L’avocate française d’Ali Bongo n’exercera plus au Gabon

Claude Dumont-Beghi, avocate française qui représente les intérêts d’Ali Bongo Ondimba relatifs à l’héritage de son père, avait été convoquée par la Conseil de l’ordre, avant qu’un tribunal ne tranche.

Les mauvaises nouvelles se multiplient au sein de la sphère  présidentielle. Aux dernières nouvelles, Me Claude Dumont-Beghi, qui représente les intérêts du président gabonais dans le dossier relatif à l’héritage de son père, ne peut plus pour le moment exercer la profession d’avocat au Gabon.
Claude Dumont-Beghi, aurait été  suspendue à titre conservatoire du barreau du Gabon le 28 février dernier. Une décision prise contre l’avocate qui est soupçonnée d’avoir créée une entreprise commerciale en violation des règles qui régissent l’exercice de la profession d’avocat.

Convoquée à deux reprises par le Conseil de l’ordre, elle n’a pas daigné se présenter. Le bâtonnier a dès lors saisi le président du tribunal compétent qui a tranché. Elle ne devra plus exercer la profession d’avocate au sein du pays jusqu’à nouvel ordre

 

Libreville : la SEEG perd 10% de sa capacité de production

La Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), l’a annoncé ce mercredi 13 mars, dans un communiqué des fortes perturbations sur son réseau de fourniture en électricité.

« La SEEG informe son aimable clientèle des perturbations qui pèsent actuellement sur la desserte en électricité de Libreville et ses environs. Ces perturbations font suite à l’indisponibilité de certains moyens de production. Cette situation a pour conséquence la perte de 10% de notre capacité actuelle de production », a annoncé le communiqué.

Aussi, l’unique entreprise ayant le monopole de la production et de la distribution d’eau potable et de l’électricité au Gabon, a décliné son « programme de délestages rotatifs mis en place entre 19 heures et 23 heures ».

Le 1er mars courant, l’Agence de régulation du Secteur de l’Eau potable et de l’Energie électrique (ARSEE) a prévenu dans un rapport mensuel de ses activités, que la fréquence des délestages à Libreville et ses environs pourraient augmenter courant ce mois de mars à cause d’une insuffisance de mégawatts.

Soumis actuellement à de nombreuses perturbations, le réseau électrique de Libreville rencontre des difficultés à satisfaire la puissance maximale demandée par la clientèle, laquelle est plus ou moins égale à 251 mégawatts.

Selon l’organe régulateur de l’eau et de l’électricité en République Gabonaise, l’indisponibilité depuis trois mois de trois turbines à gaz à la centrale thermique SEEG d’Owendo, d’une part et d’autre part, d’un groupe à la centrale d’Alenakiri gérée par la Société de Patrimoine, contraint la SEEG à utiliser au maximum de leur puissance exploitable les groupes du parc hydro électrique de Tchimbelé et de Kinguelé.

Le Parti démocratique gabonais (PDG) célèbre ses 51 ans

Ali Bongo sera le grand absent des festivités commémorant les 51 ans du Parti démocratique gabonais (PDG) ce 12 mars.

Le PDG est en fête. Et pour cause, le parti présidentiel qui n’a jamais perdu la moindre élection organisée dans le pays depuis sa création en 1968, célèbre ses 51 bougies. Pour la première fois depuis plusieurs années, la fête d’anniversaire sera organisée malheureusement en l’absence d’Ali Bongo, son président. Absent du territoire gabonais depuis près de 6 mois avec des retours furtifs de quelques heures.
Pour célébrer les 51 ans du PDG, des festivités seront organisées tout au long de la semaine. Signe des temps, celles-ci ont été voulues plus sobres que par le passé. « A l’heure où l’on demande aux Gabonais de faire des efforts pour redresser le pays, il nous faut nous aussi montrer l’exemple », justifie un cadre du parti.

Ce mardi , le programme des festivités prévoit des messes dans les neuf provinces afin notamment de rendre hommage aux militants disparus.

 

Ike Ngouoni Aila Oyouomi : « Il n y a pas de sosie, le Président de la République Ali Bongo est bien là »

Le porte parole de la présidence  de la République, Ike Ngouoni Aila Oyouomi, était face à la presse ce jeudi. Plusieurs sujets à l’ordre du jour parmi lesquels les rumeurs d’une existence d’un clone d’Ali Bongo.

« Il n y a pas de sosie, le Président de la République Ali Bongo est bien là », a déclaré M. Ngouoni Aila Oyouomi, lors de la conférence de presse ce 07 mars 2019. Pour le porte-parole qui a convoqué les journaliste ce jour, il n y a pas de raisons de constater la vacance du pouvoir au Gabon. S’adressant à certains activistes activistes et opposants, M. Ngouoni Aila Oyouomi leur a demandé d’accepter la dure réalité selon laquelle le chef de l’Etat est bien en santé et reste aux commandes du pays depuis le Maroc où il est en convalescence.

Le porte- Parole ne s’est pas arrêté là. Il a également évoqué la situation des ministres qui fait débat en ce moment. Relevant ainsi qu’aucun ministre ne dispose d’un titre foncier dans le gouvernement.« Pour être nommé à un poste ou pour le garder, que vous soyez ministre, conseiller, directeur général, etc., votre seule protection, c’est le travail et les résultats que vous obtenez grâce à votre engagement au service des Gabonais, le reste ne compte pas ; c’est à cette aune qu’il vous faut notamment lire les départs et les nominations intervenus lors du conseil des ministres » a indiqué M. Ngouoni Aila Oyouomi.

 

 

 

 

 

 

Sport : un joueur du Bourges Foot sélectionné avec l’équipe nationale du Gabon

Junior Nze, milieu de terrain du Bourges Foot depuis deux saisons, a été appelé par le sélectionneur du Gabon pour participer, courant mars, à un match organisé dans le cadre des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations qui touchent à leur fin.

Convoqué par le sélectionneur du Gabon, Joël Cousin, le milieu défensif de 26 ans sera au même moment à Bujumbura, l’ancienne capitale du Burundi, où les Panthères, surnom donné à l’équipe nationale gabonaise, disputeront la dernière journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations 2019.

Un ultime match décisif pour des Gabonais, obligés de s’imposer s’ils veulent se qualifier pour la phase finale de la compétition africaine organisée du 21 juin au 19 juillet, en Égypte.

L’honorable Jules Esdras Mouhouloulou dénonce les menaces de mort sur les proches d’Ali Bongo

Le député porte-parole du parti les Sociaux-démocrates gabonais (SDG, centriste) a dénoncé lundi dans un point de presse les menaces de mort proférées à l’égard des proches du Président.

L’honorable Jules Esdras Mouhouloulou était face à la presse ce lundi 04 mars 2019. L’homme politique avait un message clair à passer, celui d’avertir les activistes et opposants qui menacent la famille d’Ali Bongo profitant de sa convalescence à Rabat au Maroc .

« Depuis un certain temps, certains esprits malveillants s’investissent dans des tentatives d’intimidation et de menaces de mort à l’endroit de certains collaborateurs du Chef de l’Etat, parmi lesquels les membres de son cabinet », a déclaré M. Mouhouloulou. Avant de condamner fermement  « les agissements de ces personnes avides d’intérêts hautement personnels aux fins inavouées ».

La sortie du porte parole de ce lundi intervient quelque jours seulement après celle du  »Mouvement des citoyens libres et responsables’ ‘qui avait énoncé  »une déliquescence totale de l’appareil d’Etat, la mise à mort de la République et la négation de la démocratie, inédite dans l’histoire de notre pays ».

 

Les législatives et les sénatoriales partielles fixées le 30 mars

Les élections partielles des législatives couplées des sénatoriales se tiendront le 30 mars prochain pour le 1er tour, a annoncé un communiqué du Centre gabonais des élections (CGE).

La date est enfin connue. Le 30 mars prochain auront lieu les législatives et les sénatoriales. « 30 mars 2019 de 7 heures à 18 heures convocation du collège électoral pour le 1er tour des législatives partielles » a annoncé le   Centre Gabonais des Élections à travers un communiqué.

En ce qui concerne les législatives, il est question de pourvoir les huit sièges invalidés lors des élections des 6 et 27 octobre 2018. Pour ce qui est des sénatoriales, il s’agit de trois circonscriptions électorales de sénateurs restés vacants depuis plusieurs années.

Le 2ème tour de cette élection combinée se tiendra le 20 avril prochain.

Football : Hermann Tsinga meurt en plein match

Le footballeur de première division a rendu l’âme ce samedi 02 mars 2019 après s’être écroulé pendant le match

Selon le quotidien l’Union de ce lundi 04 mars, le dénommé Hermann Tsinga n’est plus. Le jeune footballeur a rendu l’âme sur le chemin de l’hôpital après avoir disputé un match. « On jouait samedi la 23e minute du match Missile FC – Akanda FC (…) lorsque l’attaquant akandais Hermann Tsinga s’est écroulé » explique son co-équipier dans les colonnes du journal.

Transporté d’urgence au CHU d’Owendo, proche du stade de l’Institut national de la jeunesse et des sports (INJS) où se déroulait le match, le jeune joueur n’a pu être réanimé. Selon le journal, les deux ambulances présentes sur les lieux n’étaient pas pourvues des équipements médicaux nécessaires « pour sauver la vie du joueur ».

L’information  a été confirmée par le ministre des Sports Alain Claude Bilie-Bi-Nze sur Twitter; le réseau social où circule depuis quelques heures une vidéo amateur qui présente le drame. Selon le spectateur et auteur de ladite vidéo,  les ambulanciers se seraient absentés pour « aller boire une bière » pendant que le joueur vivait ses derniers instant.

 

 

Le nouveau code pétrolier gabonais : ces avantages

Le nouveau dispositif réglementaire a été élaboré en collaboration avec le FMI et l’université de Houston.

Le gouvernement gabonais a adopté le nouveau code des hydrocarbures. Ce dispositif vient  remplacer celui de 2014 très contesté par les compagnies pétrolières qui le jugeaient moins attractif.

Selon une source proche de la présidence, le nouveau code pétrolier a été élaboré par le FMI en collaboration avec l’université de Houston, établissement reconnu pour son expertise dans le domaine permettra de corriger la rigidité reprochée à la loi en vigueur depuis 2014.

Parmi les nouvelles dispositions du code figurent la baisse drastique des taux d’imposition, un taux minimum de redevance de 7 % pour le pétrole offshore conventionnel et de 4 % pour le gaz. Ces taux seraient fixés à 5 % pour le pétrole et à 2 % pour les eaux profondes et ultra-profondes. S’ajoutent les durées des éléments substantiels des contrats qui seraient prolongées et renvoyées à la libre négociation.

Les travaux de révision de l’ancien code étaient lancés les 26 et 28 mars dernier avec l’organisation par le ministère du pétrole d’un atelier dénommé : « Activité de place sur la refonte du code des hydrocarbures (APRCH) ».

Médias : Laure Bigourd occupe la tête de la télévision Gabon 24

Cette française, diplômée de l’ESJ de Lille et installée de longue date à Libreville, aura la charge de redynamiser la chaîne de télévision lancée en grande pompe en 2016 avec de grandes ambitions.

Faire comprendre le monde au Gabon et expliquer le Gabon au monde. C’est avec cette ambition qu’avait été lancée Gabon 24 en 2016.

Depuis, la chaîne de télévision, qui a connu des hauts et des bas, tarde à concrétiser les espoirs placés en elle.

C’est sans doute pour cela qu’à la faveur du conseil des ministres du mardi 26 février, Laure Bigourd a été nommée directeur général de Gabon 24.

Duo de femmes à la tête de Gabon 24

Diplômée de l’ESJ de Lille et installée de longue date à Libreville, cette française, âgée d’une quarantaine d’années, qui jouit d’une solide réputation dans le monde de l’audiovisuel, officiait jusqu’à présent au sein de la communication présidentielle, pilotée par Ike Ngouoni.

Elle sera secondée par Marie-Noëlle Ada Meyo, nommé lors du conseil des ministres d’hier directeur général adjoint de Gabon 24. C’est donc un duo de femmes qui dirigera la chaîne de télévision.

Les deux dirigeantes pourront compter sur l’ex-plume d’Ali Bongo, le journaliste Vincent Garrigues, qui sera responsable du pôle formation de la chaîne.

Le Gabon adopte un nouveau code des hydrocarbures

C’est l’une de mesure prise au cours du conseil des ministres qui s’est tenu mardi 26 février 2019.

Le Gabon a adopté nouveau code des hydrocarbures plus attractif et flexible pour les potentiels investisseurs.

« Le Conseil des Ministres a entériné le projet de loi portant règlementation des hydrocarbures en République Gabonaise. Ce projet de loi matérialise l’adoption d’un nouveau cadre juridique. Il prend en compte la réalité de l’industrie pétrolière sous régionale et internationale. Ainsi, cette loi donne au nouveau Code plus d’attractivité pour les investisseurs, notamment en ce qui concerne la fiscalité, l’extension des durées des périodes d’exploration et d’exploitation, mais surtout l’exploitation et la découverte de gisements », explique le communiqué final du conseil des ministres du 26 février 2019.

Notons que la révision de ce nouveau code avait débuté en mars 2018 avec l’organisation par le ministère du pétrole d’un atelier dénommé : « Activité de place sur la refonte du code des hydrocarbures (APRCH) ». L’atelier avait jeté les bases d’un cadre des affaires plus attractif, adapté au contexte international de l’heure.

La rencontre des pétroliers visera également à faire un diagnostic sans complaisance de la loi pétrole actuelle considérée comme très coercitive et repoussante pour les opérateurs du secteur pétrolier.

Le nouveau dispositif réglementaire, élaboré en collaboration avec le FMI et l’université de Houston, reconnue pour son expertise dans le domaine, permettra de corriger la rigidité reprochée à la loi en vigueur depuis 2014.

Parmi les nouvelles dispositions du code figurent la baisse drastique des taux d’imposition, un taux minimum de redevance de 7 % pour le pétrole offshore conventionnel et de 4 % pour le gaz. Ces taux seraient fixés à 5 % pour le pétrole et à 2 % pour les eaux profondes et ultra-profondes. S’ajoutent les durées des éléments substantiels des contrats qui seraient prolongées et renvoyées à la libre négociation.

Gabon : suppression du CGC

Une décision qui a été prise mardi 26 février à Libreville, au cours du conseil des ministres présidé par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba.

Le Conseil gabonais des chargeurs (CGC), une entreprise étatique de régulation du commerce extérieur du pays, et trois autres agences ont été supprimées.

 « Suppression du Conseil Gabonais des Chargeurs (CGC) et transfert du patrimoine, des missions et attributions à l’Office des Ports et Rades du Gabon », a indiqué le communiqué final du conseil des ministres.

Il a aussi été décidé lors de cette rencontre que tous les agents permanents de l’État concernés par ces suppressions sont remis à la disposition de leurs administrations d’origine. La gestion de tous les agents régis par le Code du travail se fera conformément aux lois et règlements en vigueur, précise-t-on.

Autres décisions, la dissolution du Bureau de Coordination du Plan Stratégique Gabon Emergent (BCPSGE), du Fonds National d’Aide Sociale (FNAS) et du Comité de Privatisation. Il ne faut pas oublier que certains directeurs généraux des agences dissoutes ont été réaffectés dans des postes moins importants, d’autres non.

Ali Bongo de retour à Libreville

Le président de la république est rentré dimanche soir du Maroc où il était depuis trois mois en convalescence, après un AVC.

Ali Bongo a choisi de faire un retour discret au Gabon. C’est à travers les photos partagées par la présidence que la population a appris le retour du président de la république. Des photos publiées montrent le chef de l’État recevant en audience, dans le “salon marocain” de la présidence, les présidents de la Cour constitutionnelle et de l’Assemblée nationale, le chef de gouvernement, et son directeur de cabinet, ont été diffusées lundi après-midi par la présidence.

L’on ne sait donc pas si le retour du président de la république est définitif. Arrivé dans la nuit de dimanche à lundi du Maroc,  son entourage a confié à l’AFP qu’il “pourrait (y) revenir” plus tard.

C’est son second retour depuis son AVC le 24 octobre alors qu’il se trouvait en Arabe saoudite : mi-janvier, le président avait fait un passage de moins de 24 heures à Libreville pour assister à la prestation de serment du nouveau gouvernement.

 

 

 

La Banque mondiale octroie un prêt de 200 millions de dollars au Gabon

Le but de ce prêt d’environ 100 milliard de Fcfa est de soutenir le pays dans ses efforts d’assainissement budgétaires et de diversification l’économie

L’information a été donnée ce lundi 25 février, par l’institution financière internationale qui indique que cet argent vise à «soutenir le pays dans ses efforts d’assainissement budgétaire et de diversification de l’économie». C’est exactement 200 millions de dollars, soit 115 450 000 000 francs CFA qui ont été remis Gabon par la Banque mondiale au Gabon.

L’institution mondiale a tenu a préciser que  «cette opération est la seconde d’une série de deux financements à l’appui des politiques de développement en matière de consolidation budgétaire et de croissance inclusive au bénéfice» du Gabon, à l’instar d’autres États de la Cemac, qui est censé répondre efficacement et de manière «coordonnée» à la crise économique survenue en fin 2014. Pour y faire face, le gouvernement gabonais avait adopté, en 2017, un Plan de relance économique (PRE) censé arriver à échéance à la fin de l’année en cours. C’est donc pour «soutenir la mise en œuvre du PRE» que la Banque a consenti ce nouveau prêt.

Toujours selon la Banque Mondiale, l’opération s’articule autour de trois axes stratégiques, comprenant chacun plusieurs domaines. Le premier axe concerne le renforcement de la soutenabilité financière et de l’efficacité de la gestion des finances publiques. Le second axe a pour objectif de renforcer la compétitivité du Gabon grâce à l’amélioration du climat des affaires et au renforcement des services des TIC.

Le troisième et dernier axe cible les Gabonais Faibles économiquement. Cet axe permettra de jeter les bases pour améliorer l’efficacité de la prestation des soins de santé, notamment les soins de santé primaires, et accroître l’efficacité des filets sociaux.

 

 

Agence gabonaise de normalisation a généré 420 millions de francs en 2018

Nkoghe Bekale attendu au palais Léon-Mba ce mardi

Le nouveau Premier ministre gabonais, Julien Nkoghe Bekale, fera face ce mardi 26 février aux députés gabonais dans le cadre d’un grand oral de déclaration de politique générale.

Le nouveau locataire de l’immeuble du 2-Décembre nommé à la tête du gouvernement, le 12 janvier dernier st attendu à l’Assemblée nationale demain mardi 26 février 2019. Cette rencontre avec les députés s’inscrit dans le cadre de l’article 28a de la Constitution qui stipule : « Dans un délai de quarante-cinq (45) jours au plus, après sa nomination et après délibération du Conseil des ministres, le Premier ministre présente devant l’Assemblée nationale son programme de politique générale qui donne lieu à un débat, suivi d’un vote de confiance. Le vote est acquis à la majorité absolue des membres de l’Assemblée nationale ».

C’est donc sans surprise que le Premier ministre devrait obtenir la confiance des députés. Le parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir depuis sa création en 1968) détient en effet 94 sièges sur 143 disponibles.