Gabon : Ali Bongo félicite «le loyalisme et le professionnalisme» des Forces de défense

Le chef de l’État  Ali Bongo s’est rendu, le 28 novembre, à la caserne du Camp N’Tchoréré à Libreville. Il y a célébré, en différé, avec les différents corps de la Défense nationale la Sainte-barbe, patronne des Sapeurs-pompiers.

Le président de la République en a profité à cette occasion pour féliciter «le loyalisme et le professionnalisme» de ces corps.

Le 28 décembre, à 72 heures de la nouvelle année, Ali Bongo a été l’invité des éléments de la Défense nationale avec lesquels il a célébré, en différé, la Sainte-barbe, au camp N’Tchoréré à Libreville.

À la place d’armes de ce camp, la première caserne du pays, devant les différents corps représentant la Défense (Armée de l’air, Armée de terre, Santé militaire, Génie militaire, Garde républicaine, Sapeur-pompier), le ministre de la Défense, Rose Christiane Ossouka Raponda, a accueilli le chef de l’État avec ces mots apaisants : «les militaires sont là et contents de vous revoir».

S’adressant à son tour aux forces de Défense, Ali Bongo a rappelé son attachement à la grande muette : «nommé ministre de la Défense nationale au cours de l’année 1999, puis ayant accédé à la magistrature suprême de notre pays en 2009, la construction d’une Armée en ‘’OR’’, c’est-à-dire, “Opérationnelle” et “Républicaine”, a toujours été l’une de mes principales et constantes priorités». Il a dit attacher du prix à «la grande famille militaire» en exprimant tout son plaisir d’être devant eux.

 

Libreville : les Chefs d’État et de gouvernement valident la réforme de la CEEAC

Les chefs d’État de la Communauté économique et des États de l’Afrique centrale (CEEAC), réunis à Libreville, le 18 décembre, dans le cadre de leur 9e sommet, ont validé à l’unanimité le projet de réforme institutionnelle de cette communauté.

Réunis dans le cadre de la 9e session extraordinaire, les chefs d’Etat et de gouvernement de la CEEAC, ont adopté à l’unanimité, les nouvelles réformes institutionnelles de cette communauté.  Ce sont cinq nouveaux instruments juridiques qui ont été validés dans le but de redynamiser l’organisation sous régionale pour mieux affiner son intégration régionale et continentale.

A la suite du Conseil des ministres qui a clos ses travaux la veille, les chefs d’Etat et de gouvernement ont pris le relais. Au palais présidentiel, autour d’Ali Bongo, président en exercice de la Communauté, Félix Tshisékédi de la République démocratique du Congo (RDC), Evaristo Carvalho de Sao-Tomé et Principe, Faustin Archange Touadera de la République Centrafricaine (RCA), d’Idriss Deby Itno du Tchad, mais aussi les Premiers ministres et des ministres des Affaires étrangères des autres pays membres ont apposé leurs signatures aux documents finalisés.

Ils ont examiné et entériné le projet de protocole du Traité instituant la Commission de la CEEAC, le projet du Conseil de paix et sécurité de l’Afrique centrale (Copax), le projet de Règlement financier, le projet de cadre organique et le projet du Statut du personnel révisé de la Communauté.

 

Sommet de la CEEAC : les chefs d’État et de gouvernement se concertent à Libreville

Le chef de l’État Ali Bongo a ouvert le 18 décembre dernier, à Libreville, le 9e Sommet extraordinaire des chefs d’État et de gouvernement de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC).

Cette rencontre sous régionale de la CEEAC, vise une véritable réforme institutionnelle de cette communauté en vue de l’intégration économique, politique et sociale d’une zone présentée comme le maillon faible de l’intégration sur le continent.  

Les chefs d’État et de gouvernement de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) ont tenu,  jeudi 18 décembre 2019 à Libreville, leurs travaux sur la réforme de l’institution. Ils ont examiné le projet de protocole du Traité instituant la Commission de la CEEAC, le projet du Conseil de paix et sécurité de l’Afrique centrale (Copax), le projet de Règlement financier, le projet de cadre organique et le projet du Statut du personnel révisé de la Communauté.

En ouvrant les travaux, Ali Bongo s’est réjoui de la présence de ses homologues, tout en exprimant son sentiment de satisfaction et de confiance en ses pairs.

Présent à cette rencontre,  les présidents Félix Tshisékédi de la République démocratique du Congo (RDC), Faustin Archanges Touadéra de la République centrafricaine (RCA), Idriss Déby Itno du Tchad, Evaristo Carvalho de Sao Tomé et Principe, ont répondu à l’invitation du président gabonais. Les autres dirigeants de la région ont été représentés soit par les ministres des Affaires étrangères, soit par les Premiers ministres.

 

Gabon : Cinq chefs d’État sur onze au sommet de CEEAC à Libreville

Cinq chefs d’État sur onze pays membres de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC), participent ce mercredi au sommet de l’institution d’intégration régionale à Libreville.

Les quatre chefs d’État qui sont venus se joindre au président gabonais, Ali Bongo Ondimba sont Félix Tshisekedi (République démocratique du Congo), Idriss Déby Itno (Tchad), Faustin Archange Touadera (Centrafique), Evaristo Carvalho (Sao Tome et Principe).

Les six autres pays sont représentés par un Premier ministre ou un membre du gouvernement.

Le 9ème sommet extraordinaire de la CEEAC a pour but de valider les réformes de l’institution initiées depuis 2015 et conduites sous la houlette du président gabonais, Ali Bongo Ondimba, président en exercice de l’institution.

Les réformes porteront notamment sur le projet de Protocole du Traité instituant la Commission de la CEEAC ; le projet du Conseil de paix et de sécurité de l’Afrique centrale (COPAX) ; le projet de Règlement financier ; le projet de cadre organique et le projet du Statut du personnel révisé de la Communauté.

Rappelons tout de même que, tous ces documents ont déjà été soumis à tous les chefs d’Etat des pays membres à l’occasion d’une tournée régionale menée par Alain Claude Bilie By Nze en compagnie du Secrétaire général de la CEEAC, Ahmad Allam-Mi.

 

952 produits impropres à la consommation saisis à Libreville

Une mission de contrôle de routine effectuée par les agents de la mairie de Libreville, notamment dans le 2e arrondissement, au quartier dit Cocotiers, a conduit, entre le 11 et le 12 novembre, à la saisi de près de 1000 produits périmés et avariés, impropres à la consommation.

Menée du 11 au 12 novembre dans le 2e arrondissement de Libreville, l’opération de contrôle de routine au quartier dit Cocotiers, faite par les agents de l’Inspection générale municipale de l’hôtel de ville, a permis de saisir plus de 952 produits divers périmés et avariés, selon les chiffres de la Mairie.

L’opération a permis la saisie de produits alimentaires de grande consommation (lait, sucre, tomates, jus de fruit, biscuit, etc.) Des produits cosmétiques ont également été saisis. Selon les agents de la mairie, la date de péremption de ces produits était déjà dépassée de trois mois, voire plus.

Face à la gravité des faits, le Secrétaire général de la Fédération des commerçants, Mamadou Manga, n’a pas manqué de rappeler à l’ordre l’ensemble des commerçants à plus de rigueur dans la gestion de leurs stocks. «Il arrive souvent que sur un carton vous trouviez une certaine date, mais qu’en l’ouvrant une autre date figure sur le fond du produit. J’accuse les grossistes, ce sont eux qui font en effet venir des conteneurs sans pouvoir écouler toutes les marchandises au cours de l’année», a indiqué Mamadou Manga.

Après cette saisie, la mairie a indiqué que ce stock va être déposé au parquet de la République pour l’application des dispositions légales face à ce genre d’acte. De même, les dossiers des accusés y ont été transférés pour jugement.

Source: Gabon Review

Santé: Max Limoukou tente une opération de réanimation

Après l’échec de la task-force sur la santé, qui a été rejetée par le premier Ministre, le ministre de la Santé essaye de rappeler ses médecins à l’ordre.

Max Limoukou, ministre de la santé, a pris en compte l’ampleur des problèmes que rencontre les hôpitaux du pays le weekend dernier. Il s’est en effet rendu au Centre hospitalier universitaire de Libreville (CHUL) et au Centre hospitalier universitaire d’Owendo (CHUO).

Dans le premier centre, l’ancien Directeur général du CHUL et chirurgien praticien dans le même hôpital, Max Limoukou a demandé à ses « collègues », un peu plus d’humanisme. Un point principal relevé par le premier ministre très en colère lors du bilan de la Task-force sur la santé.

Les problèmes qui ont été soulevés par le personnel hospitalier proviennent pour la plupart du mauvais état des équipements:  Le manque du budget de fonctionnement, le manque d’entretien des équipements médicaux souvent en panne, l’absence de pharmacies achalandées pour permettre au personnel de s’équiper en gants, seringues, alcool et autres produits et outils de première nécessité… etc.

A Owendo, l’échange a été très riche. Le personnel n’a pas manqué  de signifier son exaspération face à l’acharnement de la presse contre eux. « Il était important que le ministre de la Santé s’entretienne avec les différentes équipes pour leur remonter le moral et les rassurer. Certes, M. Limoukou a tenu à recadrer les choses, mais le personnel du CHUO a pu s’exprimer, dire ce qu’il avait sur le cœur », a indiqué le directeur général du CHUO, Elise Eyang Obame.

De son côté, le ministre a particulièrement insisté sur le service d’accueil des malades qui laisse a désirer et provoque souvent de nombreux problèmes. Espérons que cette tournée permettra de rétablir les lettres de noblesse de la profession effritées en cette période.

Téléphonie Mobile: La 5G arrive

Le projet expérimental de la 5G est imminent au Gabon, au vue de la rencontre entre le patron de l’Arcep et du président de la République ce 05 novembre.

Le Gabon prévoit un événement d’envergure dans la sous-région. Le déploiement de la technologie 5G qui permet de naviguer avec un smartphone à la vitesse de 10 Gigabits par seconde. Une explication de Lin Mombo, président du conseil de l’Arcep. Ce dernier a présenté le projet au Président de la république ce mardi 05 novembre 2019.

Ce n’est qu’une phase expérimentale qui concerne certaines zones de Libreville. Dans les tiroirs du régulateur depuis plus d’un an, le projet de déploiement de la 5G au Gabon commencera par Libreville, précisément à l’hypermarché Mbolo (Géant Casino), au quartier La Sablière et dans la zone du Bâtiment interministériel au centre-ville.

Contrôles et amendes dans les marchés: les commerçants appellent le Premier Ministre a intervenir

Les contrôles menés par des équipes municipales et assortis de fortes amendes allant de 400 à 600 000 francs CFA exaspèrent les commerçants. Ils en appellent à l’intervention du premier ministre pour  réguler cette situation.

Trois jours de grèves ont été observés dans les commerces et échoppes de Libreville. Ils ont fermé pour dénoncer les équipes municipales qui font des contrôles intempestifs. Selon les témoignages des vendeurs, « des amendes exorbitantes et injustifiées leur sont infligées. Celles-ci varient de 400 à 600 000 francs CFA ». Les commerçants affirment pourtant s’être acquittés de toutes les taxes afférentes à l’exercice de l’activité en début d’année.

Ne pouvant plus supporter cette situation, les commerçants ont sollicité, par le biais de l’Union syndicale des acteurs du commerce, l’intervention du Premier ministre et du ministre de l’Intérieur pour mettre fin à ce qu’ils assimilent à une «arnaque savamment orchestrée» par les équipes de Léandre Zue. Si rien n’est fait la grève précédemment engagée deviendra plus sérieuse.

Projet Routier : Feu vert pour la Transgabonaise

C’est le conseil des ministres de ce 02 octobre 2019 qui a mis en marche la machine, pour le projet routier de la transgabonaise.

Le rapport final du conseil des ministres énonce clairement: « Le Ministre (de la Promotion des investissements et des Partenariats publics-privés, Jean-Fidèle Otandault, NDLR), a sollicité et obtenu du Conseil des Ministres l’Autorisation de lancer le processus de négociation directe et de signature du contrat de partenariat public-privé relatif au projet routier « La Transgabonaise », conformément aux dispositions de l’article 49 de l’Ordonnance n°009/PR du 11 février 2016 relative aux partenariats public-privés ». Un texte qui permet ainsi d’espérer à la réalisation de ce grand projet, qui aurait dû débuter depuis le mois de septembre.

Le projet va pouvoir désenclaver l’arrière-pays, une grande route reliant l’Ouest à l’Est du pays. 780 km de Libreville à Franceville. En faisant recours au partenariat Public-Privé (PPP), le projet ne puisera pas dans les caisses de l’Etat, il n’y aura pas d’emprunts. Depuis le mois d’Août le gouvernement avait annoncé que le financement de ce projet était bouclé.

Transport Aérien: Air Burkina va desservir le Gabon

La compagnie aérienne du Burkina Faso va désormais atterrir au Gabon. Un accord commercial a été signé entre les deux pays ce 25 septembre 2019.

C’est à Montréal que, Arthur Nkoumou Delaunay (Gabon) et Azakaria Traoré (Burkina Faso) ont paraphé un nouvel accord aérien. Cette première rencontre ouvre la porte à une signature officielle par les autorités de tutelle respectives des deux pays.

Air Burkina, l’une des plus anciennes compagnies aériennes encore en activité en Afrique de l’Ouest, avec moins de 160 000 passagers par an, veut grâce à cet accord, s’ouvrir vers un nouveau marché, notamment celui de l’Afrique Centrale. Libreville vient ainsi s’ajouter aux destinations de la compagnie.

 

Gestion de l’Etat: Ali Bongo de retour aux affaires

Après son retour cette semaine au Gabon, le Président de la République est au four et au moulin. Entre audience et voyage, Ali Bongo à l’air en santé et le fait bien savoir.

Le Président Ali Bongo a reçu en audience, ce 26 septembre 2019, Abdulrahman Salam S. Aldahas, l’ambassadeur du royaume d’Arabie saoudite près la République gabonaise. L’échange entre les deux hommes a permis de se féliciter des bons rapports entre les deux nations. La Communication présidentielle indique également qu’Ali Bongo et le diplomate saoudien ont examiné les grands sujets d’intérêt commun au plan international.

Proche de cet action significatif, le Président a été annoncé à Franceville ce vendredi 27 septembre. Selon la radio publique Radio Gabon, Ali Bongo doit se rendre dans la capitale du haut-Ogooué qui est d’ailleurs, son fief politique, mais son agenda n’a pas été dévoilé.

Suite à son AVC d’octobre 2018, le Président est de retour à Libreville après un mois de soins à Londres. En début de semaine, il a participé à la cérémonie solennelle de prestation de serment des juges à la cour constitutionnelle, et semble continuez ainsi ses actions à travers le pays. Le Président est de retour!

Communiqué de la SEEG: Perturbation de la fourniture d’eau à Libreville

COMMUNIQUE DE PRESSE

Perturbations dans la desserte en eau potable de Libreville et ses environs

Libreville, le 22 septembre 2019- La Société d’Energie et d’Eau du Gabon informe sa clientèle de Libreville et ses environs des perturbations dans l’approvisionnement en eau potable.

Ces perturbations, ressenties par une partie de la clientèle s’expliquent par la conjugaison de deux facteurs qui sont :

  • Un déficit structurel de nos capacités de production entre l’offre et la demande (offre : 230 000 m3/J, demande : 300 000 m3/J, déficit : 70 000 m3/J) ;
  • Un déficit conjoncturel dû à l’étiage, un phénomène climatique naturel qui de manière saisonnière, entraine une diminution de nos capacités de production, la faisant passer de 230 000 m3/J à une moyenne 200 000 m3/J.

Nos équipes techniques spécialisées en eau sont mobilisées au quotidien pour optimiser la desserte dans l’attente du retour quelques peu tardif des pluies.

Par ailleurs, dans le cadre du projet de renforcement CIM GABON 2, des efforts importants sont déployés par la SEEG sous l’impulsion du Ministère des Mines, de l’Energie et des Ressources Hydrauliques pour accélérer la mise en service de cette usine de traitement d’eau potable qui devrait apporter une capacité supplémentaire de 36 000 m3/J à l’horizon de janvier 2020.

La SEEG remercie sa clientèle pour sa bonne compréhension.

La Direction de la Communication & de la Responsabilité Sociétale

Transport terrestre à partir de Libreville: Le prix du voyage en hausse

La municipalité de Libreville a décidé de prélever une taxe sur chaque billets de transport pour les voyages allant de Libreville vers les autres villes du Gabon.

Partir de Libreville pour l’intérieur du pays revient désormais plus cher. Depuis quelques jours, en effet, les voyageurs sont contraints de payer 500 francs CFA en plus, sans compter les frais liés au nombre ou au poids de leurs bagages. Pour chaque tonne de marchandise, les sociétés de transports sont quant à elles tenues de payer 1000 francs. Selon le site Gabon Review, à l’agence Major Transport au PK 7 ou à Transporteur Voyages à l’ancienne gare routière, l’on assure que «c’est la loi».

Cette situation n’est pourtant pas facile à digérer pour les agences, avec la forte concurrence des clandos. Les voyageurs non plus ne se voient pas débourser bien plus.

Pourtant, à l’Hôtel de Ville, l’on soutient que si elle est utile à l’amélioration du cadre de vie des Librevillois, la «Taxe sur passagers», qui est également prélevée dans le transport maritime et fluvial, est légale. Elle est conforme à la loi des finances rectificative de 2009 et aux différents conseils municipaux tenus ces dernières années, jusqu’à celui de juillet 2019 avec à sa tête Léandre Nzué.

Recouvrement des taxes: L’hôtel de ville de Port-Gentil en campagne de collecte

Gabriel Tchango a officiellement lancé, le 2 septembre 2019, l’opération de recouvrement des taxes municipales et des patentes.

L’hôtel de ville de Libreville lance une vaste campagne qui permettra de collecter auprès des commerçants la taxe sur l’emplacement fixe, la taxe sur la propreté, la taxe sur la nuisance sonore, la taxe sur l’environnement, et l’ISL (impôt synthétique et libératoire).

Selon Gabon Review, l’opération qui est prévue durer six semaines sera menée sur le terrain par six équipes composées d’agents municipaux, d’un agent du Trésor public et d’un autre de la direction générale des Impôts en service dans la province de l’Ogooué-Maritime.

Le but de celle-ci est d’optimiser les ressources de l’Hôtel de Ville, dont les projets sont aussi nombreux qu’ambitieux. À l’Hôtel de Ville, l’on assure que les retards de paiement des taxes et impôts par les opérateurs économiques pénalisent considérablement les finances municipales et retardent ou empêchent la réalisation de certains projets d’utilité commune.

Samuel L. Jackson débarque à Libreville ce mardi

L’acteur de cinéma américain posera ses valises à Libreville ce mardi 23 juillet 2019.

Le ministère de la Culture, des Sports chargé de la jeunesse et de la vie associative Franck Nguéma, accueillera l’acteur et producteur américain et militant des droits de l’Homme M. Samuel Leroy Jackson.

Selon le ministère de la Culture, cette visite s’inscrit d’une part, dans le cadre du tournage d’un épisode intitulé «Origines» du film documentaire «Enslaved : The Slave Trade as told from the Ocean Floor», présenté par l’acteur américain. Et d’autre part dans le but de renouer avec ses origines. «En effet, à la suite d’un test ADN, M. Jackson a découvert que ses ancêtres seraient des Benga. Son déplacement dans notre pays est donc une occasion pour lui de renouer avec ses liens ancestraux», explique le communiqué de presse.

Le programme de la star hollywoodienne s’annonce chargé. Il séjournera dans le parc national de Loango pour une traversée le long des voies navigables de la forêt d’Akaka, lieu symbolisant la dernière étape du voyage des esclaves. Il prendra également part à une expédition archéologique en lien avec le commerce des esclaves. Enfin, M. Samuel L. Jackson sera reçu en audience par les ministres de la Culture, M. Franck Nguema, de l’Environnement, M. Lee White et du Commerce, M. Jean-Marie Ogandaga.

Villes les plus chères d’Afrique : Libreville classée 4e

Selon un classement de plus de 200 pays commis par le cabinet Mercer, Libreville se hisse à la 3e place des villes les plus chères d’Afrique.

Le cabinet américain Mercer a publié sa 25ème enquête annuelle relative au classement des villes les plus chères pour les expatriés dans le monde. En 2019, sur un total de 209 villes, 42 sont africaines.

Selon cette enquête, la ville la plus chère du top 10 africain est Ndjamena, la capitale du Tchad, occupant la 11ème place au plan mondial. En seconde position, vient la ville de Victoria (Seychelles suivie par Kinshasa (RDC) et Libreville (Gabon).

L’étude a tenu compte de plusieurs critères dont, notamment, le coût du logement, du transport, de l’alimentation, de l’habillement, des articles ménagers et le divertissement dans les villes étudiées.

 

Un accident de la circulation fait 5 morts à Libreville

Deux véhicules seraient à l’origine de cet accident au PK0 dans le 3e arrondissement de la capitale gabonaise, à quelques encablures de la Présidence gabonaise. Le dernier bilan fait état de cinq morts dont un nourrisson, d’un blessé et de plusieurs dégâts matériels.

Selon certains témoins du drame, l’un des véhicules concernées serait de marque Mercedes. Au volant, un militaire, certainement le chauffeur d’un haut gradé de l’Armée gabonaise, qui aurait percuté de plein fouet le véhicule Toyota Corolla à bord duquel se trouvaient les cinq victimes.

Le drame s’est produit devant le Géant CKDO sur le front de mer. Les victimes revenaient d’une prière du ramadan à la mosquée Hassan II, située près des lieux du drame.

Les secours arrivés quelques temps après sur place, ont pu circonscrire les lieux du drame avant l’arrivée des pompes funèbres. Une enquête sera ouverte pour déterminer les conditions exactes de ce tragique accident

Un élève tue son camarade à l’aide d’une bouteille à Libreville

Son camarade a rendu l’âme sur la route de l’hôpital militaire situé à moins d’un kilomètre de l’établissement.

Tout est parti d’une bagarre entre les deux camarades de classes vendredi. Selon, Aloïse Etoughe Assame, proviseur du Lycée Jean Baptiste Obiang Etoughe de Sibang à Libreville, l’établissement où s’est produit le drame, les deux élèves inscrits en classe de première étaient âgés de 20 ans.

Les deux jeunes hommes se sont disputés pendant un cours et le professeur a réussi a les séparer. La bagarre s’est poursuivie après les cours. L’un  des deux a enfoncé une bouteille cassée sur son camarade qui s’est écroulé. Transporté à l’hôpital militaire, les militaires constateront qu’il était décédé.

Le présumé meurtrier a été conduit à la gendarmerie où il médite désormais sur son sort.