chacun d’entre eux à faire preuve de responsabilité « Ces faits, que j’évoque avec désolation, sont bien connus de vous et devraient interpeller au plus haut point, chaque policier à reconsidérer ses voies, en réintégrant le champ de l’exemplarité et de la dignité que confèrent le Corps auquel vous appartenez », conseille-t-il.

Pour finir, le ministre a recommandé aux patrons des différentes unités de faire recours au statut général de la police pour réprimer sévèrement les cas de « désertion, d’absences prolongées et injustifiées, de détournement de fonds, de racket, d’extorsion et de tout chef d’infraction au détriment des usagers ».

Signature d’une convention de partenariat entre le Gabon et le Rwanda

L’Agence nationale pour la promotion des investissements (ANPI), du Gabon dans son projet d’investir dans plusieurs domaines comme l’agriculture et la manufacture vient de signer un accord avec la société Rwanda Development Board (RDB) du Rwanda.

 

Renforcer la coopération entre le Gabon et le Rwanda en matière d’investissement reste l’un des objectifs majeurs de cet accord,  qui vient de voir le jour. En effet, c’est une nouvelle convention qui va permettre de faciliter l’engagement des entreprises gabonaises et rwandaises, exerçants dans les secteurs clés tels que l’agriculture et la manufacture.

Le directeur de Rwanda Development Board (RDB), un département gouvernemental rwandais qui permet  la facilitation des investissements dans l’économie nationale, souhaite avec l’ANPI favoriser l’échange d’informations et le renforcement des capacités des personnels dans la promotion des investissements

Rappelons que, L’ANPI qui est l’Agence Nationale de Promotion des investissements du Gabon (ANPI) a été créé comme un Guichet Unique, pour accompagner l’investisseur et faciliter ses démarches. Elle est la porte d’entrée et la plateforme d’accompagnement des investisseurs au Gabon et a pour différentes missions La Promotion des investissements, la Promotion des Exportations, la Promotion de l’Entreprenariat, le Dialogue Public-Privé, la Formalisation et le Développement des entreprises.

Gabon : une convention sur la non-violence organisée à Libreville

La plateforme d’échange de réflexion et de consultation citoyenne pour la jeunesse (Percij), va organiser du 8 au 9 août prochain,  une convention sur la non-violence au palais Léon Mba, afin de sensibiliser les populations sur les violences post-électorales.

 

Les échéances électorales approchent au Gabon, le percij dans son ambition de lutter contre les violences au Gabon,  entend organiser en partenariat avec le conseil national de la jeunesse, la société civile et les jeunes issus des partis politiques du Gabon une convention pour lutter contre la violence après les élections.

En effet, cette convention aura pour but de, prévenir certains maux les violences postélectorales. Le Coordinateur Général,  Samson Kombila Boubala, a d’ailleurs expliqué vendredi, sur le Site Gabon Actu,  lors d’une réunion préparatoire à cette convention que, « Nous pensons que dans la sensibilisation, dans la communication nous pouvons faire en sorte que 2023 ne soit pas 2016 en matière de violence, en matière de magnitude de violence », a indiqué le Coordinateur Général, Samson Kombila Boubala.

Les responsables jeunes des partis politiques, des organisations de la société civile, des confessions religieuses, les acteurs culturels, sont dont invités à prendre part à cette convention afin d’être des messagers porteurs de paix dans la communauté et  mieux préparer les prochaines échéances électorales

VIH /SIDA : Le Gabon adhère à l’initiative Education Plus

L’État gabonais, s’est récemment engagé à soutenir l’initiative Education Plus portée par l’ensemble du système des Nations unies, pour éliminer les infections au VIH en maintenant davantage de jeunes filles dans l’éducation jusqu’à la fin de l’enseignement secondaire.

 

Maintenir les filles à l’école secondaire et leur fournir des compétences pratiques, une formation et des opportunités d’emploi sont essentiels pour mettre fin à la pandémie de sida en Afrique. Tel est l’objectif du programme du système des Nations unies baptisé «Education Plus» d’ici à 2025, auquel le Gabon a souscrit au sommet de l’Union africaine (UA) à Lusaka, en Zambie, le 18 juillet dernier.

«Éducation Plus » appelle à une éducation secondaire gratuite et de qualité pour toutes les filles et tous les garçons en Afrique subsaharienne d’ici 2025 ; l’accès universel à une éducation sexuelle complète ; la réalisation de la santé et des droits sexuels et reproductifs ; l’absence de violence sexiste et sexuelle ; les transitions de l’école au travail, et la sécurité économique et l’autonomisation.

En tant que programme d’action fondé sur les droits et tenant compte du genre, l’initiative «Education Plus» cible l’Afrique subsaharienne, où les adolescentes et les jeunes femmes âgées de 15 à 24 ans représentaient un quart (24%) de tous les nouveaux cas de VIH en 2019, tout en constituant 10% de la population. Selon le Groupe des Nations unies pour le développement durable, la recherche montre que s’assurer que les filles terminent leurs études secondaires, réduit de moitié leur risque de contracter le VIH, et que combiner cela avec un ensemble de services et de droits pour l’autonomisation des filles réduit encore leur risque.

Education Plus fait partie d’un effort mondial de lutte contre le VIH/SIDA. Dix pays africains : Bénin, Cameroun, Eswatini, Gabon, Gambie, Lesotho, Malawi, Sierra Leone, Afrique du Sud et Ouganda se sont jusqu’à présent engagés dans l’initiative qui est convoquée conjointement par cinq agences des Nations unies, Onusida, Unesco, UNFPA, Unicef et ONU Femmes, et rassemble les gouvernements, la société civile et les partenaires internationaux.

Source: Gabon Review

Gabon : un incendie ravage cinq domiciles à Port-Gentil

L’incendie s’est déclaré mardi 02 août 2022, au quartier trois métisses,  situé dans l’arrondissement de Port-Gentil et a provoqué de nombreux dégâts matériels.

 

 

Triste nouvelle pour les habitants de ce quartier qui ont vu leurs domiciles consumés par les flammes. Le site Gabon Actu rapporte que, ce violent incendie a consumé sur son passage, une demi-douzaine de maisons. Selon Alice, une ressortissante Togolaise, vivant sur le lieu du drame depuis 30 ans, c’est quand elle installait son linge pas très loin de là, qu’elle a été interrompue dans son élan par sa voisine qui détenait un bistrot à proximité. Elle de lui dire « maman Alice, regarde y’a le feu ».

C’est alors que les deux dames sont allées promptement vers  où elles ont aperçu le feu. Des flammes  avaient déjà brûlé deux habitations dans un laps de temps. Le temps qu’elle et sa voisine tentent de récupérer les effets dans leurs demeures respectives, les flammes leur avaient pris au piège. Criant au secours, c’est par le courage des personnes de bonne volonté, qu’elles ont été sorties de cet enfer.

« Le feu est quitté de derrière pour venir chez moi. Tout est fait en bois. On ne s’est pas ce qui s’est passé là-bas. Même pour nous avertir que y’a le feu, rien ! J’ai essayé de vite prendre des effets, mais rien j’ai été coincée là-bas, j’ai tout laissé », a déclaré une  commerçante victime de ce terrible incident.

Il faut dire que, la propagation des flammes d’une manière infernales résulte du fait que les maisons qui ont brûlé, ont toutes été construites en planches accompagnés de quelques matériaux de récupération. Ce qui a conduit à réduit en quelques minutes cinq maisons sans rien laisser. Un tel incendie n’est pas le premier du genre dans la capitale économique. Ce dernier accompagné de quelques rafales de vent, a été d’une cruauté déconcertante.

Les causes de cet incendie ne sont pas encore déterminées. Pour l’heure, les sapeurs-pompiers sont aussitôt arrivés afin de stopper les flammes pour éviter qu’elles se propagent dans toutes les maisons.

Gabon : audience entre le chef de l’Etat et la première ministre

Rose Christiane Raponda a rencontré le chef de l’Etat ce lundi 1er août 2022, pour lui faire un compte-rendu, au sujet de sa participation au sommet des chefs de l’Etat de la CEEAC et au 2ème sommet du MAEP.

 

Après avoir assisté le 25 juillet dernier au Congo à la 21ème session des chefs d’Etat et de gouvernement de la CEEAC (Communauté économique des Etats de l’Afrique Centrale), la première ministre est venue rendre compte au chef de l’Etat. En effet, elle a expliqué qu’«Il s’est agi, au cours de ce sommet, d’examiner le fonctionnement de cette institution communautaire et la mise en œuvre des politiques publiques mises en place par les différents chefs d’État de notre sous-région», explique-t-elle.

Quelques jours après cette conférence, Rose Christiane Raponda a assisté également au 2e sommet spécial du forum des chefs d’État et de gouvernement du Mécanisme africain d’évaluation par les pairs (MAEP). A cette réunion qu’elle a laquelle elle a assisté par visio-conférence, il était question pour le Gabon de de réaffirmer son engagement en matière de démocratie, de bonne gouvernance, de l’État de droit et de protection de l’environnement. A-t-elle évoqué.

En dehors de ces sujets majeurs, plusieurs d’autres concernant les affaires socioéconomiques du pays, ont fait l’objet de l’entretien entre le chef de l’Etat et la première ministre.